Marlène Mocquet "Différent Parfois, Libre toujours" - Fondation GGL M
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L’exposition a été réalisée par le Conseil d’Architecture d’Urbanisme et de l’Environnement de l’Hérault (CAUE 34) sous la direction de Michèle BOUIS directrice adjointe du CAUE jusqu’à 2015, qui sera présente lors du vernissage.
Vernissage le vendredi 26 octobre à partir de 16h
Né en 1870 à Montpellier d’un père protestant, Edmond Leenhardt va marquer le paysage Montpelliérain grâce ses talents architecturaux.
Après avoir intégré l’école des Beaux-Arts à Paris, il s’impose très vite comme l’architecte officiel de la bourgeoisie protestante montpelliéraine. Il réalise pour celle-ci de somptueuses villas, mais il ne reste pas cantonné à l’architecture de luxe.
Edmond Leenhardt construira également pour les familles les plus modestes, il est l’architecte des « Habitations bon marché », qui s’apparentent à un ensemble de logement à caractère social. Malgré son importante contribution à la ville de Montpellier, Edmond Leenhardt reste peu connu, pourtant ses réalisations sont nombreuses : bâtiments d’enseignement, édifices publics, cliniques, caves coopératives.
Architecte méconnu aux nombreuses réalisations reconnaissables pour les amateurs d’architecture : des toits à large débordement, emploi de moellons de pierre pour la construction, larges frises décorées de motifs à caractère symbolique. Les réalisations d’Edmond Leenhardt témoignent d’une œuvre où l’exigence de la qualité est une constante.
« Edmond Leenhardt : architecte montpelliérain » - Exposition jusqu'au 26 novembre 2023
Entrée libre et gratuite
Du lundi au samedi de 10h à 17h30
EHPAD Françoise Gauffier
135, Rue André Puig Aubert - 34070 Montpellier
Toutes 3 diplômées de l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier, elles abordent dans cette exposition la complexité éprouvée à comprendre l’Autre lorsqu’il y a des différences culturelles et linguistiques par l’installation, la vidéo et le son.
Vernissage le vendredi 27 octobre 2023 à 18h30
Le titre de l’exposition est déjà composé d’un mélange évocateur de coréen et de français : « 엉성한 » signifie maladroit et « 번역 » signifie traduction. Cette fusion des langues révèle le multiculturalisme des artistes, entre deux pays et deux cultures.
C’est aussi un moyen pour elles de se rattacher à leur langue maternelle comme point de repère. Yuri Sohn, Yiseul Bae et Daseul Woo abordent l’expérience de la traduction comme un moyen de faire passer quelque chose par l’interprétation, le contexte, les expressions non verbales.
Yiseul Bae développe le vide inéluctable de la communication humaine par des œuvres sonores et des installations. Partant du principe que le dialogue est voué à échouer, elle cherche à faire découvrir au public un espace intermédiaire entre la compréhension et l’incompréhension.
Yuri Sohn explore la collusion entre le désir d’énonciation et l’imperfection du langage humain à l’aide de vidéos et d’œuvres sonores fictives. Elle expérimente les incompréhensions et les malentendus.
Enfin, Daseul Woo utilise également la vidéo et l’installation comme une manière de contempler les distorsions et les illusions créées par les sentiments et les sensations.
L’exposition est soutenue et fait partie de la programmation du 9e pré-festival Corée d’ici. Crée à l'occasion des années croisées France-Corée en 2015-2016, il célèbre les 130 années de relations diplomatiques entre ces deux pays, chaque année à Montpellier et dans sa Métropole.
Le festival propose au public de découvrir les multiples facettes de la Corée à travers plusieurs événements : expositions, danse, cinéma, concerts, cuisine et ateliers rythment ces moments hauts en couleur !
Il souhaite aussi favoriser les échanges franco-coréens en mettant en place des résidences entre des artistes locaux et des artistes coréens. Entre modernité et tradition, le festival Corée d’ici plonge son public dans l'univers et la sensibilité du riche patrimoine coréen.
L'Espace Dominique Bagouet est un lieu d'art et de patrimoine ouvert gratuitement au public. Dédié aux artistes régionaux du 19e et du 20e siècles, son succès est croissant, depuis sa réouverture en 2012.
Mardi 10 octobre 2023, Agnès ROBIN, Ernest Dükü, Artiste plasticien et Nakhana Diakité Prats, Commissaire de l’exposition, ont présenté l'exposition "Boson Man, particule élémentaire" à découvrir à l'espace Dominique Bagouet jusqu'au 7 janvier 2023. L’exposition s’inscrit dans la première édition de la Biennale Euro-Africa de Montpellier.
Travaillant à Paris et en Côte d’Ivoire, dont il est originaire, Ernest Dükü conte à l’encre et en images l’histoire coutumière d’une Afrique symbolique, d’Abidjan à Paris, dans une ferme volonté de syncrétisme. Son esthétique nourrie de codes et de signes mêle recherche, tradition primordiale et traduction contemporaine.
Féru de symboles et initié dès son plus jeune âge au langage des idéogrammes Akan, l’artiste tente de retranscrire le Boson, ou particule élémentaire de l’être en langue Akan, en faisant également référence au Boson de Higgs, la plus petite particule élémentaire en physique quantique.
De la recherche plastique et esthétique aux codes et messages à déchiffrer, du monde de l’invisible et des esprits à celui de la science, tout dans l’œuvre d’Ernest Dükü nous renvoie aux regards croisés que l’artiste aime convoquer. De cette manière il s’enracine dans un débat très actuel qui questionne les syncrétismes religieux pour mieux les transcender.
L’exposition proposera aux publics une déambulation entre kakemonos de papiers froissés, installation de sculptures et petits formats à l’encre de chine. « Depuis que le monde existe, le monde humain est empreint de symboles ; et pourtant on dit que l’Afrique n’a pas d’histoire, parce que rien n’a été écrit. L’histoire africaine existe bel et bien gravée dans des symboles. C’est pourquoi j’utilise des chiffres et des symboles dans une volonté de retranscrire l’altérité de notre histoire. » Ernest Dükü, 2017.
Artiste plasticien, Ernest Dükü est également enseignant à l’Ecole d’Architecture d’Intérieur de l’Institut National Supérieur des Arts et de la Culture (INSAC) d’Abidjan. Il est diplômé de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts d’Abidjan (1982), de l’École Nationale des Arts Décoratifs de Paris (Architecture d’Intérieur, 1986), de l’Université de Paris I Panthéon Sorbonne (DEA Esthétique et Science de l’Art, 1990), et de l’École d’Architecture de Paris la Défense (Architecte DPLG, 1991).
La commissaire de l’exposition, Nakhana Diakité Prats est fondatrice du cabinet de conseil NAKAHANA-D FINE ART. Spécialisée en art contemporain et en iconographie africaine, Nakhana Diakité Prats est conférencière sur les sujets liés à la géopolitique de l’art. Critique d’art, elle est l’autrice de plusieurs articles dont L’Afrique, la ruée vers l’art, bulle ou boom, Learning from Timbuctu, A chair and you . Enfin, c’est elle qui a assuré le commissariat de l’exposition Abdoulaye Konaté. Lune bleue proposée à l’Espace Dominique Bagouet à l’été 2021 et jusqu’au sommet Afrique-France des 7/9 octobre 2021 à Montpellier.
Entrée Libre et gratuite.
Cet équipement très central, situé esplanade Charles de Gaulle, est l'ancienne galerie d'expositions photographiques, transférée au Pavillon Populaire en 2007. Accueillant depuis cette date la Maison de l'énergie, ce lieu de taille moyenne a été transféré courant 2012 à la Direction de la Culture et du Patrimoine pour redevenir une salle d'exposition.
Suite à la rénovation et à la réouverture du Musée Fabre, tourné de plus en plus vers l'international, de nombreuses grandes figures artistiques régionales des 19e et 20e siècles n'ont plus été montrées dans notre ville faute de lieux dédiés. L'attente, pourtant, est immense de la part des montpelliérains, attachés à ces artistes de qualité qui font partie intégrante de notre patrimoine commun.
Par sa taille, par la possibilité d'adapter exactement l'espace à ce type de travaux, par son emplacement idéal, l'Espace Dominique Bagouet est la vitrine emblématique de ces artistes souvent injustement méconnus.
Esplanade Charles de Gaulle — 34000 Montpellier
+33 (0)4 67 63 42 78
Du mardi au dimanche (sauf 25 décembre, 1er janvier et 1er mai)
Hiver : 10h - 13h et de 14h - 18h
Eté : 11h - 13h et 14h - 19h
Adultes : jeudi à 16h
Enfants : samedi à 11h et à 16h
Réservations obligatoires par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par tél. : 04 67 66 88 91 Entrée libre et gratuite pour tous les publics / Accessibilité aux personnes handicapées
Venez à la rencontre de nombreux artistes cressois !
Ils vous attendent le week-end du 7 et 8 octobre 2023 à la salle du Chai et à la Maison du Patrimoine, pour une exposition qui vous transportera dans de nombreux univers !
Samedi 7 octobre
12h : Vernissage
15h : Conférence Histoire de l’Art de Odile Gancedo « Vermeer, peintre de la femme »
19h : Concert jazz « Avec des bulles »
Dimanche 8 octobre
15h30 : Concert de la “Chorale Joyful” dirigée par Anne-Sophie Dumotier (association Alegria)
Alain Ernoult, artiste photographe et reporter de l'extrême, nous offre dans son exposition « La sixième extinction » des portraits d’espèces sauvages menacées et nous appelle à prendre conscience de la mise en péril du règne animal.
L’exposition « La sixième extinction » nous invite à admirer des espèces en voie de disparition du monde entier dans une nouvelle expérience artistique et sensorielle. Un véritable voyage en noir et blanc pour s’émouvoir devant la richesse et la beauté de notre nature !
« C'est une hérésie de croire que l'Homme peut détruire autant d'espèces animales ou végétales sans être lui-même directement menacé... Il faut sauver la Nature pour sauver l'Humanité.
Quand on partage et qu’on témoigne en montrant la beauté des choses, on a plus d’impact. » Alain ERNOULT
Correspondant de guerre pour la presse internationale, Alain Ernoult a couvert de nombreux conflits.
Aujourd’hui, passionné par l’aventure, les animaux et la photographie, il parcourt le monde en immortalisant la vie des animaux dans leur environnement naturel. Ses images pleines de sincérité témoignent de la vie sauvage et de la Nature, expression de son intrépidité et de sa volonté de protection de la biodiversité.
Découvrez l'exposition du 6 octobre au 27 janvier
du mardi au samedi, au domaine départemental de Pierresvives, 907 Rue du Professeur Blayac à Montpellier.
Retrouvez le programme complet de Pierresvives ici.
Cette première exposition de rentrée a été inaugurée mercredi 20 septembre 2023, en présence de Michel CALVO, des résidents et leurs familles et de l'artiste.
Ouverte à toutes et tous, L'idée du bonheur - ou quand nos aînés expriment leur propre idée du bonheur - est à découvrir jusqu'au 20 octobre 2023. Entrée gratuite.
L’artiste Philippe Fourcadier a réuni des bénéficiaires des actions du CCAS autour de la question « Quelle est votre idée du bonheur ? ». Parler de bonheur ? Pourquoi pas ?
Le concept est simple : traduire en photographie la parole recueillie, tenter de relier un témoignage personnel et intime à une photographie, une image glanée ou fabriquée. Suite au succès de la précédente exposition du photographe Philippe Fourcadier, organisé par le CCAS à la Halle Tropisme en décembre 2020, l’EHPAD Françoise Gauffier offre à ses visiteurs une parenthèse de bonheur à travers les œuvres sélectionnées par l’artiste.
Parce que chaque histoire compte et que le bonheur n’est pas exclusif à la jeunesse, il est important de donner une voix aux aînés. Résidents d'EHPAD, adhérents des Clubs de l’Âge d’Or, usagers des services à la personne : les bénéficiaires du CCAS de Montpellier ont accepté de se prêter au jeu de Philippe Fourcdier, en exprimant de manière synthétique leur propre « idée du bonheur ».
C’est l’idée de créer un pont entre les âges qui a mené vers la création du tiers-lieu culturel Pass’Âge des Arts. Le projet rapproche les différentes générations par la proposition d'espaces d’échanges, de rencontres et d’apprentissages autour de la culture.
Situé au cœur de la ville, ce projet favorise et encourage l'intégration de la culture dans le quotidien des résidents et des habitants du quartier. Le tiers-lieu culturel « Pass’Âge des Arts » est un véritable lieu de vie réunissant petits et grands autour d’un même intérêt : le partage de la culture.
Gratuit et ouvert à toutes et tous, l’EHPAD Françoise Gauffier propose une programmation trimestrielle variée, en s’appuyant sur différents partenariats et liens tissés avec les structures voisines et les artistes (centre de loisirs Savary, Maison Pour Tous Michel Colucci, écoles, etc.).
A venir en octobre : une exposition dédiée à l’architecte Edmond Leenhardt.
L'idée du bonheur
Du 20 septembre au 20 octobre 2023
Tiers-lieu Pass’Âge des Arts au sein de l'EHPAD Françoise Gauffier
135, Rue André Puig Aubert - 34070 Montpellier
Entrée gratuite
Vernissage de l'exposition, Mardi 10 octobre à 18h30.
C’est au sein de la programmation officielle de la nouvelle Biennale Euro-Africa de Montpellier que la Ville de Montpellier propose cette exposition monographique de Ernest Dükü à l’Espace Dominique Bagouet. Travaillant à Paris et en Côte d’Ivoire, dont il est originaire, Ernest Dükü conte à l’encre et en images l’histoire coutumière d’une Afrique symbolique, d’Abidjan à Paris, dans une ferme volonté de syncrétisme. Son esthétique nourrie de codes et de signes mêle recherche, tradition primordiale et traduction contemporaine. Féru de symboles et initié dès son plus jeune âge au langage des idéogrammes Akan, l’artiste tente de retranscrire le Boson, ou particule élémentaire de l’être en langue Akan, en faisant également référence au Boson de Higgs, la plus petite particule élémentaire en physique quantique.
De la recherche plastique et esthétique aux codes et messages à déchiffrer, du monde de l’invisible et des esprits à celui de la science, tout dans l’œuvre d’Ernest Dükü nous renvoie aux regards croisés que l’artiste aime convoquer. De cette manière il s’enracine dans un débat très actuel qui questionne les syncrétismes religieux pour mieux les transcender. L’exposition proposera aux publics une déambulation entre kakémonos de papiers froissés, installation de sculptures et petits formats à l’encre de Chine.
« Depuis que le monde existe, le monde humain est empreint de symboles ; et pourtant on dit que l’Afrique n’a pas d’histoire, parce que rien n’a été écrit. L’histoire africaine existe bel et bien gravée dans des symboles. C’est pourquoi j’utilise des chiffres et des symboles dans une volonté de retranscrire l’altérité de notre histoire. » Ernest Dükü, 2017.
Artiste plasticien, Ernest Dükü est également enseignant à l’Ecole d’Architecture d’Intérieur de l’Institut National Supérieur des Arts et de la Culture (INSAC) d’Abidjan. Il est diplômé de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts d’Abidjan (1982), de l’École Nationale des Arts Décoratifs de Paris (Architecture d’Intérieur, 1986), de l’Université de Paris I Panthéon Sorbonne (DEA Esthétique et Science de l’Art, 1990), et de l’École d’Architecture de Paris la Défense (Architecte DPLG, 1991).
La commissaire de l’exposition, Nakhana Diakité Prats est fondatrice du cabinet de conseil NAKAHANA-D FINE ART. Spécialisée en art contemporain et en iconographie africaine, elle est conférencière sur les sujets liés à la géopolitique de l’art. Critique d’art, elle est l’autrice de plusieurs articles dont L’Afrique, la ruée vers l’art, bulle ou boom, Learning from Timbuctu, A chair and you . Enfin, c’est elle qui a assuré le commissariat de l’exposition Abdoulaye Konaté. Lune bleue proposée à l’Espace Dominique Bagouet à l’été 2021 et jusqu’au Nouveau Sommet Afrique-France des 7/9 octobre 2021 à Montpellier.
Je ne fais que passer est une importante exposition monographique consacrée à l’œuvre de Frédéric Pajak par La Comédie du Livre – 10 jours en mai et la Ville de Montpellier. Elle réunit environ 140 dessins issus principalement des neuf volumes de son Manifeste incertain, publié aux éditions Noir sur Blanc.
L'exposition est à découvrir jusqu'au 3 septembre à l'espace Dominique Bagouet
Télécharger le dossier de presse
Interview de Frédéric Pajak par le Magazine Montpellier Métropole en commun