Visites guidées - Voyage en mouvement, une visite en famille 2-5 ans ludique et adaptée au très jeune public au pays du geste, des formes et des couleurs. Tous les mardis, mercredis et vendredis à 10h du 6 au 31 août. Durée 45 min/1h.
Tarif 7€/personne (parents et enfants) - Abstractions, une visite en famille 6-10 ans. Après un court atelier, les familles découvriront l'exposition accompagnées d'un médiateur. Tous les mardis, mercredis et vendredis à 10h du 6 au 31 août. Durée 1h/1h15. Tarif 7€/personne (parents et enfants) telier (réservé aux enfants à partir de 7 ans)
Résonances : une histoire d'accords. Il y a deux règles fondamentales coexistant dans le jazz : le cadre et la liberté. Il existe dans le jazz un espace totalement libre : le jeu "out" qui n'obéit à aucune règle mais se positionne par rapport à elle. Cet atelier propose aux enfants d'expérimenter une équivalence dans les arts plastiques. Tous les mardis et jeudis de 10h à 12h et de 14h à 16h du 10 au 31 août. Tarif plein 12€/Pass'métropole 10€.
Les places sont à réserver sur la billetterie en ligne : https://musee-fabre.tickeasy.com/fr-FR/accueil
L'exposition d'été du musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole démarre le 6 août ! Après une première étape au Musée d'arts de Nantes qui se termine le 18 juillet, elle est consacrée à un ensemble d’artistes américains qui, installés en France juste après la Seconde Guerre mondiale, ont contribué à la redéfinition de l’art abstrait sur le continent européen.
Les équipes du musée Fabre sont enchantées de vous dévoiler l'affiche de cette exposition.
La Serre se réjouie de vous annoncer sa prochaine exposition dédiée à l’art africain. Le travail de 3 jeunes artistes accueillis en résidence du 15 juin au 15 juillet dans notre espace sétois, le Réservoir, y sera présenté à cette occasion.
Ces artistes sont issus de différents pays du continent africain, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, le Congo et la Guinée. Entre peinture, sculpture et installation, les œuvres des artistes Rafiy Okefolahan (né en 1979 à Porto Novo au Bénin), Yves Gbai Obou dit Peintre Obou (né en 1992 à Guido en Côte d’Ivoire) et Bellus embarqueront le spectateur à travers un voyage qui retrace l’histoire et synthétise la culture africaine.
Avec la participation de la FAAF [ Fédération artistique Afrique-France ] & Saison Africa 2020
Jusqu’au 31 juillet à Pierresvives, retrouvez l’exposition historique du 150e anniversaire de La Commune. Grace à l’initiative de l’association La Carmagnole en partenariat avec le Département de l’Hérault, découvrez une sélection de 20 panneaux choisis par l’auteur Eloi Valat. L’ensemble des 70 planches et une interview de ce dernier sont disponibles sur le site des Archives départementales de l’Hérault: archives-pierresvives.herault.fr
L’association La Carmaniole célèbre le 150e anniversaire de la Commune de Paris à Pierrevives du 15 juin au 31 juillet. Eloi Valat, peintre, dessinateur, et montpelliérain de cœur (ayant effectué une partie de ses études ici) a consacré plusieurs ouvrages à La Commune. La présentation de l’intégralité des panneaux sera accessible sur la table lumineuse au sein de l’exposition et sur le site des archives.
Eloi Valat n’est pas historien mais il raconte la Commune telle qu’il l’imagine après avoir lu presque tout ce qui a été écrit à son sujet, véritablement habité par cet événement auquel il a consacré de nombreux ouvrages : Le Journal de la Commune, Louises – Les femmes de la Commune, La semaine sanglante de la Commune de Paris, L’enterrement de Jules Vallès, Dessiner la Commune…
Le but de cette exposition est de porter à la connaissance des Héraultais.es cet épisode important de l’Histoire incontournable dans la culture contemporaine. Il s’agit de vous montrer ses résonnances dans l’Hérault, notamment au travers de la présentation d’archives.
LE JOURNAL DE LA COMMUNE 15 juin/31 juillet 2021 - Atelier de l’Histoire - Pierresvives, Montpellier Entrée libre et gratuite → RDV sur pierresvives.herault.fr
Ce week-end, venez découvrir les différents univers des trois artistes exposés lors de notre saison contemporaine :
Pierrette Bloch fait goutter la peinture, point après point, sur le papier ou sur la toile disposée à l’horizontale, noue consciencieusement le crin, inscrit de larges traces blanches au pastel.
André-Pierre Arnal plie, froisse, ficelle la toile, colle et décolle le papier.
Stéphane Bordarier développe une technique picturale qui se rapproche de celle de la fresque, dans laquelle la couleur est prise dans la colle encore humide, induisant l’urgence du geste.
Vous avez deux possibilités :
La visite libre : vous achetez votre entrée à l'avance ou vous prenez votre billet à l'accueil du musée, nos agents vous indiquent où sont exposés ces artistes et c'est parti
Les visites guidées : elles sont proposées samedi et dimanche à 14h. De la même manière, vous pouvez réserver à l'avance (c'est conseillé car le nombre de places est limité), et vous êtes accompagné(e) de nos guides-conférenciers qui vous diront tout sur les mondes de Pierrette Bloch, André-Pierre Arnal et Stéphane Bordarier.
Pour en savoir plus sur cet accrochage, c'est ici...
Décédé en 2014 à Montpellier, Manitas de Plata (Ricardo Baliardo de son vrai nom) était un grand musicien, aussi talentueux que Django Reinhardt dont il était l’ami. Il a côtoyé les plus grands artistes du 20ème siècle, Picasso, Dali, Cocteau. Il a joué au Carnegie-Hall, a enregistré 80 disques, en a vendu plus de 100 millions. Plus que Mickael Jackson !
Il donne son nom au Conservatoire à Rayonnement Intercommunal de Sète agglopôle méditerranée, comme pour prolonger sa présence à Sète, sur le Quai des Moulins qui l’a vu naître. Manitas de Plata, l’homme, l’artiste, le gitan… est à l’honneur d’une exposition à découvrir dans ce nouveau bâtiment communautaire, dès le mercredi 19 mai 2021 (dans le respect des règles sanitaires / accès limité selon la jauge fixée).
C’est à Gilles Favier, directeur artistique du festival ImageSingulières, que Sète agglopôle méditerranée a confié la réalisation de la scénographie. Conçue en trois parties (sa vie à Sète, sa musique et ses tournées dans le monde), elle sera présentée dans la salle d’exposition du Conservatoire.75 photographies originales seront exposées. Des petits formats, entourées d’une marquise et d’un cadre en chêne. Mais également des objets scéniques, de grands livrets avec toutes les coupures de presse, des pochettes de disques, des affiches, des contrats… Et en fond sonore, sa musique inégalable…
Exposition visible les mardis, mercredis et jeudis de 14h à 17h et le samedi de 10h à 17h
L’Espace Saint-Ravy a le plaisir d’accueillir l’artiste Nancy Barwell, dès le 5 juin prochain. Après des études de médecine, l'artiste s’est orientée vers l’histoire de l’art et les arts plastiques, puis a axé sa pratique sur le dessin et la peinture. Nancy Barwell trouve son inspiration dans les territoires qu’elle explore par la marche et le voyage. La réalisation de son œuvre commence toujours par des séries photographiques.
L'exposition « Les Marcheurs d’Avila »
Le titre de l’exposition « Les Marcheurs d’Avila » fait référence à la rencontre d’une petite ville espagnole du nom d’Ávila, capitale d’une province espagnole du même nom, au Nord-Ouest de Madrid. À partir de ses prises de vue, elle constitue un jeu graphique de déconstruction et puis de reconstruction, en créant des espaces imaginaires. Les lignes de fuite, les ogives, les colonnes animent des scènes où des passants se faufilent comme des ombres éphémères. Certains objets plastiques tels que les lanternes, plis ou inscriptions viennent enrichir l’aspect énigmatique de ces compositions.
Si sur certaines zones de l’image, le spectateur peut se projeter dans la vraisemblance d’un compagnonnage avec les marcheurs, en d’autres points, il ne le peut plus, restant lui-même en suspens, livré à la perplexité de l’interrogation entre ce qu’il sait être vrai et ce qui ne semble pas l’être. Nancy Barwell utilise la figure du « Marcheur » comme paradigme de l’humain qui avance non tant vers une destination que vers un destin.
Les qualités plastiques de l’ombre et du fusain permettent la découverte miroitante de l’intime en équilibre entre le vide et le mystère.Pendant la durée de l’exposition, une vidéo réalisée par Philip Barwell sera projetée : Rym Benhachemi, comédienne, y fait une lecture du texte de Virginia Woolf, intitulé « Dans les rues de Londres ».
En parallèle à cette exposition, le vendredi 25 juin à 18h30, l’ensemble « Guitare Plus » donnera un concert à la Maison des Chœurs de Montpellier, place Albert 1er.
Biographie
Née à Oran en Algérie, Nancy Barwell a étudié à Paris . Elle vit et travaille à Montpellier depuis 5 ans. Après des études de médecine et de psychanalyse, Nancy Barwell s’est orientée vers une pratique artistique. Elle est titulaire d’une licence d’Histoire de l’Art obtenue en 1985, elle suivra ensuite un DEA d’Arts Plastiques à Paris I, en 2004. Pendant six ans, Nancy Barwell a animé un séminaire ayant pour titre « Création, Psychanalyse, Politique » à Toulouse. Depuis plus de vingt ans, elle expose en France et à l’étranger. Elle a également réalisé une dizaine de DVD dans le cadre de l’Association d’amitié franco-algérienne Baraka qui fait un travail de mémoire et de transmission sur l’histoire de l’Algérie.
Le samedi 19 juin, de 14h30 à 16h00, le musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole met à l’honneur trois artistes contemporains issus de trois générations différentes, Pierrette Bloch, André-Pierre Arnal et Stéphane Bordarier. Ils se sont tous les trois intéressés à la matérialité de la peinture, élaborant de nouvelles techniques picturales mises au cœur de leur pratique. Nous découvrirons les œuvres de ces artistes qui ont récemment rejoint les collections du musée.
Nous vous attendons nombreux le samedi 19 juin de 14h30 à 16h ! À bientôt.
Groupe limité à 9 participants – Réservation obligatoire à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
2 expositions à l'occasion de cet anniversaire particulier :
FOREVER MIAM
4 juin 2021 au 9 janvier 2022
A l’image de tubes ou albums pop iconiques comme Forever Changes du groupe Love ou Forever Young de Bob Dylan, le MIAM résonne en nous comme une chanson !
Forever MIAM raconte l’histoire du musée, depuis sa création en 2000 par Hervé Di Rosa et Bernard Belluc, et derrière, la programmation d’une quarantaine d’expositions et l’histoire des Arts Modestes.
L’exposition s’organise autour de la sculpture géante le SURMIAM, créée pour l’occasion par Hervé Di Rosa à partir des quatre lettres M.I.A.M., avec la double fonction de vitrine et de meuble d’assise pour les visiteurs.
Les 20 ans du musée sont évoqués par une sélection d’oeuvres et d’objets de la collection, des cartes inédites des Territoires de l’art d’Hervé Di Rosa, ainsi que par une documentation inédite de photos et de vidéos rappelant les temps forts de l’histoire du MIAM.
Un disque vinyle 45 T de l’Hymne du MIAM, est réédité pour les 20 ans, composé, réalisé par Patrick Chenière alias Général Alcazar et Pascal Comelade. La pochette est créée par Hervé Di Rosa.
Commissariat : Françoise Adamsbaum assistée de Sylvie Côte
Le MIAM défriche et présente les oeuvres d’artistes français influencés par le mouvement psychédélique. De la genèse à nos jours, de nombreuses oeuvres inédites issues de collections privées et d’institutions seront exposées dans un kaléidoscope jubilatoire à l’image de cette parenthèse enchantée ...
Héritier du surréalisme, des mandalas, cousin de la Beat Generation, de l’Op et du Pop, l’art psychédélique est porteur de visions irréelles flamboyantes, idéales ou cauchemardesques. Le terme psychédélique apparait en 1957 au terme d’échanges épistolaires entre l’écrivain Aldous Huxley et le psychiatre Humphrey Osmond, il signifie « révélateur de l’âme » et définit tout état relatif à la prise de psychotropes aux effets hallucinogènes.
Au cours du XX° siècle, les substances psychédéliques présentes dans la nature et connues depuis des millénaires par les chamanes, sont synthétisées et font tout d’abord l’objet d’une grande curiosité scientifique. En Occident, entre 1947 et 1976, l’intérêt pour la recherche dans ce domaine explose, les psychédéliques sont alors considérés comme les outils de l’exploration de l’esprit humain les plus prometteurs que la psychologie n’ait jamais connus.
Les recherches portent sur l’expérience mystique occasionnée par les hallucinogènes, l’expérience sociale et les possibles traitements de l’anxiété, des addictions ou des troubles neurologiques. Parallèlement, de nombreuses recherches scientifiques sont menées dans la sphère militaire pour tenter d’utiliser les substances psychédéliques comme des armes de guerre, sans succès avéré.
Malgré une évidente disgrâce institutionnelle, les psychédéliques continuent leur propagation dans la société à partir du milieu des années 60 et trouvent un écho spectaculaire dans la musique et le domaine pictural.
Si la majeure partie des plasticiens du mouvement s’exprime avec succès sur des pochettes de disques, des bandes dessinées ou des posters manufacturés, les expressions comme la peinture, le dessin ou le cinéma peinent à trouver leur place dans les réseaux artistiques officiels. La société du spectacle permanent a immédiatement absorbé les esthétiques de l’expérience si profonde du « voyage » psychédélique, aux dépens d’une véritable reconnaissance artistique.
Privé de visibilité, ce mouvement underground sans manifeste développé dans la transe de l’expérimentation, sombre injustement dans l’oubli au cours des années 1980. Pourtant, le psychédélisme mérite toute sa place dans la mythologie collective et l’histoire de l’art moderne.
La France, traditionnellement secouée par des courants artistiques et philosophiques d’avant-garde, a vu se développer les talents de nombreux créateurs visionnaires.
Dès 1965, une poignée de dandys sortie de la Coupole à la suite de Pierre Clémenti et Jean-Pierre Kalfon tente l’expérience acide : Jean Jacques Lebel organise des happenings avec le sculpteur/cinéaste Daniel Pommereule, le groupe Mandala autour de Jean-Claude Bailly et Jean-Pierre Guimard rend hommage au Grand Jeu cher aux surréalistes et devient prosélyte du LSD encore légal, tandis que de nombreux artistes solitaires poursuivent leurs recherches picturales en toute confidentialité.
L’exposition PSYCHEDELICES imaginée par le Musée International des Arts Modestes, rassemble pour la première fois les oeuvres de peintres et plasticiens influencés par leurs visions clandestines et définit les contours d’un mouvement artistique majeur.
Le récent regain d’intérêt pour les substances psychédéliques dans la recherche scientifique aux USA comme en Europe, la dépénalisation de l’usage des champignons hallucinogènes dans certains états d’Amérique et les déclarations de Reed Hastings, co-fondateur et directeur de NetFlix (affirmant que l’avenir du divertissement s’incarnerait dans les substances chimiques récréatives) font du phénomène psychédélique l’enjeu de questionnements nouveaux sur l’importance de ces substances dans nos sociétés. Psychédélices permet une immersion garantie sans danger dans l’univers psychédélique, à travers les oeuvres d’artistes français ou travaillant en France.
Informations pratiques
Musée International des Arts Modestes
23 quai Maréchal de Lattre de Tassigny - 34200 Sète - France
+33 (0)4 99 04 76 44
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - www.miam.org