Journée des Activités Motrices et Aquatiques à la piscine Olympique Angelotti de Montpellier.

Journée des Activités Motrices et Aquatiques à la piscine Olympique Angelotti de Montpellier.
 
Samedi 25 Novembre 2023,
09:30 - 12:00

 

Piscine Angelotti

L’association Montpellier Culture Sport Adapté (MCSA) organise le 25 Novembre 2023, la journée des Activités Motrices et Aquatiques (JAMA) à la piscine Olympique Angelotti de Montpellier

Cette manifestation gratuite est adressée à des personnes en situation de handicap venant principalement de l’Hérault et du Gard ainsi que de la région Occitanie.

Pour cette 23ᵉ édition, nous attendons environ 50 sportifs en situation de handicap encadrés par une vingtaine de bénévoles.

Informations pratiques :

De 9h30 à 12h00

Entrée gratuite pour les personnes licenciés à la FFSA

6€ pour les non licenciés à la FFSA  et certificat médical

Renseignements et contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

TOUTES LES IDÉES DE SORTIES DE LA SEMAINE AVEC LE DEPARTEMENT!

 
 
Que vous soyez amateur de culture, plutôt sorties nature, en famille, entre amis ou en solo, découvrez toutes nos idées de sorties dans le département.Aucune description de photo disponible.
 
Zoom sur les 3 coups de cœur de la semaine à ne pas rater :
Journée d’étude « l’homme et l’animal dans l’histoire » à Pierresvives
Marché de noël éco-responsable au Domaine départemental de Restinclières à Prades-le-Lez
Spectacle à la Scène de Bayssan par Marc Arnaud « La métamorphose des cigognes », à Béziers.
Toutes nos idées de sorties ici : https://cutt.ly/1wIy0ZdQ

.Guerre entre Israël et le Hamas : la trêve dans les combats a commencé et durera quatre jours

                                      

Selon France Info

Un premier groupe de treize otages doit être libéré vendredi l'après-midi.
Ai Généré, Avion, Jet, Vol, Guerre

Ce qu'il faut savoir

Une première, en 49 jours de conflit. La trêve dans les combats entre Israël et le Hamas a débuté dès l'aube, vendredi 24 novembre. L'arrêt des activités militaires a commencé à 7 heures (6 heures, heure de Paris) et doit durer quatre jours, selon les termes de l'accord obtenu mercredi et négocié par le Qatar. "Pour l'instant, on a besoin d'y croire et dès qu'on aura le sentiment que cela va tenir, on va se dépêcher d’évacuer [les] personnes bloquées au nord", a déclaré sur franceinfo Claire Magone, directrice générale de Médecins sans frontières. Suivez notre direct.

Une première libération d'otages attendue dans l'après-midi. Un premier groupe de treize otages doit être libéré vendredi l'après-midi, à 16 heures (15 heures, heure de Paris) a annoncé le Qatar. 

Une liste de noms connue par Israël. Le Bureau du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a déclaré jeudi avoir "reçu une première liste de noms" d'otages. Il n'a pas précisé s'il parlait de tous les otages, de toutes les personnes libérables ou des premiers potentiellement concernés. Des messages ont été envoyés à toutes les familles "dont les proches figurent sur la.............

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/direct-guerre-entre-israel-et-le-hamas-la-treve-dans-les-combats-a-commence-et-durera-quatre-jours_6203211.html

Sept questions sur la réforme de l'assurance chômage

 

Les premières dispositions de la réforme de l'assurance chômage ont été mises en place en 2019. Reportée en raison du Covid-19, la réforme est entrée pleinement en vigueur en 2021. Depuis le 1er février 2023, une autre réforme a adapté la durée d'indemnisation à l'état du marché du travail. De nouvelles règles sont prévues au 1er janvier.

Les partenaires sociaux ont négocié les règles d'assurance chômage à appliquer à compter de 2024. Une majorité d'organisations syndicales (CFDT, CFTC, Force ouvrière) et patronales (Medef, CPME, U2P) ont signé un protocole d'accord le 10 novembre 2023 sur la nouvelle convention d'assurance chômage. Celle-ci devra être validée par le gouvernement avant la fin de l'année 2023.

 

Mystère, Entreprise, Femme

La convention d'assurance chômage, qui doit entrer en vigueur au 1er janvier 2024 pour une durée de quatre ans, ne revient pas sur les principes fondamentaux des précédentes réformes, mais vise à : 

  • ajuster les règles d'indemnisation pour tenir compte de la situation des publics les plus fragiles (primo-entrants sur le marché du travail et travailleurs saisonniers) ;
  • simplifier et rendre plus efficace la réglementation d’assurance chômage ; 
  • renforcer la compétitivité des entreprises en faveur de l'emploi durable.

Le texte négocié par les partenaires sociaux prévoit notamment :

  • une réduction de la durée de cotisation et d'indemnisation pour les demandeurs d'emploi qui s'inscrivent pour la première fois à l'assurance chômage et les travailleurs saisonniers. Ils devront avoir travaillé au moins cinq mois au cours des 24 derniers mois (au lieu de six mois actuellement). La durée d'indemnisation sera, cependant, réduite de six à cinq mois ;
  • une mensualisation du paiement de l'allocation, c'est-à-dire que le montant ne variera plus en fonction du nombre de jours dans le mois, mais sera basé sur un nombre fixe de 30 jours par mois. Cette mesure entraînera une perte d'indemnités d'environ 5 à 6 jours par an pour les demandeurs d'emploi. Toutefois, l'indemnisation des chômeurs arrivant en fin de droits sera prolongée d'autant de jours ;
  • l'assouplissement de la dégressivité de l'allocation pour les hauts revenus, qui concerne les demandeurs d'emploi qui perçoivent une indemnité journalière de plus de 91,02 euros, sera désormais appliquée aux moins de 55 ans, contre 57 ans actuellement ;
  • une baisse des cotisations patronales qui passeront de 4,05% à 4% du salaire brut via la suppression d'une contribution exceptionnelle temporaire, instaurée en 2017 ; 
  • l'exclusion de certains contrats courts du système de bonus-malus pour les entreprises (contrats saisonniers par exemple). Seules les fins de contrat de travail d'une durée inférieure à un mois seront prises en compte dans le calcul du bonus-malus.

Le gouvernement devra évaluer la compatibilité de l'accord avec le document de cadrage transmis par la Première ministre en août 2023, qui prévoit une trajectoire financière pour le désendettement du régime d'assurance chômage. Ainsi, la nouvelle convention ne devra pas "dégrader la situation financière du régime, par rapport à celle qui aurait prévalu en pérennisant les règles en vigueur". 

Les excédents de l'Unédic seront, en partie, réaffectés au financement de politiques en faveur du plein emploi.

La réforme de l'assurance-chômage, applicable au 1er février 2023, a comme objectif de répondre aux difficultés de recrutement rencontrées par les entreprises depuis la crise du Covid-19 et de favoriser le plein emploi. D'après le ministère du travail, 60% des entreprises disent avoir des difficultés à recruter, en particulier dans le secteur industriel. 

La loi du 21 décembre 2022 prolonge jusqu'au 31 décembre 2023 les règles issues de la réforme de 2019 et introduit un nouveau mécanisme de modulation de la durée d'indemnisation d’assurance-chômage en fonction de la situation du marché du travail. L’idée est de durcir les règles d'indemnisation quand la situation du marché du travail est bonne et quand des emplois sont à pourvoir et d'assouplir ces règles quand la situation se dégrade. 

Les modalités de cette nouvelle réforme sont précisées par le décret du 26 janvier 2023 relatif au régime d'assurance chômage. Elle s'applique aux demandeurs d'emploi ouvrant des droits après le 1er février 2023 :

  • si le taux de chômage est inférieur à 9% et s’il ne progresse pas de plus de 0,8 point sur un trimestre, la situation économique est considérée comme bonne. La durée d'indemnisation des demandeurs d'emploi est alors réduite de 25%, en respectant une durée minimale de six mois. Ainsi, un demandeur d'emploi qui aura cotisé à hauteur de 24 mois verra la durée de ses droits réduits à 18 mois ;
  • si le taux de chômage est égal ou supérieur à 9% ou s'il progresse d'au moins 0,8 point en un trimestre, la situation économique est considérée comme dégradée. Les demandeurs d’emploi en fin de droits peuvent bénéficier d'un complément de 25% (six mois maximum pour les moins de 53 ans). Ce complément de fin de droits pourra étendre la durée d’indemnisation jusqu’à 24 mois.

Avec les difficultés de recrutement rencontrées par les entreprises et un taux de chômage à 7,3% en 2022, le marché du travail est dans un contexte favorable qui justifie une modulation à la baisse de la durée d'indemnisation de l'assurance-chômage.

Cette modulation n'est pas appliquée dans les départements d’outre-mer, le contexte économique étant "trop particulier pour que les critères nationaux retenus puissent être appliqués de manière efficace" dans ces territoires. De même, certains publics ne sont pas concernés par cette réforme, c'est le cas des marins-pêcheurs, des dockers, des intermittents du spectacle, des expatriés qui bénéficient d’un régime particulier et des demandeurs d'emploi en contrat de sécurisation professionnelle.

Il faut toujours justifier de six mois de travail sur les 24 derniers mois pour bénéficier de l’assurance-chômage. Les règles de calcul de l'allocation chômage, mises en place en octobre 2021, ne sont pas modifiées. 

En outre, la loi du 21 décembre 2022 sur le marché du travail prévoit la suppression de l'accès aux allocations chômage dans deux cas supplémentaires :

  • en cas d'abandon de poste sans motif légitime (raisons médicales, droit de grève...). Le salarié qui ne reprend pas le travail à l'expiration du délai fixé dans la mise en demeure de son employeur sera considéré comme démissionnaire ;
  • en cas de refus de contrats à durée indéterminée (CDI) pour les salariés en contrats courts (contrat à durée déterminée - CDD - ou contrat d'intérim). Le salarié en fin de contrat qui refuse deux fois un CDI pour un emploi aux mêmes caractéristiques en l'espace d'un an ne pourra plus percevoir l'assurance chômage.

Quels effets ?

Selon une étude de l'Unédic publiée le 24 février 2023 sur les effets de l'adaptation des règles d'assurance chômage à la conjoncture, il est estimé que la moitié des nouveaux allocataires (53%) seront touchés par la réduction de 25% de la durée d'indemnisation en vigueur depuis le 1er février 2023. Par ailleurs, d'après l'étude, le nombre d'allocataires indemnisés diminuerait en moyenne de 12% d'ici 2027 par rapport à ce qu'il serait sans changement de règle (soit environ 300 000 personnes pour 2,5 millions d'indemnisés).

 

La réforme de l'assurance-chômage fait suite à la promesse de campagne d'Emmanuel Macron d'ouvrir le droit aux allocations chômage aux salariés démissionnaires et aux travailleurs indépendants. Initiée par la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, la réforme a été annoncée par le gouvernement en juin 2019.

Après l'échec des négociations entre les partenaires sociaux, un décret de carence a été pris. Le décret du 26 juillet 2019 a fixé les nouvelles règles de l'assurance-chômage jusqu'au 1er novembre 2022.

La réforme de l'assurance-chômage mise en œuvre en 2019 répond à trois objectifs majeurs :

  • lutter contre le recours abusif aux contrats courts avec notamment l'instauration d'un bonus-malus sur les cotisations chômage pour les entreprises afin de les inciter à embaucher sur des emplois de longue durée ;
  • faire en sorte que le travail paye plus que l’inactivité en établissant de nouvelles règles d'indemnisation qui incitent à la reprise de l'emploi (modification des règles de calcul de l'allocation chômage, durée minimale de travail pour l'ouverture ou le rechargement des droits portée à six mois, dégressivité de 30% de l'allocation chômage pour les hauts revenus) ;
  • renforcer l’accompagnement des demandeurs d’emploi avec le recrutement de 1 000 nouveaux conseillers par Pôle emploi et la mise en place de deux demi-journées d'accompagnement intensif.

Elle doit également permettre de réaliser des économies. Entre 2009 et 2019, le régime d’assurance-chômage a connu un déficit moyen de 2,9 milliards d’euros par an. Du fait de la bonne conjoncture économique, le régime d'assurance-chômage serait revenu à une situation excédentaire en 2022, avec un solde estimé à 4,4 milliards d'euros, selon les dernières prévisions financières de l'Unédic.

Les dates de la réforme de l'assurance chômage de 2019 

Le décret du 26 juillet 2019 prévoyait une mise en œuvre de la réforme entre novembre 2019 et janvier 2021. Mais l’épidémie de Covid-19 a bouleversé ce calendrier :

  • le 1er novembre 2019 : le premier volet de la réforme entre en vigueur (ouverture et rechargement des droits, dégressivité des allocations pour les hauts revenus et nouveaux droits pour les salariés démissionnaires et les travailleurs indépendants) ; 
  • le 1er avril 2020 : le deuxième volet de la réforme devait entrer en vigueur avec le changement du mode de calcul de l'allocation chômage. Il a été repoussé au 1er septembre 2020 en raison de la crise sanitaire ; 
  • en juillet 2020 : le gouvernement décide de suspendre l'application des deux volets de la réforme jusqu’au 1er janvier 2021. Le décret du 29 juillet 2020 fixe temporairement à quatre mois, au lieu de six mois, la durée minimale de travail pour ouvrir ou recharger des droits à l'allocation chômage ; 
  • en novembre 2020 : le gouvernement annonce un nouveau report de la réforme au 1er avril 2021. Par ailleurs, le Conseil d'État annule deux mesures : le bonus-malus pour les entreprises et le mode de calcul de l'allocation chômage. L'instance a jugé que les nouvelles règles de calcul risquaient de pénaliser les demandeurs d'emploi qui alternent périodes de chômage et contrats courts ; 
  • en mars 2021 : tenant compte de la décision du Conseil d’État, le gouvernement introduit un plancher pour limiter la baisse du montant des allocations par rapport à l’ancien mode de calcul. Le décret du 30 mars 2021 prévoit l’application de ces nouvelles règles de calcul et des autres mesures de la réforme à compter du 1er juillet 2021 ;
  • le 22 juin 2021 : le Conseil d'État suspend l'entrée en vigueur du nouveau mode de calcul en raison d’un contexte économique trop instable. Un décret du 29 juin 2021 prolonge jusqu'au 30 septembre 2021 les règles d'indemnisation en place ; 
  • le 1er juillet 2021 : application partielle de la réforme de l'assurance-chômage avec le bonus-malus pour les entreprises de sept secteurs et la dégressivité de l’allocation chômage pour les plus hauts revenus à compter du 9e mois d'indemnisation ; 
  • le 1er octobre 2021 : la réforme entre intégralement en vigueur avec l'application du nouveau mode de calcul de l'allocation chômage. Un décret est paru au Journal officiel le 30 septembre 2021 ; 
  • le 22 octobre 2021 : le juge des référés du Conseil d'État valide la mise en place du nouveau mode de calcul de l'allocation-chômage considérant que "la tendance générale du marché de l’emploi ne constitue plus un obstacle à la mise en place de la réforme" ; 
  • le 1er décembre 2021 : la durée minimale de travail pour l'ouverture ou le rechargement des droits est portée à six mois, la dégressivité de 30% de l'allocation chômage pour les hauts revenus s'applique à compter du 7e mois d'indemnisation.

Le mode de calcul de l’allocation chômage, qui devait être modifié à partir du 1er avril 2020, a été reporté au 1er juillet 2021, puis au 1er octobre 2021 en raison de la crise sanitaire du Covid-19. 

Le salaire journalier de référence (SJR), qui sert de base au calcul de l'allocation chômage, doit être calculé non plus sur les jours travaillés dans les 12 derniers mois, mais sur un revenu moyen mensuel prenant en compte les jours travaillés, mais aussi les périodes d’inactivité. Ainsi, plus les demandeurs d'emploi ont un rythme de travail fractionné, plus ils risquent d'être touchés par une baisse de leur allocation chômage. 

En juin 2021, le Conseil d'État a jugé que ces nouvelles modalités de calcul entraînaient une rupture d’égalité entre les allocataires en emploi continu et ceux en emploi discontinu. Le décret du 30 mars 2021 a donc introduit un mécanisme de plancher pour limiter la baisse du salaire journalier de référence à 43% maximum par rapport à l'ancien mode de calcul. En octobre 2021, le Conseil d'État a validé l'entrée en vigueur de ce nouveau calcul de l'allocation.

Pour les demandeurs d'emploi de moins de 57 ans dont les revenus sont supérieurs à 4 800 euros bruts par mois, la réforme de l'assurance chômage de 2019 prévoyait de diminuer l'allocation chômage de 30% maximum à partir du 7e mois d'indemnisation par Pôle emploi. 

Suspendue du fait de la crise sanitaire, cette mesure était de nouveau applicable depuis le 1er juillet 2021. Dans l'attente d'une amélioration de la situation de l'emploi, la dégressivité pour les hauts revenus intervenait au 9e mois d’indemnisation, à titre dérogatoire. Depuis le 1er décembre 2021, elle s’applique dès le 7e mois

Cette dégressivité est soumise à un plancher : l’allocation ne peut pas être inférieure à 91,02 euros brut par jour.

L'accord signé par les partenaires sociaux en novembre 2023, dans le cadre de la prochaine convention d'assurance chômage pour 2024, prévoit d'assouplir la dégressivité de l'allocation pour les hauts revenus en l'appliquant aux moins de 55 ans.

 

La réforme de l'assurance-chômage de 2019 a instauré un système de bonus-malus dans les entreprises de plus de 11 salariés. Celui-ci vise à inciter les employeurs à proposer plus de contrats à durée indéterminée et des contrats à durée déterminée plus longs. 

Un arrêté du 7 novembre 2019 définit les sept secteurs gros consommateurs de contrats précaires qui seront concernés par cette mesure : 

  • l’industrie agroalimentaire (denrées alimentaires, boissons et produits à base de tabac) ; 
  • les activités spécialisées, scientifiques et techniques ;
  • l'hébergement et la restauration ;
  • l'assainissement des eaux, la gestion des déchets et la dépollution ;
  • les transports et l'entreposage ;
  • la fabrication de produits en caoutchouc et en plastique, et d’autres produits non métalliques ;
  • le travail du bois, l'industrie du papier et l'imprimerie.

Dans ces secteurs, un "taux de séparation" doit être calculé pour chaque entreprise, correspondant au nombre de fins de contrat de travail ou de missions d’intérim constatées l’année précédente rapporté à l'effectif annuel moyen. Le bonus-malus est évalué en comparant ce taux de séparation propre à l’entreprise avec celui de son secteur d’activité. C'est sur cette base que le taux de la contribution patronale d'assurance chômage est modulé entre 3% et 5,05%.

Le Conseil d'État a annulé le bonus-malus car il a estimé qu'il aurait fallu un décret et non pas un arrêté pour définir certaines de ses modalités. Par la suite, ses modalités sont définies par le décret du 30 mars 2021.

Le 1er juillet 2021 marque le début de la période de référence du bonus-malus au cours de laquelle le comportement des employeurs est observé dans les secteurs concernés. Les entreprises les plus impactées par la crise, comme l'hébergement et la restauration, sont exclues durant un an à titre temporaire. Le bonus-malus est appliqué depuis le 1er septembre 2022.

L'accord signé par les partenaires sociaux en novembre 2023, dans le cadre de la prochaine convention d'assurance chômage pour 2024, prévoit d'exclure certains contrats courts du système de bonus-malus (contrat à durée déterminée de remplacement, contrats saisonniers, ruptures conventionnelles, licenciement pour inaptitude ou faute lourde). Seules les fins de contrat de travail d'une durée inférieure à un mois seront prises en compte dans le calcul du bonus-malus.

 

L'article 49 et l'article 51 de la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel prévoient d’élargir le champ des bénéficiaires de l’assurance-chômage. Depuis le 1er novembre 2019, les salariés qui démissionnent d’un contrat à durée indéterminé (CDI) et les travailleurs indépendants peuvent être indemnisés, mais sous conditions :

  • le salarié démissionnaire doit compter au minimum cinq ans d'ancienneté dans son entreprise et avoir un projet de reconversion professionnelle nécessitant le suivi d'une formation, un projet de création ou de reprise d'une entreprise, et dont la faisabilité est évaluée par une commission paritaire interprofessionnelle ;
  • le travailleur indépendant a le droit à environ 800 euros par mois pendant six mois en cas de liquidation judiciaire ou de redressement judiciaire. Mais il doit avoir exercé son activité professionnelle durant au moins deux ans et avoir généré un revenu minimum de 10 000 euros par an sur les deux dernières années avant la liquidation.

La loi du 14 février 2022 en faveur de l'activité professionnelle indépendante a fait évolué les règles de l'ATI pour répondre notamment aux conséquences économiques de la crise du Covid-19. Depuis le 1er avril 2022, l'allocation est ouverte aux travailleurs indépendants dont l’activité n’est plus économiquement viable, qui cessent définitivement leur activité. Il faut justifier d'une baisse d'au moins 30% des revenus déclarés et faire attester cette absence de viabilité par un tiers de confiance (expert-comptable, chambre de commerce et d'industrie...).

Travailleurs indépendants : des revenus souvent inférieurs au Smic

Installation du nouveau Conseil régional des jeunes

 

Comme elle s’y était engagée lors de l’adoption de son Plan « Jeunesses » en mars dernier, la Région Occitanie procèdera ce samedi 25 novembre à l’installation du nouveau Conseil régional des jeunes (CRJ). Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Kamel Chibli, vice-président chargé de l’Education, de la jeunesse et des sports, et Guillaume de Almeida Chaves, conseiller régional délégué à la jeunesse, accueilleront à cette occasion les 60 nouveaux membres de cette instance de concertation imaginée par et pour les jeunes d’Occitanie.

 

Défini à l’issue d’une grande concertation menée en 2022, ayant permisde rencontrer plus de 2 000 jeunes à travers toute l’Occitanie, le « Plan Jeunesses » comprend notamment un volet dédié à l’engagement et à la participation citoyenne. Ainsi, parmi les 30 mesures que compte cette feuille de route opérationnelle, les jeunes d’Occitanie ont notamment exprimé leur souhait de pouvoir agirconcrètement dans le cadre d’une instance de concertation qui leur soit dédiée. S’appuyant sur l’expérience du premier CRJ(2018-2021), enrichi des attentes exprimées lors de la concertation Jeunesses, le nouveau CRJ permettra aux jeunes de faire remonter des propositions dans le cadre des grandes politiques publiques mises en œuvre par la Région.

 

Ce samedi 25 novembre, les 60 nouveaux membres du Conseil régional des jeunes définiront notamment les modalités de fonctionnement du CRJainsi que lespremiers grands sujets sur lesquels ils souhaitent commencer à travailler.

« Black Friday » : attention aux arnaques en ligne !

 

Black Friday, Cyber Monday, Black Friday Week… La journée officielle du Black Friday a lieu le vendredi 24 novembre cette année. Fausses annonces promotionnelles, faux sites internet marchands officiels, hameçonnage par SMS, téléphone ou courriel, faux transporteur, attaques par virus ou rançongiciels… À l’approche des fêtes de fin d’année, Cybermalveillance.gouv.fr appelle à la plus grande vigilance et délivre des conseils pour éviter de se faire escroquer.

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La Black Friday Week se déroule à partir du lundi 20 novembre, soit la semaine avant la date officielle de l’événement. Puis les promotions se prolongent même lors du week-end du samedi 25 et dimanche 26 novembre pour se clôturer par le Cyber Monday le lundi 27 novembre 2023.

Outre les fausses promotions fréquemment relevées par les associations de défense des consommateurs, de nombreuses annonces frauduleuses destinées à vous escroquer ou à subtiliser vos données personnelles prolifèrent à l'occasion du Black Friday.

Faites attention aux faux sites qui imitent des marques existantes ! Vous ne recevrez jamais le produit commandé et en serez pour vos frais.

Pendant cette période, soyez également vigilant aux messages frauduleux (courriels, SMS, annonces sur les réseaux sociaux) destinés à voler vos données personnelles ou bancaires. Communiquer vos données personnelles à des escrocs peut vous coûter cher : usurpation d’identité, transactions bancaires frauduleuses…

Vous pouvez également être victime d'un faux support technique ou d'un logiciel malveillant installé à votre insu sur votre ordinateur.

Comment éviter les arnaques ?

Méfiez-vous des offres trop généreuses, ce sont souvent des propositions trompeuses. Comparez le prix du produit que vous souhaitez acheter sur des sites connus. Contrôlez qu'il s'agit bien du site de la marque connue en inspectant attentivement l'URL (adresse qui apparaît dans la barre d'adresse en haut de votre navigateur), en allant directement sur le site marchand pour vérifier l'existence et le prix du produit annoncé.

S'il s'agit d'une lettre reçue par courriel, contrôlez attentivement l'adresse de l'expéditeur, repérez tous les indices de fraudes : faute dans le nom de la marque, fautes d'orthographe, libellés peu habituels, extension qui n'est pas en .fr ou en .com...

Attention à l’hameçonnage, lorsque vous recevez un courriel avec des promotions intéressantes, évitez de cliquer sur les liens. Allez directement sur le site de l'enseigne.

Prenez le temps de la réflexion, vous pensez avoir déniché la bonne affaire, vous êtes relancé par un pseudo vendeur en ligne ou vous êtes pressé par un compte à rebours de vente flash… Soyez prudent et ne donnez pas trop rapidement votre numéro de carte bancaire.

Ne rappelez pas inconsidérément des numéros surtaxés, préférez rappeler le numéro officiel du commerçant, du transporteur ou du SAV concerné que vous trouverez sur son site officiel.

Faites certaines vérifications avant d’acheter (existence réelle et notoriété du vendeur, réalité de la promotion, risque de contrefaçon, sécurité de la transaction…).

Utilisez un mot de passe solide et différent pour chaque application ou site Internet.

 

Que faire si vous êtes victime d'une escroquerie en ligne ?

Signalez les escroqueries auprès du site internet-signalement.gouv.fr, la plateforme de l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'Information et de la communication.

Pour s'informer sur les escroqueries ou pour signaler un site internet ou un courriel d'escroqueries, un vol de coordonnées bancaires ou une tentative d'hameçonnage : vous pouvez contacter Info Escroqueries au 0 805 805 817 (appel gratuit depuis la France) du lundi au vendredi de 9h à 18h30.

Rendez-vous sur cybermalveillance.gouv.fr, la plateforme nationale d'assistance aux victimes d'actes de cybermalveillance. Elle procure des informations sur les menaces numériques et les moyens de s'en protéger.

  À noter : par ailleurs, si vous avez rencontré un problème avec une entreprise ou un commerçant, vous pouvez faire un signalement sur le site internet SignalConso.

  À savoir : si vous n'êtes pas un spécialiste du calcul des pourcentages, c'est le moment d'utiliser le simulateur mis en ligne sur Service-Public.fr pour calculer un prix après application d'un taux de réduction. C'est facile, indiquez tout simplement sur le simulateur de calcul de prix après réduction le prix d'origine et le pourcentage de réduction à appliquer. Vous obtiendrez alors le montant de la réduction obtenue et le prix après réduction.

 

Services en ligne et formulaires

Chômage : faut-il abaisser la durée d’indemnisation des plus de 55 ans ?

 

Selon Orange.frSculpture, Art, Sculptures

Afin de se rapprocher de l’objectif du gouvernement sur la question du chômage, Bruno Le Maire a avancé son désir de réduire l’indemnisation des seniors. Pensez-vous qu’il est nécessaire d’abaisser la durée d’indemnisation des plus de 55 ans ?

Si un bénéficiaire de Pôle Emploi a plus de 55 ans la durée de son indemnisation s'étale jusqu'à 27 mois contre 18 en moyenne. Sur le plateau de franceinfo jeudi 23 novembre, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a estimé que cette différence était hypocrite, "une façon de mettre à la retraite de manière anticipée". "Si vous avez plus de 55 ans, la durée d'indemnisation, c'est 27 mois alors qu'aujourd'hui, le lot commun, c'est 18 mois. Pourquoi ?", estime le ministre.........

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/question-du-jour-2023-11-24-CNT0000029zeGj.h

METEO prévisions sur les 3 prochains jours

 

2023-11-24

Bancs, Natu, Natur, Automne, Parc

Infographies : https://meteofrance.com/previsions-meteo-france/sete/34200

Pour ce matin. A 7 heures, la pression atmosphérique au niveau de la mer sur la commune, est de 1017 hectopascals. Temps largement ensoleillé. Les températures sont proches de 8 degrés vers 7 heures. En milieu de journée, établissement d'un vent de Nord-Ouest, souvent assez fort. Rafales atteignant 55 km/h localement, à la mi-journée. Pour cet après-midi. Éclaircies prédominantes. Les températures sont proches de 14 degrés vers 13 heures. Vent de Nord-Ouest, assez fort. Avec des rafales atteignant, localement, 55 km/h, à la mi-journée. Pour ce soir. Le soleil brille généreusement. Le thermomètre indique 13 degrés vers 19 heures. Vent assez fort, de Nord-Ouest. Avec, localement, des rafales atteignant 75 km/h, le soir. Pour la nuit prochaine. Ciel clair. Le thermomètre indique 12 degrés vers 1 heure. Vent de Nord-Ouest, assez fort, la nuit ; puis atténuation. Rafales atteignant 75 km/h localement.
 
Pour samedi matin. Beau temps sec et bien ensoleillé. Température : 7 degrés vers 7 heures. Vent de Nord-Ouest faible à modéré. Pour samedi après-midi. Le soleil brille sans partage. Température : 12 degrés vers 13 heures. Vent faible à modéré de Nord-Ouest.
 
Pour dimanche matin. Beau temps sec et ensoleillé. Températures minimales : 2 degrés. Ces températures sont en-dessous des valeurs de saison. Vent faible de Nord-Ouest. Pour dimanche après-midi. Temps voilé, puis dégradation nuageuse à la tombée du jour. Températures maximales : 13 degrés. Vent faible de direction variable.
 
Pour lundi matin. Ciel nuageux tendant à se couvrir. Températures minimales : 4 degrés. Vent faible. Pour lundi après-midi. Ciel très nuageux, pluies faibles dès la fin de journée. Il est prévu 1 millimètres de cumul de précipitations. Températures maximales : 12 degrés. Petit vent d'Ouest-Sud-Ouest généralement faible.

Guerre entre Israël et le Hamas : comment le Qatar s'est imposé comme un médiateur incontournable dans les négociations

 
Doha a confirmé mercredi qu'un accord avait été trouvé pour une trêve humanitaire israélienne et la libération d'une partie des otages détenus par le groupe terroriste palestinien.

Un "succès" dont le Qatar se félicite. Doha a annoncé, mercredi 22 novembre, qu'un accord avait été conclu entre Israël et le Hamas pour une "pause humanitaire" dans la guerre qui les oppose. Un compromis a été trouvé entre les deux ennemis, grâce aux "efforts de médiation entrepris conjointement avec l'Egypte et les Etats-Unis". Le plan prévoit la libération d'au moins 50 otages détenus dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre en échange de 150 Palestiniens retenus dans les prisons israéliennes.

Le 7 octobre, au cours d'une série d'attaques qui a fait plus de 1 200 morts en Israël, le Hamas a également enlevé 240 personnes. Depuis, des tractations ont eu lieu entre Tel-Aviv et le mouvement islamiste palestinien pour obtenir le retour de certains de ces captifs, sous l'égide notamment du Qatar. "On sait que des agents du Mossad, les services de renseignement israéliens, sont arrivés à Doha il y a plusieurs jours déjà", souligne Didier Billion, directeur adjoint de l'Institut des relations internationales et stratégiques (Iris). Ces échanges avaient déjà abouti à la libération, fin octobre, de quatre otages, deux Américaines et deux Israéliennes

Le Qatar entretient des relations avec toutes les parties.................. Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/guerre-entre-israel-et-le-hamas-comment-le-qatar-s-est-impose-comme-un-mediateur-incontournable-dans-les-negociations_6197946.html

Bonus réparation : une aide financière pour faire rapiécer vos vêtements et vos chaussures

 

Un bonus réparation sur le textile et les chaussures a été instauré par le Gouvernement le 7 novembre 2023. Lorsque vous vous rendez chez un réparateur agréé, une réduction est appliquée directement sur votre facture pour la réparation du talon de vos chaussures ou pour le rapiècement d’un trou dans vos vêtements par exemple.

 

Cordonnier, Chaussure, Artisanat

Le bonus réparation sur le textile et les chaussures repose sur le même principe que celui sur les produits électroniques et d’électroménager. Vous bénéficiez d’une remise immédiate lorsque vous allez chez un réparateur labellisé pour faire rapiécer vos vêtements ou vos chaussures. Vous pouvez retrouver ici une carte des réparateurs agréés. Vous pouvez y rechercher les cordonniers et couturiers situés à proximité de chez vous. Il y est aussi indiqué une liste des sites internet agréés de réparation de vêtements ou de chaussures.

Le montant de la réduction appliquée dépend du type de réparation que vous souhaitez. Par exemple :

  • 8 € pour la pose d’un patin sur vos chaussures ;
  • 8 € pour un travail de couture ou de collage sur vos chaussures ;
  • 7 € pour le changement du bonbout de vos chaussures (le bonbout, dernière épaisseur du bloc talon directement en contact avec le sol, sert de protection contre l’usure prématurée de cette partie de vos souliers) ;
  • 7 € pour le rapiècement d’un trou, d’un accroc ou d’une déchirure sur vos vêtements ;
  • 10 € pour le changement d’une doublure simple sur un habit, et 25 € pour une doublure complexe.

Les différentes réductions proposées dans le cadre du bonus réparation ne peuvent être mises en œuvre que si le raccommodage que vous voulez coûte au moins 12 €.

Si vous souhaitez effectuer plusieurs réparations sur le même vêtement ou la même paire de chaussures, l’ensemble des réductions correspondantes peuvent être appliquées, à condition que le montant total de la remise ne représente pas plus de 60 % du prix de la réparation. Par exemple, si le montant total de vos réparations pour un vêtement est de 50 €, vous ne pouvez pas bénéficier d’une réduction supérieure à 30 € (60 % de 50 €).

Certains articles ne sont pas éligibles au bonus réparation, parmi lesquels :

  • la lingerie (sous-vêtements, chaussettes…) ;
  • les vêtements en cuir et en fourrure naturelle ;
  • les vêtements techniques de sport à usage non quotidien (kimonos de judo, combinaisons de plongée en néoprène, chaussures de ski…).

  À noter : seules les réparations sont concernées par le dispositif ; le bonus réparation ne s’applique donc pas pour les retouches qui visent à ajuster un vêtement à votre taille.

  Rappel : le soutien financier du bonus réparation repose sur un fonds financé par les écocontributions versées par les marques de textiles, de linge de maison et de chaussures dans le cadre de la loi anti-gaspillage et économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020 et du principe de la responsabilité élargie du producteur (REP) pour les produits textiles, le linge de maison et les chaussures.

L’objectif du dispositif est de passer de 16 millions de pièces réparées en France en 2019 (selon les données de l’Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) à 21,6 millions d’ici 2028.

Et aussi

Covid-19 : vers une hausse des contaminations inquiétante cet hiver ?

 

Santé publique France a publié un bulletin mercredi 22 novembre pour mettre en garde contre l’augmentation des cas de Covid-19. L’organisme recommande de bien appliquer les gestes barrières. Coronavirus, Virus, Covid-19, Pandémie

Presque quatre ans plus tard, le Covid-19 fait toujours parler de lui. Et avec l’hiver et le retour du froid, la crainte de voir une hausse des contaminations est bien réelle. C’est en tout cas ce qu’indique un bulletin de Santé publique France mercredi 22 novembre, repris par BFMTV jeudi. Dans son bilan, l’organisme constate "une tendance à la hausse des indicateurs syndromiques en médecine de ville et une stabilité à l'hôpital, avec une augmentation des indicateurs virologiques".

Selon Orange.fr

Un nouveau variant

Si les niveaux sont bien loin de ceux observés lors des différentes vagues il y a trois ans, Isabelle Parent du Chatelet, membre de l'équipe de rédaction de Santé publique France, précise, au micro de BFMTV, qu’il y a "une tendance récente à une augmentation de ces consultations en ville et du taux de positivité". D’autant plus qu’une épidémie de bronchiolite touche en même temps tout le pays. Cette recrudescence des cas s’explique particulièrement par la présence de nombreux variants, facilitant ainsi la transmission du virus................ Lire sur : https://actu.orange.fr/france/covid-19-vers-une-hausse-des-contaminations-inquietante-cet-hiver-magic-CNT0000029yPCv.html

Brocante - les conseils d'un pro

Brocante - les conseils d'un pro

LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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Est-ce obligatoire d'assurer son animal de compagnie ?

Rauque, Malamute, ChienIl n'est pas obligatoire d'assurer son animal de compagnie, sauf dans le cas de certains chiens. Sachez que vous êtes responsable des dommages qu'il pourrait causer. Service-Public.fr fait le tour de la question.

Vous possédez un chien de 1re ou 2e catégorie

Une assurance pour un animal de compagnie est obligatoire pour les chiens de 1re et 2e catégorie. Vous devez souscrire une assurance si vous possédez un chien susceptible d’être dangereux :

  • chien d’attaque ;
  • chien de garde et défense.

Entrent notamment dans cette catégorie les chiens de race American Staffordshire terrier, Rottweiler, Tosa.

Un contrat d’assurance responsabilité civile est requis pour les chiens de 1re et 2e catégorie. En l'absence d'assurance, vous encourez une amende d'un montant maximal de 450 €.

Une assurance animal de compagnie est-elle obligatoire pour les autres animaux ?

L'assurance est une option.

Cependant, vous êtes responsable des dommages matériels et corporels qu'il peut causer à un tiers. Cela vaut que votre animal soit sous votre garde et votre surveillance ou qu'il se soit échappé ou égaré.

En pratique, votre assurance habitation comprend une garantie responsabilité civile qui permet de couvrir les dommages pouvant être causés par votre animal.

En l'absence d'assurance, vous devez dédommager vous-même les dégradations et dommages faits par votre animal. Retrouvez dans la fiche...

                                                                    Aller plus loin : Echos