Cyberharcèlement : dix conseils pour aider les parents et les enfants à gérer les risques liés aux téléphones et aux réseaux sociaux

 

Surpris, Femme, Jeune, Portrait, Mode

 

Selon France Info

Un enfant sur cinq a déjà été victime de harcèlement en ligne, selon le ministère de l'Education nationale. Plusieurs solutions peuvent aider à s'en prémunir et à savoir comment agir si votre adolescent en est victime.

C'est une "priorité absolue" du gouvernement pour la rentrée, selon les mots d'Elisabeth Borne. La Première ministre doit détailler, mercredi 27 septembre, un plan interministériel de lutte contre le harcèlement scolaire. Le ministre de l'Education nationale, Gabriel Attal, a notamment évoqué, parmi les mesures envisagées, la confiscation systématique du téléphone portable de l'enfant auteur de cyberharcèlement grave, ou la possibilité d'interdire aux mineurs mis en cause l'accès aux réseaux sociaux.

Au moins un enfant sur dix a déjà été victime de harcèlement scolaire, et un sur cinq a subi une telle situation en ligne, estime le ministère de l'Education nationale. Voici quelques conseils à mettre en pratique en famille pour protéger votre adolescent dans sa découverte des réseaux sociaux, et l'aider efficacement face à une situation difficile.

Quelles précautions prendre en créant un compte sur un réseau social avec votre ado ?

Découvrir ensemble les réseaux sociaux qu'il veut utiliser. Les spécialistes sont unanimes : rien ne sert de bannir les réseaux sociaux du téléphone de votre adolescent, il les adoptera tôt ou tard......

Aler plus loin : https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement/cyberharcelement-dix-conseils-pour-aider-les-parents-et-les-enfants-a-gerer-les-risques-lies-aux-telephones-et-aux-reseaux-sociaux_6073440.html

Exposition "Liens tissés" de Sena Locco à l’espace Saint-Ravy du 30 septembre au 22 octobre 2023

 

L’Espace Saint-Ravy a le plaisir d’ouvrir sa nouvelle saison d’exposition 2023-2024 avec l’artiste peintre Sena Locco pour l’exposition Liens tissés, qui sera présentée du 30 septembre au 22 octobre 2023. Elle y questionne au travers de portraits de femmes afro-caribéennes le corps politique de ces femmes engagées, qu’elle fait dialoguer avec des tissus traditionnels de différents pays d’Afrique.
Exposition "Liens tissés" de Sena Locco à l’espace Saint-Ravy du 30 septembre au 22 octobre 2023Voir l'image en grand

Vernissage de l'exposition vendredi 29 septembre 2023 à 18h30

Les femmes que Sena Locco peint viennent de Guadeloupe, de Martinique, du Brésil, d’Haïti, de Cuba. Elles sont artistes, activistes féministes et écologistes : Anyes Nöel, Béatrice Manigat, Assata Shakur, Djamila Ribero...

Dans le prolongement de Kehinde Wiley et d’Amy Sherald, l’artiste donne à voir leur dignité et leur engagement. En cela, elle questionne la perception de soi et de l’Autre.

Au travers de la personnalité et de l’histoire de ses modèles, c’est aussi de diasporas dont parle Sena Locco.

Voir l'image en grandDans ses peintures, l’artiste lie les figures féminines à des tissus traditionnels africains, qui semblent se projeter au-delà des toiles pour habiter l’espace d’exposition. Souvent tissées par des femmes, ces étoffes sont issues de procédés de fabrication artisanaux multiséculaires. Chaque forme y possède une signification. Chaque symbole est le fruit de savoirs ancestraux, détenus par ceux qui y sont initiés.

Associées à ces textiles anciens, les femmes représentées sont placées dans un retour aux origines par l’artiste, laquelle, dans le même temps, les a choisies pour la place et le rôle qu’elles occupent dans le monde contemporain : issues de la diaspora historique, elles sont l’Afrique d’aujourd’hui.

Pour l’artiste, « elles cherchent leurs racines et l’essence de la féminité noire. » Sena Locco évoque sa propre histoire et ses questionnements autour de la représentation du corps de femmes noires, souvent objectivé, réifié.

Née en Guadeloupe comme sa mère d’origine indienne, l’artiste a grandi au Togo, pays d’origine de son père. C’est à 18 ans qu’elle arrive à Paris pour ses études de droit. Elle qui a toujours eu un attrait pour le domaine artistique, est autodidacte, poussée par le besoin d’expérimenter la peinture comme moyen de s’exprimer et de sonder ce qui l’entoure.

Contact de l'artiste : Instagram - @sena_locco

Espace Saint-Ravy

Achat d’un véhicule : comment fonctionne le bonus écologique ?

 

Afin de favoriser l'acquisition de véhicules propres, une aide dite « bonus écologique » accompagne l'acquisition de véhicules zéro émission. Comment pouvez-vous en bénéficier ? On fait le point.

Qu'est-ce que le bonus écologique ?

Le « bonus écologique » est une aide à l’achat, qui favorise les véhicules neufs ou d’occasion avec une empreinte carbone peu élevée. Cette aide est conditionnée à de nombreux critères dont le score écologique du véhicule et les revenus fiscaux des demandeurs.

Qui peut bénéficier du bonus écologique ?

Pour demander le bonus écologique, vous devez respecter les conditions suivantes :

  • être une personne physique majeure justifiant d'un domicile en France ou une personne morale justifiant d'un établissement en France ou une administration de l'État,
  • acheter ou louer dans le cadre d'un contrat d'une durée supérieure ou égale à deux ans, un véhicule automobile terrestre à moteur.

Quelles sont les évolutions du bonus écologique pour l'année 2023 ?

Depuis le 1er janvier 2023, le bonus écologique pour l'acquisition d'un véhicule neuf est réservé :

  • aux voitures particulières électriques dont le coût d'acquisition est inférieur à 47 000 € et la masse inférieure à 2,4 tonnes,
  • aux camionnettes électriques,
  • aux deux ou trois roues et quadricycles à moteur électrique,

Le montant d'aide peut s'élever jusqu'à 5 000 € pour l'acquisition d'une voiture et 6 000 € pour une camionnette. Ces montants d'aide sont majorés de 2 000 € pour les ménages dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 14 089 €, soit une aide maximale de 7 000 € pour l'acquisition d'une voiture et 8 000 € pour une camionnette.

À partir du 10 octobre 2023, les véhicules doivent répondre également à un score environnemental minimal. Ce score ainsi que sa méthode de calcul précises sont définis par voie réglementaire (voir l'encadré en haut de l'article).

Le 15 décembre 2023, la liste des véhicules éligibles à ce score environnemental sera communiquée par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe).

Quelles sont les conditions pour bénéficier du bonus écologique pour un achat ou une location en 2023 ?

  1. Du 1er janvier 2023 au 9 octobre 2023 :
  • Le bonus écologique s'applique aux voitures particulières fonctionnant exclusivement à l'électricité, l'hydrogène ou une combinaison des deux, et ayant une masse inférieure à 2,4 tonnes. Il s'applique également aux a title="« https://www.legifrnce.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000045025478 » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">v"hicules de catégorie M2 bénéficiant d'une dérogation de poids, et ayant un poids total autorisé en charge inférieur ou égal à 3,5 tonnes.
  • Le coût d'acquisition de la voiture doit être inférieur à 47 000 €.
  • Sont aussi éligibles au bonus les camionnettes et les véhicules appartenant à a title="« https://www.legifrane.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000045025478 » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">l" catégorie N2 bénéficiant de la dérogation de poids prévue au a title="« https://www.legifrance.gouv.fr/affichodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841586&dateTexte=&categorieLien=cid » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">I" de l'article R. 312-4 du code de la route et d'un poids total autorisé en charge inférieur ou égal à 3,5 tonnes, fonctionnant exclusivement à l'électricité, l'hydrogène ou une combinaison des deux
  • Le véhicule ne doit pas avoir fait l'objet précédemment d'une première immatriculation en France ou à l'étranger et doit être immatriculé en France dans une série définitive.
  • Il ne doit pas être cédé par l'acquéreur ou le titulaire d'un contrat de location dans l'année suivant sa première immatriculation ni avant d'avoir parcouru au moins 6 000 kilomètres.
  • Sont également éligibles les véhicules à moteur à deux ou trois roues électriques, les quadricycles à moteur électriques, les cycles, et les remorques électriques pour cycles, qui n’utilisent pas de batterie au plomb.
  1. À partir du 10 octobre 2023 :

Un nouveau critère sera appliqué à partir de cette date aux voitures neuves électriques. Pour être éligible à cette aide le véhicule doit également répondre à un score environnemental minimal. Ce score prend en compte tout l’impact environnemental d’un véhicule depuis sa fabrication jusqu’à son utilisation sur la route.

 

 

Quel est le montant du bonus écologique ?

  • Pour l'acquisition de véhicules de type voiture particulière, le montant de l'aide est fixé à 27 % du coût d'acquisition toutes taxes comprises, augmenté le cas échéant du coût de la batterie si celle-ci est prise en location. Le bonus est plafonné à 5 000 € pour les particuliers et 3 000 € pour les personnes morales.
  • Pour l'acquisition de véhicules de type camionnette, le montant de l'aide prévue est fixé à 40 % du coût d'acquisition toutes taxes comprises, augmenté le cas échéant du coût de la batterie si celle-ci est prise en location, dans la limite de 6 000  si le véhicule est acheté ou loué par une personne physique, 4 000  si le véhicule est acheté ou loué par une personne morale.
  • Pour les véhicules à moteur à deux ou trois roues et quadricycles à moteur neufs qui n'utilisent pas de batterie au plomb et dont la puissance maximale nette du moteur est supérieure ou égale à deux kilowatts ou à trois kilowatts en application de la directive 2002/24/ CE du Parlement européen, l'aide est de 900 €.
  • Pour les véhicules d’occasion fonctionnant à l’électricité et/ou l’hydrogène, l’aide est fixée à 1000 €.

Le montant du bonus écologique pour l’acquisition d’une voiture particulière ou d’une camionnette neuve est majoré de 2 000 € lorsque le véhicule est acheté ou loué par une personne physique dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 14 089 € (et atteint alors jusqu’à 7 000 € pour une voiture particulière et 8 000 € pour une camionnette). Depuis le 1er janvier 2023, une personne physique ne peut bénéficier d’un bonus par catégorie de véhicule qu'une fois tous les trois ans.

 

Quelles sont les démarches à effectuer pour bénéficier du bonus écologique ?

Deux possibilités s'offrent à vous pour bénéficier du bonus écologique :

  • soit l’aide est déduite de la facture du véhicule, ou du premier loyer dans le cas d’une location, directement par le concessionnaire, qui vous en fait alors l’avance (sans y être aucunement tenu),
  • soit celle-ci vous est versée par l’Agence de services et de paiement (ASP) après que vous en ayez fait vous-même la demande, postérieurement à l’achat de votre véhicule, ici : a title="« https://www.primealaconversion.gouv.fr/dboneco/#/home » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">P"ime à la conversion des véhicules et Bonus écologique 2023.

La demande de l'aide doit être formulée au plus tard dans les 6 mois suivant la date de facturation du véhicule.

Dans le cas d'une location, la demande de l'aide doit être formulée au plus tard dans les 6 mois suivant la date de versement du premier loyer.

  • Dans le cas d'une avance du bonus par le concessionnaire

Le concessionnaire se charge de l'avance du bonus en le retirant du prix de vente du véhicule (TTC). Le montant du bonus doit alors être identifié sur la facture par une ligne spécifique. Le concessionnaire, conventionné avec l'ASP afin de pouvoir procéder à cette avance, se fait ensuite rembourser par cette dernière.

  • Dans le cas où votre concessionnaire ne pratique pas l'avance bonus

vous devez en faire vous-même la demande auprès de l'ASP. Votre demande peut être faite directement en ligne.

Ces contenus peuvent aussi vous intéresser

  • Prime à la conversion : comment en bénéficier ?
  • Bonus vélo : tout ce qu’il faut savoir !
  • MaPrimeRénov' : la prime pour la rénovation énergétique
  • Comment bénéficier du chèque énergie ?

En savoir plus sur le bonus écologique

  • Le bonus écologique sur le site service-public.fr
  • Comment fonctionne le bonus écologique sur l'achat d'un véhicule ? sur le site du Cedef
  • Le bonus écologique sur le site du ministère de la Transition écologique

Ce que dit la loi

  • Code de l'énergie
  • Décret n° 2023-886 du 19 septembre 2023 relatif au conditionnement de l'éligibilité au bonus écologique pour les voitures particulières neuves électriques à l'atteinte d'un score environnemental minimal
  • Arrêté du 19 septembre 2023 relatif à la méthodologie de calcul du score environnemental et à la valeur de score minimale à atteindre pour l'éligibilité au bonus écologique pour les voitures particulières neuves électriques
  • Décret n° 2022-1761 du 30 décembre 2022 relatif aux aides à l'acquisition ou à la location de véhicules peu polluants

Crédit immobilier : quelles informations le prêteur a obligation de vous fournir ?

 

Offre de prêt détaillée, évaluation de votre solvabilité, taux annuel effectif global (TAEG), etc. Découvrez les informations que l’organisme prêteur doit obligatoirement vous fournir avant la signature d'un prêt immobilier.

Informations relatives à l'évaluation de la solvabilité de l'emprunteur

Avant de faire une offre à un particulier, l'établissement prêteur a l’obligation de fournir à l’emprunteur toutes les informations concernant sa solvabilité. Il s’agit de déterminer si le prêt souhaité correspond réellement aux possibilités de remboursement de l’emprunteur et si le crédit demandé comporte des risques spécifiques par rapport à sa situation financière.

L’établissement prêteur doit donc informer l'emprunteur des conséquences de la prise d'un emprunt, notamment sur des risques d’endettement, vérifier sa solvabilité et ses capacités de remboursement. Ces risques doivent être formalisés par écrit et gratuitement.

Le taux annuel effectif global (TAEG)

Le taux annuel effectif global (TAEG) doit être indiqué dans les publicités, les offres de crédit et les contrats de prêt. Il s'agit du taux d'intérêt fixé par la banque ou l'établissement de crédit. Il permet à l'emprunteur de comparer plusieurs offres de prêt selon leur coût total, à la condition que le montant emprunté soit le même (car le TAEG est exprimé en pourcentage annuel de la somme empruntée).

Ce taux d'intérêt ne peut pas être supérieur au « taux d’usure », c'est-à-dire au taux maximal légal applicable fixé par la a title="« https://www.banque-france.fr/statistiques/taux-et-ours/taux-dusure » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">B"nque de France. Ce taux comprend :

  • le taux d'intérêt de base
  • les frais, commissions et rémunérations diverses (frais d'inscription, frais de dossier)
  • et éventuellement des primes d'assurance, lorsqu'une assurance obligatoire est souscrite simultanément auprès de l'établissement prêteur.

La fiche standardisée européenne (FISE)

Afin de permettre à l'emprunteur de comparer les offres de crédits disponibles, les organismes prêteurs doivent mettre à disposition du client l'ensemble des informations sur les produits qu’ils proposent en matière de prêt.

Ces informations doivent être réunies dans un document appelé « fiche standardisée européenne (FISE) ». La FISE résume les principales caractéristiques de l’offre de prêt et doit être remise à l'emprunteur avec l'offre de crédit.

Le contenu de l'offre

L'établissement prêteur doit adresser gratuitement et par écrit, à l'emprunteur et aux éventuelles cautions, une offre de prêt.

Pour un prêt à taux fixe

Sur l'offre de prêt, sont mentionnés notamment :

  • l'identité du prêteur, de l'emprunteur et éventuellement de la caution
  • la nature du prêt (prêt conventionné, prêt à taux zéro ou prêt bancaire traditionnel)
  • l'objet du prêt (achat d'un appartement neuf ou ancien, construction d'une maison)
  • la date à laquelle les fonds seront disponibles
  • le montant du crédit, sa durée, son coût total et son taux
  • le coût et la nature de la garantie attachée au prêt (hypothèque, privilège de prêteur de deniers, caution)
  • les conditions de transfert du prêt à une autre personne
  • l'information que l'emprunteur peut souscrire une assurance auprès de l'assureur de son choix
  • un échéancier des amortissements détaillant la répartition du remboursement entre le capital et les intérêts.

Pour un prêt à taux variable

Sur l'offre de prêt, sont mentionnés notamment :

  • l'identité du prêteur, de l'emprunteur et éventuellement de la caution
  • la nature du prêt (prêt conventionné, prêt à taux zéro ou prêt bancaire traditionnel)
  • l'objet du prêt (achat d'un appartement neuf ou ancien, construction d'une maison)
  • la date à laquelle les fonds seront disponibles
  • un document d'information contenant une simulation de l'impact d'une variation de ce taux sur les mensualités, la durée du prêt et le coût total du crédit
  • le montant du crédit, son coût total et son taux
  • le coût et la nature de la garantie attachée au prêt (hypothèque, privilège de prêteur de deniers, caution)
  • les conditions de transfert du prêt à une autre personne
  • l'information que l'emprunteur peut souscrire une assurance auprès de l'assureur de son choix
  • une notice présentant les conditions et les modalités de variation du taux d'intérêt.

Information relative à l'assurance emprunteur

L'établissement prêteur peut demander à son client de souscrire une assurance emprunteur. L'information sur le caractère obligatoire ou facultatif de l'assurance doit être précisée, dès l'offre préalable de crédit.

La banque peut vous proposer son contrat d'assurance emprunteur ou le contrat d'assurance d'un de ses partenaires. On parle alors de contrat assurance groupe.

Mais vous pouvez choisir de vous adresser à un autre assureur.

Quelles informations obligatoires doit fournir l'emprunteur ?

Afin de se voir accorder une offre de prêt, l'emprunteur doit fournir à l'établissement prêteur des informations exactes et complètes sur sa situation. Il doit notamment fournir les éléments et justificatifs nécessaires, dans les délais réglementaires indiqués par le prêteur.

Si ces informations ne sont pas communiquées, l'établissement prêteur ne pourra pas accorder le crédit.

Assurance emprunteur

Avant de vous proposer un contrat d'assurance emprunteur, l'assureur vous demande de compléter un questionnaire médical. Il évalue le risque à partir de vos réponses.

Ce questionnaire doit être rempli en toute bonne foi. Toute omission (oubli volontaire) ou fausse déclaration intentionnelle est interdite. Si l'assureur vient à déceler la supercherie lorsque vous lui demandez le remboursement de votre crédit, il pourra refuser de vous indemniser ou obtenir la résiliation de votre contrat d'assurance.

 Dans le cas d’un prêt jusqu’à 200 000 euros par assuré et à rembourser avant 60 ans, notez que l'assureur a interdiction de vous faire remplir un questionnaire de santé. Il ne doit pas non plus vous faire faire un examen de santé.

Vous avez une question concernant un produit ou un service bancaire, une assurance ou un placement financier ? a title="« https://www.abe-infoservice.fr/ » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">C"ntacez le service Assurance Banque Épargne (ABE) Info Service proposé par la Banque de France et l'Autorité des marchés financiers.

Comment fonctionne le PLF ?

 

Chaque année, le projet de loi de finances initiale propose l’ensemble des recettes et dépenses de l’État pour l’année suivante. Il détermine ainsi le budget, c’est à dire la nature, le montant et l'affectation des ressources et des charges selon un équilibre économique et financier déterminé.

 

Qui prépare le projet de loi de finances ?

De nombreux acteurs – le Gouvernement et les administrations (le Premier ministre, la direction du Budget, les ministères, les différents ministres et leurs cabinets), le Conseil d’État, le Haut Conseil des finances publiques, le Parlement, le Conseil constitutionnel – interviennent à différentes étapes de la production du PLF, partagée en deux phases, l’une administrative, l’autre parlementaire. C’est la direction du Budget à Bercy qui orchestre ces phases d’élaboration.

Le PLF, une année de préparation  

Une année entière est nécessaire pour élaborer le budget de l’État. Celui-ci est adopté au plus tard le 31 décembre de chaque année, pour un an, à l’issue d’un long processus démocratique.

Avant d’être présenté en Conseil des ministres, le projet de loi de finances (PLF) est soumis pour avis au Conseil d’État et au Haut conseil des finances publiques (HCFP). 

Une fois adopté en Conseil des ministres, le PLF est déposé à l’Assemblée nationale par le Gouvernement, au plus tard le premier mardi d’octobre. L’Assemblée nationale et le Sénat disposent de 70 jours pour examiner et voter le PLF.

1-    Phase administrative

La phase administrative consiste à préparer entre ministères, et le cas échéant faire arbitrer les désaccords, le projet de loi à travers un cycle  de réunions dites « conférences budgétaires » (réunions techniques,  conférences de performance, de budgétisation, de répartition). Elle s’achève avec la rédaction du PLF et de ses annexes.

Préparation

  • Janvier : le Premier ministre détermine les priorités du Gouvernement en matière de politiques publiques.
  • Février : la direction du Budget analyse et évalue avec les ministères a title="« www.budget.gouv.fr » dans une nouvelle fenêtre&quo; h" t" r">l"exécution de l’année passée, les prévisions pour l’année en cours,  et leurs besoins en crédits et emplois pour l’année à venir.
  • Mars : la direction du Budget établit avec les ministères les indicateurs de performance sur lesquels leur action sera évaluée.
  • Avril : comme tous les États membres, la France remet à la a title="« www.budget.gouv.fr » dans une nouvelle enêtre" h" t" r">C"mmission européenne son programme de stabilité, document présentant sa stratégie de maîtrise des dépenses publiques et la trajectoire pluriannuelle de ses finances publiques.
  • Mai : la direction du Budget négocie avec les ministères pour fixer les montants des crédits et les emplois  qui pourront  leur être alloués pour remplir leurs missions.

Arbitrage

  • Juillet : le Premier ministre rend ses arbitrages et adresse aux ministres une lettre arrêtant les plafonds de crédits et d’emplois qui leur sont alloués. Les plafonds de dépenses et d’emplois et les indicateurs de performance font l’objet d’un rapport présenté au Parlement.
  • Bercy et les ministères répartissent définitivement les crédits qui sont attribués aux différentes missions. L’examen par la Commission européenne du programme de stabilité donne lieu à un avis du Conseil à prendre en compte dans l’élaboration du projet de loi de finances.
  • Août-septembre : rédaction et finalisation des documents budgétaires.
  • Septembre : le Gouvernement saisit le Conseil d’État pour avis sur les dispositions du projet de loi de finances.
  • Le Haut Conseil des finances publiques, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, émet un avis sur le cadrage économique du projet de loi et sa cohérence avec la loi de programmation des finances publiques en vigueur ainsi que sur le réalisme des prévisions de recettes et de dépenses.
  • Adoption du projet de loi de finances en conseil des ministres, le même jour : présentation devant les commissions des finances du Parlement et à la presse.

2-    Phase parlementaire

La phase parlementaire commence juste après l’adoption du projet de loi de finances en conseil des ministres. Le projet de loi est ensuite débattu par le Parlement, examiné par le Conseil constitutionnel et promulgué en dernière étape par le Président de la République.

Débats et votes

  • Octobre-décembre : le projet de loi est déposé sur le bureau de l’Assemblée nationale au plus tard le premier mardi d’octobre. Le texte est discuté, éventuellement amendé et voté d’abord à l’Assemblée nationale, puis transmis au Sénat. Le Parlement dispose alors de 70 jours pour examiner, amender et voter le projet de loi.
  • Fin décembre : le Conseil constitutionnel peut être saisi pour examiner la constitutionnalité du projet de loi. Enfin, la loi de finances est promulguée par le Président de la République et publiée au Journal officiel, au plus tard le 31 décembre.

Quelles sont les prérogatives du Parlement dans le processus d’élaboration du PLF ?

Comme dans la quasi-totalité des régimes démocratiques, c’est le Parlement qui autorise les impôts et approuve le budget. Les députés et les sénateurs peuvent notamment :

  • modifier la répartition des crédits au sein d’une mission (Le budget de l’État propose une présentation des dépenses par « destination » (Missions, elles-mêmes déclinées en programmes, permettant au citoyen de bien comprendre à quelle politique publique ou « mission » est affecté l’argent de ses impôts.),
  • créer, supprimer ou modifier un programme,
  • fixer les plafonds d’emplois de l’État et des opérateurs
  • modifier les objectifs et indicateurs de performance des ministères.
  • Toutefois, députés et sénateurs ne sont pas habilités à créer de nouvelles dépenses, ni à supprimer des ressources, sauf à les compenser par une autre recette.

En savoir plus sur le projet de loi de finances :

a title="« www.gouvernement.fr » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">Q"’est-ce que le projet de loi de finances ? Sur le site du Gouvernement.

a title="« www.vie-publique.fr » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">C"mment se présente un projet de loi de finances (PLF) ? Sur le site Vie-Publique.

a title="« www.budget.gouv.fr » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">C"mprendre le Budget de l’État Sur le site de la Direction du Budget.

Le 27 septembre ce sera la Journée mondiale du tourisme

 

Ballons À Air Chaud, Aventure, Voyager

 

La Journée Mondiale du Tourisme a été célébrée à partir de 1980, à l'initiative de l'OMT (organisation mondiale du tourisme).

C'est la date du 27 septembre qui a été retenue pour marquer l'anniversaire de l'adoption des statuts de l'OMT en 1970.

Pourquoi une Journée Mondiale du tourisme ?

L'objectif principal fixé par l'OMT est la prise de conscience de l'importance du tourisme du point de vue social, culturel, économique et même politique.

Dans de nombreuses régions du globe, le tourisme arrive en tête des activités économiques, avec ses répercussions sur l'emploi, le brassage des populations, l'ouverture au monde et la circulation de l'information...

Le tourisme et ses travers (urbanisation anarchique, tourisme sexuel, ...) font malheureusement souvent la une de l'actualité et ce n'est pas sans raisons que la journée du 2 juin est consacrée au tourisme responsable et respectueux !

Un site à visiter : www.un.org

Guerre en Ukraine : ce qu'il faut retenir de la journée du lundi 25 septembre

 

Selon France Info : 

Deux civils sont morts dans une attaque "massive" russe contre Odessa (Ukraine), ont annoncé les autorités ukrainiennes, lundi 25 septembre. En parallèle, un bombardement russe près de la ville de Kherson a fait trois morts, d'après le leader de l'administration militaire de la région, Oleksandr Prokudin. Lundi soir, les autorités installées par Moscou à la tête de la Crimée ont affirmé qu'une attaque de missiles avait eu lieu contre la péninsule ukrainienne annexée en 2014, et ajouté que la défense anti-aérienne russe avait abattu un missile. Franceinfo revient sur les faits marquants de la journée en Ukraine.

Deux civils tués dans une attaque à Odessa 

A Odessa, deux personnes ont été retrouvées mortes dans un entrepôt de céréales, selon un nouveau bilan annoncé sur Telegram par le gouverneur régional, Oleg Kiper. Des drones de combat, des missiles supersoniques Oryx et des missiles Kalibr ont été impliqués dans cette attaque, selon les Ukrainiens, qui affirment en avoir abattu la plupart............... Sur : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/guerre-en-ukraine-ce-qu-il-faut-retenir-de-la-journee-du-lundi-25-septembre_6083859.html

Planification écologique : Emmanuel Macron promet une reprise du "contrôle du prix de notre électricité"

 
Pxclimateaction, Changement Climatique
 
Le chef de l'Etat a pris la parole après avoir réuni le Conseil de planification écologique créé après sa réélection, avec Elisabeth Borne et les ministres concernés.

Ce qu'il faut savoir

Emmanuel Macron a réuni, lundi 25 septembre, le Conseil de planification écologique créé après sa réélection, avec Elisabeth Borne et les ministres concernés. A l'issue de cette réunion, le président a pris la parole pour une série d'annonces. Le chef de l'Etat a notamment promis une reprise du "contrôle du prix de notre électricité" pour que cette énergie soit "soutenable à la fois pour nos entreprises et pour nos ménages", dans un contexte d'inflation et de prix de l'énergie toujours hauts. Le président souhaite des prix qui soient "compatibles" avec les exigences de "compétitivité" et donnent "de la visibilité à la fois aux ménages et à nos industriels". Suivez notre direct.

Emmanuel Macron souhaite une "écologie à la française". "Je suis convaincu que nous avons un chemin qui est celui de l'écologie à la française", avait déjà déclaré le chef de l'Etat dimanche soir lors de son interview télévisée. "L'objectif qui est le nôtre (...), c'est de bâtir une écologie à la française", a répété le président lundi, qui ne serait "ni une écologie du déni ni une écologie de la cure".

Vers un triplement de la production de pompes à chaleur ? La France devra produire "un million de pompes à chaleur" d'ici la fin du quinquennat, soit le triple de la production actuelle, a annoncé Emmanuel Macron. Le président de la République entend ainsi "développer une filière industrielle de pompes à chaleur qui est un formidable levier de substitution, beaucoup moins consommateur et émetteur".

Une enveloppe pour construire des RER métropolitains. ..... Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/direct-planification-ecologique-emmanuel-macron-va-presenter-les-grands-axes-du-plan-du-gouvernement_6082704.html

Disparition de Lina : "C'est une torture de ne plus avoir son enfant près de soi", l'appel bouleversant de sa mère

 

Selon Orange.fr

Les gendarmes de Schirmeck dans le Bas-Rhin ont lancé un avis de recherche après la disparition de la jeune Lina, samedi 23 septembre, rapporte France 3 Grand Est. Elle devait prendre le train pour rejoindre son petit-ami. Sa mère a lancé un appel devant les médias.

Disparition inquiétante dans le Bas-Rhin. Selon France 3 Grand Est, les gendarmes de Schirmeck, à l'ouest de Strasbourg, ont lancé un avis de recherche après la disparition de la jeune Lina, 15 ans, disparue samedi 23 septembre. Ce samedi, la jeune adolescente devait en effet rejoindre son petit-ami à Strasbourg, mais très vite, ce dernier a contacté sa famille ne la voyant pas arriver. Au cours de son trajet, elle devait rallier la gare de Saint-Blaise-La-Roche à pied (trois kilomètres depuis son domicile) avant de prendre le train pour Strasbourg. 

 

Mais selon la gendarmerie de Molsheim, après vérifications, la jeune fille n'est "pas montée dans le train", a indiqué le parquet de Saverne. Ce dernier détaille que la jeune fille n'est "pas connue pour avoir fugué jusqu'alors d'après les premières auditions", raison pour laquelle une enquête pour "disparition inquiétante" a été ouverte............

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/disparition-de-lina-c-est-une-torture-de-ne-plus-avoir-son-enfant-pres-de-soi-l-appel-bouleversant-de-sa-mere-magic-CNT0000027CdO0.html

  

Gratuité des transports en commun

21 décembre 2023 : Montpellier Méditerranée Métropole deviendra la plus grande métropole européenne à instaurer la gratuité des transports en commun pour tous ses habitants. Michaël Delafosse souhaite faire de la Métropole de Montpellier un territoire exemplaire de la transition écologique et solidaire, un territoire qui prend soin de ses habitants, pour montrer qu’un autre modèle est possible.

 

CALENDRIER DE LA MESURE

  • Septembre 2020 : gratuité des transports en commun pour tous les habitants de la Métropole le week-end,
  • 1er septembre 2021 : gratuité des transports en commun pour les habitants de la Métropole de - 18 ans et + 65 ans tous les jours,
  • 21 décembre 2023 : gratuité des transports en commun pour tous les habitants de la Métropole, tous les jours.

COMMENT BÉNÉFICIER DE LA GRATUITÉ ET OBTENIR VOTRE PASS ?

Demandez votre pass gratuité

Pour qui ?

Tous les habitants de la métropole de Montpellier

Avec quoi ?

  • 1 pièce d’identité
  • 1 photo d’identité (possibilité de la réaliser en Espaces Mobilité TaM)
  • 1 justificatif de domicile (+ une autorisation parentale pour tout bénéficiaire âgé de 3 à 17 ans)

Où ?

Pourquoi ?

Pour voyager en règle et en toute liberté, vous devez obligatoirement être en possession de votre Pass gratuité valide.

En cas de contrôle, vous pourrez ainsi présenter votre carte TaM ou un QR CODE délivré depuis l’appli M’Ticket TaM.

Tout Pass week-end gratuit valide au 21 décembre 2023 sera automatiquement converti en Pass gratuité totale, sans aucune démarche nécessaire !

LA GRATUITÉ EN FAVEUR DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, DU POUVOIR D’ACHAT ET DE L’ÉCONOMIE

Une mesure vertueuse qui s’appuie sur 4 grands principes :

  • METTRE EN OEUVRE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

La Métropole met en oeuvre la transition écologique et se positionne comme pionnière avec des solutions ambitieuses pour lutter contre le réchauffement climatique.

La gratuité pour les habitants de la Métropole permet de protéger l’environnement en incitant aux changements de comportement sans pénaliser les plus fragiles. Grâce à cette nouvelle mesure, Montpellier deviendra une métropole exemplaire pour relever ce défi.

  • RENFORCER LE POUVOIR D'ACHAT DES FAMILLES

La gratuité des transports en commun est une mesure de justice sociale en faveur du pouvoir d’achat, en particulier celui des jeunes et des foyers modestes, les plus touchés par les effets de l’inflation. Ne plus payer d’abonnements ou de tickets est ainsi un véritable soulagement pour le budget de milliers d’habitants de la Métropole de Montpellier.

Pour ceux qui travaillent et qui subissent les augmentations de prix, pour les retraités avec petite pension, pour les femmes seules avec enfants, alors que le litre d’essence est à 2€ : la gratuité fait du bien !

  • SOUTENIR LE COMMERCE DE PROXIMITÉ

Le commerce de proximité, en particulier celui du centre-ville de Montpellier, est en crise face à la concurrence des zones commerciales périphériques facilement accessibles en voiture. Parmi les nombreuses mesures de relance de son attractivité, celle de la gratuité des transports a fait ses preuves dans d’autres agglomérations tout en protégeant l’environnement.

  • MIEUX REDISTRIBUER L'IMPÔT DES MONTPELLIERAINS

Alors que les visiteurs extérieurs à la métropole payent leurs transports en commun une seule fois à travers l’achat du billet, les habitants de la métropole les financent 3 fois :

  • une 1ère fois à travers les tickets ou l’abonnement ;
  • une 2e fois à travers leurs impôts locaux (taxe d’habitation et taxe foncière) ;
  • une 3e fois à travers le versement mobilité (ex versement transport) payé par les entreprises où ils travaillent. La gratuité des transports permet ainsi de mieux redistribuer l’impôt des Montpelliérains.

"La gratuité des transports en commun, c’est du pouvoir d’achat en plus pour les familles, c’est l’écologie incitative pour tous, c’est récompenser les comportements vertueux."
Julie FRÊCHE

L’URGENCE D’AGIR POUR LE CLIMAT ET CONTRE LA CONGESTION DE LA MÉTROPOLE

A Montpellier, 40 % des émissions de CO2 proviennent des transports dont l’automobile. Cette pollution entraîne une forte dégradation de l’air dont toutes les études démontrent qu’elle est source de maladies.

La gratuité des transports en commun offre un choix de mobilité respectueux pour la planète. Elle incitera les automobilistes à franchir le pas des transports en commun, partiellement ou en totalité, en déposant sa voiture dans un parking relais par exemple.

Près de 140 000 véhicules entrent et sortent chaque jour dans la ville de Montpellier, soit 280 000 déplacements dégradant fortement la qualité de vie des Montpelliérains par les embouteillages et leurs nuisances.

"En France, le droit à l’éducation fut la grande question du XIXe siècle, le droit à la santé celle du XXe et le droit à la mobilité sera celle du XXIe siècle."
Michaël DELAFOSSE

Le 26 sepembre ce sera la Journée Européenne des langues

 

Journée Européenne des langues

0  contribution
La Journée européenne des langues a été créée durant l'Année européenne des langues en 2001, à l'initiative du Conseil de l'Europe, et de l'Union européenne. Des centaines d'activités à travers toute l'Europe célébrent la diversité des langues et encourageront leur apprentissage.

Célébrer la diversité linguistique

Célébrer la diversité linguistique, le plurilinguisme, l'apprentissage des langues tout au long de la vie.

Célébrer les langues signifie célébrer la diversité. Parler la langue de l'autre, c'est aller vers lui, se mettre à sa portée et lever les barrières et les appréhensions. Apprendre une langue est à la portée de tous. L'enthousiasme et la bonne volonté peuvent ouvrir des fenêtres vers des cultures et des horizons nouveaux.

Voir aussi, la journée mondiale de la traduction.

Un site à visiter : www.ecml.at