Pierresvives présente l’exposition “Aurel – De la musique plein les yeux”

 

 

Découvrez la magnifique rétrospective consacrée à l’artiste Aurel qui vous invite à explorer 20 ans de travaux inspirés par sa passion, la musique. A voir dès le 17 mars à Pierresvives !

Le Département donne rendez-vous au public pour un voyage extraordinaire à travers l’univers graphique du grand dessinateur montpelliérain qu'est Aurel.

Une carte blanche confiée à l’artiste qui nous invite à la découverte de 20 ans de travaux inspirés par sa passion, la musique. Une belle rencontre en perspective avec le mélomane et musicien qui se cache sous la plume.

 

 

 

“J’ai pour habitude de dire que si le dessin est constitutif de ce que je suis, la musique est ma passion. Une passion qui m’obsède et après laquelle j’ai toujours tenté de courir avec mon dessin. Lorsque Pierresvives m’a proposé une carte blanche, j’ai tout de suite pensé à la musique. C’est une manière de rendre hommage à cet art qui m’est si cher, l’occasion de retracer 20 ans de carrière à travers un pan moins connu de mon travail, mais qui est intemporel et qui reflète plein de facettes de ce que je fais.”

Aurel

 

Bien connu pour ses contributions aux journaux Le Monde et le Canard enchaîné (pour ne citer que ces titres !), Aurel est reconnaissable entre 1000 pour son trait singulier et son verbe franc.

Pourtant, ce n’est pas avec le caricaturiste de l’actu que nous avons rendez-vous dans la galerie d’exposition de Pierresvives…

Pour cette carte blanche, l’artiste a choisi de nous embarquer dans un tout autre univers, celui de la musique, une passion qui n’a cessé de l’inspirer depuis ses débuts.

 

En dessin et en musique !

Des strips aux pochettes de disques, en passant par ses reportages graphiques…. Pas moins de 200 œuvres, exposées dans un parcours scénographié autour de 10 thématiques majeures, nous font naviguer à travers les aventures que le dessin d’Aurel s’est offert en musique.

Et pour que cette immersion soit totale, l’artiste a fait appel à ses amis musiciens pour signer une bande sonore originale créée pour l’occasion en collaboration avec DJ Kayalik (Massilia Sound System). Ibrahim Maalouf, Silvia Perez Cruz, Magyd Cherfi, Fredo (Les Ogres de Barback), Renaud Garcia Fons et bien d’autres accompagnent le visiteur dans chaque étape de ce parcours.

Autre bonus de cette proposition d’envergure, la présence d’oeuvres réalisées par d’autres dessinateurs bien connus comme Cabu, FabCaro ou encore Tignous…

Un beau voyage dans l’univers d’Aurel à découvrir sans modération jusqu’au 29 juillet !

 

INFOS PRATIQUES

Exposition “Aurel – de la musique plein les yeux”
Du 17 mars au 29 juillet 2023

Entrée libre et gratuite
du mardi au samedi – de 10h à 19h

Visite guidée de l’exposition
les mercredis à 16h et les samedis à 11h et 16h
Inscription sur place dans la limite des places disponibles

+ d’infos : PIERRESVIVES

Pendant le printemps/été 2023, le musée Fabre présente une exposition autour de la créatrice Valentine Schlegel

 

 Jusqu'au 17 septembre 2023
 Musée Fabre
 
Valentine Schlegel, l’art pour quotidien | Musée Fabre
Pendant le printemps/été 2023, le musée Fabre présente une exposition autour de la créatrice Valentine Schlegel, au sein de l’hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran, département des arts décoratifs du musée. Au fil des salons du second étage le visiteur découvrira les grands jalons du parcours de cette artiste, tour à tour céramiste et sculptrice, solitaire et entourée, qui a conjugué ses talents et son goût pour la liberté au profit d’un véritable art de vivre.
|  Plein tarif 9 € | Pass Métropole 6 € | Tarif réduit 6 €

Nuit européenne des musées samedi 13 mai 2023 : demandez le programme !

 

Crédits : Ministère de la Culture

Le 13 mai 2023, découvrez la Nuit européenne des musées qui propose en soirée jusqu'à 1 heure du matin des milliers d'événements gratuits dans les musées de France et de 30 autres pays en Europe.

Des visites commentées et éclairées, des parcours ludiques et des jeux de piste, des ateliers, des projections, des spectacles vivants, des animations exceptionnelles... seront proposés le 13 mai à un large public dans de nombreux musées qui ouvriront gratuitement leurs portes partout en France et en Europe de la tombée de la nuit jusqu'à 1 heure du matin.

Avec près de 3 400 musées (dont 1 300 en France), la 19e édition de la Nuit européenne des musées s’inscrit dans la mission du ministère de la Culture de démocratiser l’accès à la culture et rendre accessible à tous la richesse et la diversité des œuvres des musées.

Cette année encore, dans le cadre de l’opération « La classe, l’œuvre ! », les élèves présenteront leurs travaux autour d'une œuvre ou d'un objet conservé dans les collections des musées participant à l’opération. Mené en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, ce dispositif permet aux élèves de devenir, le temps d’une nuit, des médiateurs culturels et de partager le travail artistique et culturel mené tout au long de l’année avec leurs enseignants.

Comment trouver la manifestation qui vous intéresse ?

Le site de la Nuit européenne des musées met à votre disposition une carte sur laquelle vous pouvez vous déplacer ou bien utiliser des critères de recherche pour découvrir le programme proposé dans votre ville, votre département, votre région : vous immerger dans l’univers sonore et visuel du XVIIIe siècle grâce à la performance d’Anne Perbal « Le Chignon » au Musée Cognacq-Jay, participer à une visite guidée à la lampe torche au musée des automates, à Falaise, ou encore assister à une « Slow visite » au musée des Beaux-Arts de Quimper, parmi tant d'autres événements.

La Nuit européenne des musées est organisée par le ministère de la Culture depuis 2005, en liaison avec les Directions régionales des affaires culturelles (DRAC) pour faire vivre autrement l'expérience du musée. Elle bénéficie du patronage de l’Unesco, du Conseil de l’Europe et de l’ICOM et de nombreux partenariats institutionnels et médias.

 

Pour en savoir plus

Exposition « La cinquième saison » du 2 au 25 juin 2023 à l'Espace Saint-Ravy

L’Espace Saint-Ravy a le plaisir d’accueillir l’exposition collective de quatre artistes : Nathalie Trovato, Maïa Amiel et Anne Even qui se sont rencontrées aux ateliers de la Halle Tropisme. Le titre de l’exposition, « La cinquième saison », évoque le changement d’état entre les saisons et nous invite à une réflexion sur notre rapport à la nature au travers de plusieurs techniques : la photographie, le collage, la sculpture et l’installation.
 
Exposition « La cinquième saison » du 2 au 25 juin 2023 à l'Espace Saint-RavyVoir l'image en grand

Vernissage jeudi 1er juin 2023 à 18h30

Le concept d’une cinquième saison évoque, comme une intersaison, un état transitoire entre ce qui n’est plus et ce qui est à venir. Il trouve son origine dans la médecine traditionnelle chinoise qui le définit entre une période de relais.

C’est aux changements d’état et aux transformations que se sont intéressées les quatre artistes. Chacune créée un parcours visuel, sensoriel, sensible, de différentes matières, d’échelles et de couleurs. En assemblant, découpant, imprimant des formes végétales et minérales, c’est notre propre rapport à la nature que les artistes interrogent.

Les sculptures et les photographies de Maïa Amiel évoquent la fragilité du cycle de vie du végétal tandis que Nathalie Trovato, elle, à travers ses dessins cherche à créer la sensation d’un enfant face au paysage. Enfin, Anne Even, joue avec les empreintes par des monotypes de feuilles, impressions uniques, comme la nature l’offre. Elle réalise aussi une installation olfactive.

Biographies

Maïa Amiel présente la série des Métamorphoses Vivantes en questionnant le cycle de vie du végétal. Formée à l’Ecole des Beaux-Arts de Nîmes et l’Ecole des Arts Décoratifs de Strasbourg en objet textile, l’artiste a exploré différentes pratiques et médiums, de la sculpture à la photographie en passant par la performance et l'installation. Sa fascination pour les éléments naturels, la production textile et la recherche de limites dans la matière, l’amène à dépasser les frontières entre art, artisanat et design. Ces créations textiles, habillées de perles, sont issues du monde végétal organique ou minéral.

Site internet

Anne Even est psychomotricienne, artiste et autrice, diplômée de l’Ecole des Beaux-arts de Grenoble et de Montpellier. En parallèle de son travail de clinicienne, elle développe une approche artistique dont la préoccupation constante est le corps, corps mis en scène, corps dans l’espace. Pour cette exposition, son approche du végétal se décline sur trois supports distincts : monotype, photographie et sculpture. A partir de feuilles et de branches sélectionnées, l’artiste imagine des compositions faisant apparaître des formes et des couleurs entre figuration et abstraction.

Site internet

Nathalie Trovato a étudié les langues et l’histoire de l’art avant de passer une grande partie de sa vie à l’étranger. Artiste autodidacte, ses dessins ont accompagné de nombreux textes et albums jeunesse et ont fait l’objet de plusieurs expositions. Elle questionne le vivant, de manière ludique et poétique avec une approche minimaliste du dessin. Pour cette exposition, elle crée un parcours immersif en noir et blanc qui rappelle le cheminement de l’enfant face au monde qui l’entoure et l’émerveillement que cette rencontre génère.

En jouant avec les rapports d'échelle, des pleins et des vides, elle nous invite à une lecture épurée et contrastée de la nature. Elle crée également des décors immersifs, à partir de papier peint et d’impressions textiles, dans lesquels la narration visuelle célèbre la nature et stimule l’imaginaire.

Site internet

Exposition " Olympe Racana-Weiler " à l'Hôtel Richer de Belleval

 
 
 
 Olympe Racana-Weiler
« Journal »
jusqu'au 09 septembre 2023
 
Hôtel Richer de Belleval
place de la Canourgue 
Montpellier
 
Après Jim Dine, Claude Viallat et Tadashi Kawamata, la Fondation GGL est heureuse de consacrer une exposition à Olympe Racana-Weiler (née en 1990).
L’artiste est la première à ouvrir le bal d’une succession de trois figures féminines de l’art contemporain.

Olympe Racana-Weiler vit sa peinture comme un danseur vit la musique.
L’artiste aux multiples talents réalise dans ses toiles abstraites une symphonie de couleurs dans un format qui se confronte souvent à la démesure. Connue pour restituer avec justesse toute la poésie de la peinture, l’artiste se laisse guider par son instinct, son énergie et ne se laisse jamais absorber par la puissance des espaces qu’elle compose.

La jeune peintre compte parmi les cinq créateurs qui ont réalisé des œuvres pérennes, au cœur du bâtiment emblématique qu’est l’Hôtel Richer de Belleval, à savoir Jim Dine, Abdelkader Benchamma, Marlène Mocquet, Jan Fabre, et donc Olympe Racana-Weiler. Dans le boudoir qui mène aux chambres, elle a réalisé le Chant de la sibylle, en peignant une salle entière, murs et plafond, un mois durant. Il en résulte une immersion profonde, joyeuse et jubilatoire dans la peinture.

Cette manière de sentiment océanique est un peu ce qu’on éprouvera dans son exposition, qui réunit des peintures mais aussi des gravures et un dessin sur bois. On le sait peu, mais une grande part de l’œuvre de la jeune peintre est gravé, et Journal permettra d’envisager cet aspect, avec des sérigraphies monotypes, des carborandum, des gravures sur bois. Ce qui caractérise ces tirages est l’émergence du visage, un peu comme une sainte face surgissant de la matière. Visages qu’on imagine enfouis sous la peinture dans les tableaux.

Le Chant de la sibylle évoque ce long et étroit couloir, l’Antre de la sibylle, au bout duquel la prophétesse de Cumes (près de Naples) délivrait ses oracles dans l’Antiquité, mais aussi la liturgie médiévale éponyme, chantée principalement en catalan, qui porte sur la fin des temps. L’exposition s’intitule Journal car la pratique de Racana-Weiler se construit au jour le jour, tirant sa substantifique moelle de tout ce que le quotidien apporte dans la vie de l’artiste.

Commissaire : Richard Leydier


INFORMATIONS PRATIQUES
Hôtel Richer de Belleval,
place de la Canourgue - 34000 Montpellier
https://www.fondation-ggl.com/ - Instagram @fondation_ggl

Visites guidées uniquement sur réservation en ligne
Ouvert du mardi au samedi de 14h00 à 18h00
 
 
Olympe Racana-Weiler
Née en 1990, la jeune peintre Olympe Racana-Weiler, d’origine franco-argentine, vit et travaille à Paris.
 
Après un BFA en Arts-Plastiques et Sciences des Arts à l’Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne en 2014, Olympe Racana- Weiler décide de prolonger sa formation académique par la transmission de savoir-faire d’exception.
Elle apprendra tout d’abord la lithographie au sein de l’atelier de gravure parisien de Michael Woolworth. Puis, formée aux côtés de l’artiste américain Jim Dine, elle enrichit sa technique ces années durant en travaillant la gravure sur bois au Steindruck Printing Studio en Autriche, parrainée par les maitres-imprimeurs Christoph Chavanne et Gabi Pechmann ; la céramique à la Manufacture Nationale de Sèvres ainsi que le bronze à la Blue Mountain Fine Art Foundry aux États-Unis.
 
Son travail a été présenté dans plusieurs expositions collectives depuis 2013 (France, Belgique, Roumanie, Singapour) et fait l’objet de solo-shows depuis 2018 (I came back from Par- adise and I’m frankly hungry, Galerie Jérôme Pauchant).
La même année, elle est lauréate du prix Antoine Marin pour la peinture et du prix Pierre Cardin de l’Académie des Beaux-Arts pour la peinture.
Depuis 2019, elle est représentée par la galerie Eric Dupont à Paris, qui a montré son travail lors de solo-shows (Neon Driving en 2019, Something about Silence en 2021), d’expositions collectives (Aleph, 2021, Dans ma tête c’est Mexico, 2020, Accrochage d’Été, 2019) et de foires internationales (ArtParis, AtBrussel).
 
 
 
 
Running about the house, 2023, 160cmx120cm, technique mixte sur toile de lin préparée.
 
 
Visage 6, 2023, 146cmx106cm, bois gravé, sérigraphie et carborundum sur papier Hahnemühle 300gr.
 

« Journal » d'Olympe Racana-Weiler du 10 mars au 09 septembre 2023 à l'Hôtel Richer de Belleval

« Journal » d'Olympe Racana-Weiler du 10 mars au 09 septembre 2023 à l'Hôtel Richer de Belleval place de la Canourgue - 34000 Montpellier

 
 
 
 Olympe Racana-Weiler
« Journal »
du 10 mars au 09 septembre 2023
 
Hôtel Richer de Belleval
place de la Canourgue 
Montpellier
 
Après Jim Dine, Claude Viallat et Tadashi Kawamata, la Fondation GGL est heureuse de consacrer une exposition à Olympe Racana-Weiler (née en 1990).
L’artiste est la première à ouvrir le bal d’une succession de trois figures féminines de l’art contemporain.

Olympe Racana-Weiler vit sa peinture comme un danseur vit la musique.
L’artiste aux multiples talents réalise dans ses toiles abstraites une symphonie de couleurs dans un format qui se confronte souvent à la démesure. Connue pour restituer avec justesse toute la poésie de la peinture, l’artiste se laisse guider par son instinct, son énergie et ne se laisse jamais absorber par la puissance des espaces qu’elle compose.

La jeune peintre compte parmi les cinq créateurs qui ont réalisé des œuvres pérennes, au cœur du bâtiment emblématique qu’est l’Hôtel Richer de Belleval, à savoir Jim Dine, Abdelkader Benchamma, Marlène Mocquet, Jan Fabre, et donc Olympe Racana-Weiler. Dans le boudoir qui mène aux chambres, elle a réalisé le Chant de la sibylle, en peignant une salle entière, murs et plafond, un mois durant. Il en résulte une immersion profonde, joyeuse et jubilatoire dans la peinture.

Cette manière de sentiment océanique est un peu ce qu’on éprouvera dans son exposition, qui réunit des peintures mais aussi des gravures et un dessin sur bois. On le sait peu, mais une grande part de l’œuvre de la jeune peintre est gravé, et Journal permettra d’envisager cet aspect, avec des sérigraphies monotypes, des carborandum, des gravures sur bois. Ce qui caractérise ces tirages est l’émergence du visage, un peu comme une sainte face surgissant de la matière. Visages qu’on imagine enfouis sous la peinture dans les tableaux.

Le Chant de la sibylle évoque ce long et étroit couloir, l’Antre de la sibylle, au bout duquel la prophétesse de Cumes (près de Naples) délivrait ses oracles dans l’Antiquité, mais aussi la liturgie médiévale éponyme, chantée principalement en catalan, qui porte sur la fin des temps. L’exposition s’intitule Journal car la pratique de Racana-Weiler se construit au jour le jour, tirant sa substantifique moelle de tout ce que le quotidien apporte dans la vie de l’artiste.

Commissaire : Richard Leydier


INFORMATIONS PRATIQUES
Hôtel Richer de Belleval,
place de la Canourgue - 34000 Montpellier
https://www.fondation-ggl.com/ - Instagram @fondation_ggl

Visites guidées uniquement sur réservation en ligne
Ouvert du mardi au samedi de 14h00 à 18h00
 
 
Olympe Racana-Weiler
Née en 1990, la jeune peintre Olympe Racana-Weiler, d’origine franco-argentine, vit et travaille à Paris.
 
Après un BFA en Arts-Plastiques et Sciences des Arts à l’Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne en 2014, Olympe Racana- Weiler décide de prolonger sa formation académique par la transmission de savoir-faire d’exception.
Elle apprendra tout d’abord la lithographie au sein de l’atelier de gravure parisien de Michael Woolworth. Puis, formée aux côtés de l’artiste américain Jim Dine, elle enrichit sa technique ces années durant en travaillant la gravure sur bois au Steindruck Printing Studio en Autriche, parrainée par les maitres-imprimeurs Christoph Chavanne et Gabi Pechmann ; la céramique à la Manufacture Nationale de Sèvres ainsi que le bronze à la Blue Mountain Fine Art Foundry aux États-Unis.
 
Son travail a été présenté dans plusieurs expositions collectives depuis 2013 (France, Belgique, Roumanie, Singapour) et fait l’objet de solo-shows depuis 2018 (I came back from Par- adise and I’m frankly hungry, Galerie Jérôme Pauchant).
La même année, elle est lauréate du prix Antoine Marin pour la peinture et du prix Pierre Cardin de l’Académie des Beaux-Arts pour la peinture.
Depuis 2019, elle est représentée par la galerie Eric Dupont à Paris, qui a montré son travail lors de solo-shows (Neon Driving en 2019, Something about Silence en 2021), d’expositions collectives (Aleph, 2021, Dans ma tête c’est Mexico, 2020, Accrochage d’Été, 2019) et de foires internationales (ArtParis, AtBrussel).
 
 
A propos de la Fondation d’entreprise GGL :

L’hôtel Richer de Belleval a été acquis en 2017 par le groupe GGL, acteur majeur de l’aménagement urbain et de la promotion immobilière en France, originaire de Montpellier et implanté sur l’ensemble du territoire. Le groupe est dirigé par trois associés mus par une vision singulière du développement urbain. Pour Alain Guiraudon, Jacques Guipponi et Jean-Marc Leygue, concevoir, aménager, bâtir et animer les espaces de vie de demain n’est pas qu’une question d’aménagement immobilier. Leur ambition est de construire des lieux de vie attractifs et singuliers dans lesquels l’Homme et la nature sont au centre des préoccupations. C’est pourquoi leur engagement embrasse non seulement la prise en compte des changements sociétaux et des dynamiques de mixité sociale et intergénérationnelle pour fabriquer une ville meilleure, mais aussi la préservation du patrimoine culturel, agricole, viticole et de la biodiversité, au travers du mécénat ou de l’implication dans l’agriculture urbaine et la viticulture responsable.

La Fondation d’entreprise GGL est une incarnation de l’engagement de ses trois dirigeants mécènes à encourager la création contemporaine et la faire aller à la rencontre du grand public en lui ouvrant les portes de l’Hôtel Richer de Belleval.

Le groupe GGL signe également la rénovation complète du bâtiment, conjuguant son expertise en termes de rénovation urbaine et la dimension d’excellence pour valoriser et faire perdurer ce patrimoine exceptionnel.
 
 
 
 
Running about the house, 2023, 160cmx120cm, technique mixte sur toile de lin préparée.
 
 
Visage 6, 2023, 146cmx106cm, bois gravé, sérigraphie et carborundum sur papier Hahnemühle 300gr.
 

Exposition « Éloge du vide » de Misa Ato du 6 au 28 mai 2023 à l'espace Saint-Ravy

L’Espace Saint-Ravy a le plaisir d’accueillir l’artiste photographe Misa ATO. L 'artiste explore, au travers du noir et blanc, la place du vide dans l’architecture.
Exposition « Éloge du vide » de Misa Ato du 6 au 28 mai 2023 à l'espace Saint-RavyVoir l'image en grand

Vernissage samedi 6 mai 2023 à 12h

L’ « Eloge du vide » est une exposition construite autour de 4 séries photographiques en noir et blanc de l’artiste montpelliérain Misa ATO.

Les séries ont en commun de questionner, d’explorer, la place et les jeux, des vides et des lignes dans l’architecture, comme un jeu formel et plastique, mais aussi comme des lieux de mémoires, de vestiges du passé.

La première série, « Anatomie du vide », vient explorer les lignes droites du bâti. Entre vide et plein, ombre et lumière, noir et blanc, un équilibre harmonieux se dessine.

Pour une autre série, « Impermanence de l’espace », Misa ATO s’inspire du wabi-sabi japonais, qui place l’impermanence, l’aléatoire, comme principe esthétique.

Par son regard, l’artiste vient souligner la poésie des constructions urbaines jugées ordinaires, sur lesquelles on s’attarde habituellement peu.

La série « In Fractions » figure, elle, l’architecture sous la forme de fragments et interroge ce qui reste des anciens occupants comme une manière d’évoquer l’oubli, la mémoire, l’éphémère, le durable, l’abandon ou encore le devenir.

La quatrième série, « Issue 21 », est composée d’images dans lesquelles l’artiste joue de mises en lumière de lieux abandonnés, comme des vestiges de ce qui était autre fois révélé.

Une installation de 43 mikados géants vient lier ces séries photographiques. Elle représente l’ambiguïté du travail de l’artiste qui manipule le construit et qui le déconstruit.

« Désireux d’interroger notre perception de l’espace, je revendique mon intervention sur le medium en donnant du volume. Il n’est pas question de simuler le sujet mais de mettre en perspective le plan de construction, de composition de la scène ou du lieu photographié. » Misa ATO

Biographie

Misa ATO, architecte, débute la photographie en 2017

« Marqué par l’architecture et attiré par la peinture, je cherche dans la singularité des objets, des lieux et des paysages, le point de métamorphose qui les fait basculer dans mon univers visuel. Comme des entropies d’architecture à imaginer.

L’entre, le bord, la limite, l’inoccupé, l’espace et le vide sont mes outils et viennent obstruer la photographie. Fin 2019, la mairie de Saint Sébastien d’Aigrefeuille dans le Gard, m’invite à présenter ma première exposition dans un ancien temple. Quatre séries sont installées et sont accompagnées d’une installation de 43 mikados géants. En 2020, l’éditeur Corridor Éléphant, repère une de mes séries et l’édite dans le Magazine Niepcebook. » Misa ATO

Pour plus d’informations

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Vernissage - Exposition : Frédéric Pajak. Je ne fais que passer

Le jeudi 4 mai, à 18h30, rendez-vous à l’Espace Dominique Bagouet pour le vernissage de Je ne fais que passer, première exposition montpelliéraine dédiée à l’œuvre dessinée de Frédéric Pajak.
Prix Suisse de Littérature 2021 pour l’ensemble de son œuvre, Frédéric Pajak est l’inventeur d’une des œuvres littéraires et graphiques les plus originales et fascinantes de notre époque. L’auteur du Manifeste incertain (9 volumes parus aux éditions Noir sur Blanc) bâtit livre après livre un monument intempestif, somme de souvenirs autobiographiques, réflexion sur la littérature et les arts, méditation inactuelle sur la condition humaine.
 
 
Vernissage en présence de l'auteur et de Nicolas Raboud, commissaire.

Exposition "Aux commencements" d'Anna Mendieta au MO.CO Panacée

 

La monographie consacrée à l’artiste cubano-américaine Ana Mendieta (1948-1985) au MO.CO. Panacée rassemble une centaine d’œuvres sur plus de 15 années de production (1968-1985).
Exposition "Aux commencements" d'Anna Mendieta au MO.CO PanacéeVoir l'image en grand

L’exposition explore en particulier comment l’artiste n’a eu de cesse de se réinventer, en développant un langage sculptural inédit, souvent éphémère, parfois performatif, nourri de ses recherches sur les mythes originels et l’art rupestre.

L’exposition s’attache plus particulièrement à révéler son rapport au visible et à l’invisible, au permanent et à l’impermanent, sa manière de rendre dicible l’indicible par l’empreinte du corps et son inscription dans la nature. L’exposition ne se veut pas rétrospective, mais au contraire célèbre la pertinence d’une œuvre contemporaine, politique et vibrante.

Une exposition conçue par le MO.CO. Montpellier et produite en collaboration avec le MUSAC Museo de Arte Contemporáneo de Castilla y León et le Musée des beaux-arts de La Chaux-de-Fonds (Suisse)

Informations pratiques

  • Exposition à découvrir du 3 juin au 10 septembre 2023
  • Vernissage le vendredi 2 juin à 18h

Site du MO.CO Panacée

Exposition “Camargue Nature” de Thierry Vezon, du 25 janvier au 25 mai 2023 au zoo de Lunaret

 

Exposition “Camargue Nature” de Thierry Vezon, du 25 janvier au 25 mai 2023 au zoo de Lunaret

 
Mercredi 25 Janvier 2023, 18:30 - Jeudi 25 Mai 2023, 17:30

 

Zoo de Lunaret

Le Parc de Lunaret propose une nouvelle exposition photographique mettant à l’honneur un écosystème local, la Camargue, à travers le regard du grand photographe montpelliérain, Thierry Vezon.

Spécialisé dans la photographie de faune et de paysages, Thierry Vezon consacre de très longues heures à l'affût pour capter des clichés artistiques en prenant soin de toujours respecter la nature. Lauréat de nombreux prix dans de prestigieux festivals de photographie naturaliste, il s’est aussi fait connaître par ses prises de vues aériennes en ULM. Il sillonne la Camargue depuis de nombreuses années avec la complicité des hommes qui l’habitent. Il a photographié les paysages et l’exceptionnelle biodiversité du delta du Rhône en particulier les oiseaux, les taureaux et les chevaux.

Il a su saisir la beauté de ce territoire en prenant des images très graphiques et picturales, plus particulièrement les Salins qui prennent, en été, des couleurs exceptionnelles. Au fil des années, son travail sur l’oiseau le plus emblématique de la Camargue, le flamant rose, a permis de documenter cette espèce protégée. Vus du ciel, ou au ras de l’eau, en toutes saisons, ses photos montrent les flamants roses dans leur milieu d’une façon originale.

La Camargue est un des principaux sites de nidification et participe au retour de cet oiseau dans toute la Méditerranée. Ce lieu abrite un éventail de naturalités, allant des paysages intensivement cultivés à des espaces dynamiques, en libre évolution. Ainsi la nature spontanée qui prend place dans ces espaces domestiqués (digues…) puis abandonnés constitue l’entre nature que le photographe Thierry Vezon propose de faire découvrir.

Présentation du photographe

Photographe indépendant résidant dans le Gard, Thierry Vezon se consacre à la photo nature depuis 2004. Même s’il affectionne voyager, en particulier dans le grand Nord, ses lieux de prédilection sont situés dans le Sud de la France : le Languedoc, la Provence, la Camargue, les Cévennes.

Spécialisé dans la photographie de faune et de paysages, il collabore entre autres avec Terre Sauvage, Nat’images, Géo, La Salamandre, BBC Wildlife magazine. Il a publié une vingtaine d’ouvrages dont « Cévennes nature », « Camargue entre ciel et terre », « Le flamant rose en Camargue », « Chevaux Camargue », « Cévennes d’arbres et de pierres » (Éditions Alcide) et Camargue Sauvage (Éditions Biotope).