L’État et la Région ont lancé un dispositif de soutien complet en faveur de la pêche et de la conchyliculture

Pêche et conchyliculture / Covid-19 - L’État et la Région ont lancé un dispositif de soutien complet en faveur de la pêche et de la conchyliculture.

Le « Plan Pêche État / Région » se compose de mesures mises en place par l’État et la Région relevant des dispositifs d’aide aux entreprises en difficulté complété par des mesures spécifiques à la filière pêche.

Une stratégie ambitieuse pour la Conchyliculture

Face au changement climatique qui affecte la productivité, aux nouvelles attentes des consommateurs et à une compétition accrue avec les autres bassins, le Comité Régional de la Conchyliculture de Méditerranée veut élaborer une stratégie à long terme.

L'objectif est de fédérer l'ensemble des professionnels autour d’un projet commun à l'horizon 2030. Il s’agira également de mobiliser les partenaires autour d’un plan d’actions pour une pratique durable, rentable et emblématique d'un territoire attractif et écologique.

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Le coin des conchyliculteurs

La conchyliculture (étymologiquement l'élevage des coquillages) est une activité traditionnelle qui s'exerce sur des parcelles concédées par l'État sur le domaine maritime.

Selon les historiens, l'apparition des premiers coquillages, en l'occurrence les coquilles Saint-Jacques, date de 240 millions d'années. Les huîtres, les bigorneaux et les oursins, font leur introduction il y a 180 millions d'années.

L'huître est très appréciée dans l'Antiquité. En effet, les Grecs lui attribuent des vertus aphrodisiaques tandis que les Romains la mettent systématiquement au menu des banquets importants. C'est d'ailleurs un Romain, CAIUS SERGIUS ORATA, qui met au point le premier parc à huîtres. 
Contre toute attente, la conchyliculture a marqué l'histoire de la démocratie. En effet, à Athènes, dans l'Antiquité, la coquille d'huître servait de bulletin de vote.

Elle concerne les activités suivantes :

• l'ostréiculture (élevage des huîtres) 
• la mytiliculture (élevage des moules)
• la vénériculture (élevage des palourdes) 
• la cérastoculture (élevage des coques) 
• La pectiniculture (élevage des coquilles Saint-Jacques et autres pectinidés) 
• l'halioticulture (culture des ormeaux).

Le bassin de Thau compte 650 exploitations conchylicoles qui se répartissent les quelques 2750 tables occupant 352 hectares de surface concédée.

Description métier

Le conchyliculteur intervient dès la ponte, en captant les naissains ou larves immergés dans des enceintes d’eau de mer ou produites dans des bassins artificiels (écloseries). 
Pour réaliser cette opération, il pose des supports solides, sur lesquels les larves viennent s’agglutiner. En quelques mois, elles se muent en coquillages adultes, que le conchyliculteur recueille. C’est le « détroquage ». Le conchyliculteur place ensuite les coquillages dans un bassin spécial ou dans un parc en pour qu’ils achèvent leur croissance avant de pouvoir être mis sur le marché. 
C’est ensuite l’étape du ramassage, du lavage, du triage et du pesage. Les huîtres sont mises en bourriches pour expédition et commercialisation.

La qualité de l’eau, sa température et sa richesse en plancton (dont se nourrissent tous les coquillages) sont trois facteurs essentiels pour le travail du conchyliculteur, qui a pour outils des barges, des couteaux à détroquer et des véhicules spéciaux de transport.

Les conditions de travail ne sont pas de tout repos : par tous les temps, ce métier s’exerce en partie dans l’eau, les horaires sont irréguliers . Tenue de travail de rigueur : cuissardes, cirés, gants, bonnets…

Hiver comme été, par temps de pluie ou par grand soleil, le conchyliculteur, en véritable fermier de la mer, s'applique à entretenir " ses champs ", au rythme des étapes particulières qui jalonnent cette activité :
- éclosions en bassin artificiel, 
- captage des larves/naissains, 
- élevage sur site, 
- affinage des produits, 
- commercialisation.

Actuellement, la plupart des entreprises de conchyliculture sont des exploitations conchylicoles qui gère la totalité de la production, du captage à la vente. Ce sont traditionnellement des exploitations de petites tailles (un chef d'exploitation et quelques ouvriers conchylicoles). 
Métier de passion, la conchyliculture est aussi un métier d'enjeu ! La demande en fruits de mer n'a jamais été aussi forte qu'actuellement. Cependant, l'activité est fortement liée au milieu naturel, et donc à sa qualité. Les crises sanitaires (pollution humaine ou naturelle, appauvrissement et détérioration du milieu) ont un impact économique dévastateur sur la profession. Il y a donc, pour le conchyliculteur, un intérêt tout particulier à maîtriser les risques sanitaires, et donc à s'investir dans la protection de l'écosystème qu'il exploite, à mieux comprendre le cycle de vie et les risques naturels qui menacent les espèces qu'il " cultive ", et à diversifier sa production en exploitant de nouvelles ressources.

Qualités et compétences nécessaires 
Il s'agit d'un travail très physique. Une bonne santé et le goût pour le travail en plein air sont donc de mise ! Il faut aussi être débrouillard en mécanique, et idéalement posséder les permis adéquats (certificat d'aptitude à la conduite des navires conchylicoles) : navire amphibie, chaland. Enfin, le conchyliculteur qui possède sa propre exploitation doit avoir d'excellentes notions de comptabilité, de gestion humaine, et connaître à la lettre la législation qui s'applique à son type de production.

L'Huître, un bon plan santé

Grâce à tous ses apports en nutriments, l'huître offre des apports bénéfiques sur la santé, pour très peu de calories. L'huître est donc à consommer sans modération !

L'huître est particulièrement riche en vitamine B12, en cuivre, en fer, en zinc, ainsi qu'en plusieurs autres nutriments. Remplie d'Oméga-3, elle offre des effets bénéfiques sur la santé cardiovasculaire.

La vigne non confinée s’est bien développée entre pluies et chaleur

Les bonnes pluies de fin avril ont aidé les vignes à démarrer car elles souffraient alors de la forte sécheresse de l’hiver. Mais le printemps humide a facilité les choses et quelques réserves d’eau ont pu se développer.

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D’ailleurs, durant la période de confinement les promeneurs et sportifs réguliers ont pu apprécier  le fait que la Nature prenne des couleurs et que la vigne en soit le témoin… La croissance de la vigne a été bien rapide.

Il est vrai que les dernières chaleurs n’ont fait que précipiter les choses…

La « sortie » des raisins semble assez bonne, le tout sera d’accompagner la vigne pour qu’elle reste dans un état sain jusqu’aux vendanges.

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Le Mildiou risque en effet de se développer s’il pleut encore…

Quelques taches de mildiou correspondent, on le sait, aux pluies de la fin du mois d’avril. Il faut donc rester vigilant.

La vigne n’a donc pas subi le confinement et les travaux des viticulteurs vont se poursuivre au rythme des variations météorologiques pour que se prolonge un développement correct de celle-ci.

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Malgré le Coronavirus, la vigne suit son cycle

A l’heure de la sortie des bourgeons pour certains cépages, et à celle à laquelle il faut encore tailler dans certaines parcelles, le travail se poursuit dans les vignes, en solo ou en binôme mais toujours en respectant les contraintes sanitaires légales et en gardant donc ses distances.

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Les viticulteurs peuvent et doivent continuer à exercer leurs profession malgré le virus Covid 19.  Ils sont tous munis de leurs cartes d’identité et de leurs autorisations même sur le terrain. Pas de problèmes, ils n’ont pas l’occasion de côtoyer grand monde.

De toute façon, s’ils restaient confinés 24h/24, ils condamneraient d’une part leur capital mais aussi leurs futures récoltes.

Et pour ce printemps, côté vigne, après un hiver sec avec toujours un déficit hydrique, l’on a frôlé la catastrophe la semaine dernière car d’autres communes ont été touchées par le gel matinal… Il faut donc rester vigilant jusqu’aux fameux cavaliers, vers fin avril. L’on devrait être alors à l’abri des gelées et y voir plus clair.

Un moment assez délicat pour une vigne qui, si elle a des soucis d’ordre climatique, reste un peu à l’écart de ceux qui nous impactent pour l’instant…

LA PÊCHE AU « BOULETCHOU »

Drapeau du Royaume-Unienglish version available : follow this link





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A l'occasion de sa désormais traditionnelle fête annuelle du Patrimoine la ville de Mèze a organisé une reconstitution de la pêche au « bouletchou » (transcription en français de la prononciation de l'occitan "Bolejon"). Une pêche qui ailleurs porte d'autres noms mais dont le principe reste le même sur toutes nos côtes sablonneuses.
Ayant laissé une corde sur la plage, les pêcheurs vont, à la rame, étirer un filet loin de la plage puis ils reviennent avec le second bout de la corde. Ils unissent alors leurs efforts pour tirer le filet à terre. La poche qui termine le filet fait fonction de piège.
Certaines pêches à la traîne (à l'identique) utilisaient, jadis, la force de plus
de quatre vingt personnes, du côté de Gruissan (Aude).
Ce mode de pêche a aujourd'hui disparu mais il a survécu jusqu'aux années soixante dix. On ne la pratique plus que dans de rares occasions pour des reconstitutions ou des animations ponctuelles.
Toute la population mézoise a encore en mémoire le dur labeur de ces familles de pêcheurs qui durant trois mois allaient dormir sur les plages voisines pour y attendre le poisson.


Le public ayant répondu présent a pu par la suite déguster une « énorme » brasucade (250 kg de moules).

 

La Brasucade ou marinade.

La brasucade de moules est une tradition du côté de Sète et sur tout le pourtour du l’étang de Thau.
Son principe ? Faire cuire des moules dans une grande poële au-dessus d’un feu de bois en les arrosant d’une sauce dont chaque cuisinier détient sa propre recette. Il est parfois très dur de connaître la composition de cette marinade qui reste souvent un secret de famille.
Selon les personnes que j’ai pu rencontrer et solliciter il s’avère que l’on peut utiliser tous ces ingrédients pour la réaliser :
de l’huile d’olive, des carottes râpées, des gousses d’ail, des oignons émincés, du thym, du laurier, des clous de girofle, de l’harissa, du piment doux, des herbes de Provence, de la noix de muscade, du poivre blanc, des piments de Cayenne, du cumin et du gingembre …… Ouf !
Le tout est à mélanger dans un grand bidon et à laisser mariner quelques jours avant son utilisation sur les moules.
Au moment de la cuisson des moules, ne pas oublier de vider la première eau des moules avant d’ajouter cette marinade.
Si vos dosages sont bons……. C’est un vrai régal. 

 

Jean-Marc Roger

Création d’un lieu interactif dédié à la pêche au thon rouge

Fortement décriée par les associations de protection de l'environnement, la pêche au thon rouge est aujourd'hui très encadrée. Consommateurs, restaurateurs et même grandes surfaces conservent cependant une défiance vis-à-vis du produit et des professionnels qui le pêchent. Afin de restaurer l'image de ce poisson emblématique, l'armement Lubrano, adossé au Groupement Employeur et de Gestion Pêche Durable en Méditerranée (GEGPDM), veut créer un lieu dédié. 

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Les anguilles menacées : les pêcheurs réagissent

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Ce mardi après-midi, au niveau de l’aire de carénage du Port de Bouzigues, avait lieu un ramassage de 600 kilogrammes d’anguilles argentées qui ont été pêchées dernièrement dans l’étang de Thau par les pêcheurs professionnels de Bouzigues.  Depuis près de 15 jours, elles étaient conservées près du port profitant encore de l’eau de la lagune.

Cette action fait en effet partie d’un programme européen concernant la reproduction de ces poissons qui vont migrer jusqu’à la mer des Sargasses.

En effet, les anguilles mesurent de 40 cm à 150 cm et pèsent jusqu’à 4 kg pour les femelles. L’anguille est un grand migrateur, et plus précisément un migrateur amphihalin (au cours de sa vie l’anguille va passer par des milieux présentant différents taux de salinité ici, de la mer vers l’eau douce puis à nouveau vers la mer), thalassotoque (qui se reproduit en mer) et catadrome (qui après une période de croissance dans un cours d’eau regagne la mer). Comme pour les autres espèces d’anguilles de l’hémisphère Nord, un petit nombre d’individus effectueront en réalité la totalité de leur cycle de croissance en mer, en lagune salée ou en estuaire salé. Cette espèce est dite européenne, mais des études génétiques ont en 2006 montré que des cas d’hybridation naturelle avec l’anguille américaine existent, avec jusqu’à 15,41 % d’hybrides dans les populations islandaises d’anguilles, et des valeurs allant de 6,7 % à 100 % selon les stades de la vie et les lieux. Toutes les anguilles trouvées en Europe sont considérées former une métapopulation unique.

Les anguilles étaient réputées particulièrement rustiques et résistantes, grâce notamment à leur capacité à respirer l’air, mais elles sont néanmoins en forte régression depuis les années 1980 et même maintenant considérées comme espèce menacée ou en risque d’extinction, en Europe.

(wikipédia)

Pour faire face à cette menace sous l’égide du CRPMEM (Comité Régional des Pêches), les pêcheurs d’anguilles volontaires de la Région ont décidé de prendre sur leurs quotas annuels, 200 kgs d’anguilles chacun pour les relâcher avant la période de reproduction qui a lieu en principe chaque année dans la mer des Sargasses.

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La mer des Sargasses est une zone de l’océan Atlantique nord. Elle est bordée par le Gulf Stream à l’ouest et au nord-ouest, la dérive nord atlantique au nord, le courant des Canaries à l’est, et le courant nord équatorial au sud.

Ce mardi  26 novembre, à Bouzigues, René Archimbeau, Walter Lecrec et Xavier Bénézech, trois pêcheurs qui, quand ils le peuvent, pêchent entre-autres l’anguille ont donc remis  sous l’œil de scientifiques, plus de 600 kg d’anguilles avec une grande majorité de femelles, aux techniciens du CRPMEM, équipés d’un camion spécial pour les transporter dans de  l’eau adaptée, avant de les relâcher ce mardi soir, au niveau du port de plaisance, à la Capitainerie de Sète. Ensuite, direction la Méditerranée, puis la traversée de l’océan pour les anguilles qui iront s’y reproduire.

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Quelle aventure !

Elles sont en forme, bien motivées et elles retrouveront leurs camarades de l’étang de Thau car cette opération se déroule dans différents ports comme à celui de Marseillan,  de la Pointe Courte… Et au-delà, en Méditerranée..

Il s’agit de protéger l’espèce qui subit des menaces de surpêche mais aussi par les polluants.

Un beau geste de nos 3 pêcheurs de la Prud’homie de Bouzigues.

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La pêche électrique est interdite en France

Le ministère de l'Agriculture a annoncé ce mercredi l'interdiction de la pêche électrique dans les eaux territoriales françaises à partir du 14 août. L'Assemblée nationale avait voté cette décision à l'unanimité le 9 mai dernier. La France applique l'interdiction prévue pour 2021 au niveau européen.

Comme le Gouvernement français s’y était engagé, un arrêté du préfet de la Région Normandie en date du 25 juillet rend effective cette interdiction dans les eaux françaises concernées, pour tous les navires et jusqu’à la date de la généralisation de cette interdiction dans l’ensemble des eaux européennes.  

VALDORA : Un projet de valorisation des DORADES de dévalaison.

Il y a quelques jours se tenait, au lycée de la Mer de Sète, une réunion concernant le bilan du projet VALDORA qui consiste à conserver vivantes des dorades capturées au moment de leur migration saisonnière en octobre.

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"Les apports en poissons pêchés sont, à cette période, très importants sur les criées et trois pêcheurs professionnels ont décidé depuis l’an dernier de conserver un certain nombre de dorades vivantes pour en décaler la vente en décembre, au moment des fêtes. C’est un choix audacieux."

 L’an dernier, les trois comparses - Robert Rumeau, Denis Talano et Kevin Henri - soutenus par des institutions (le Cépralmar comme porteur du projet) ainsi que par des élèves du lycée de Mer ont mis sur pieds leurs techniques de capture, de transfert et de conservation dans des viviers de l’entreprise « Murex Coquillages » de Sète.

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 Après quelques rectifications quant à la méthode de capture mais aussi quelques créations, dont le système novateur de la cage associée au filet traditionnel, le projet a été relancé cette année encore.

 La problématique, pour rendre le projet rentable, a été de faire en sorte que ces poissons soient considérés comme « sauvages » car non nourris durant leur conservation. Ce qui fut fait.

Cette année, aucune nourriture n’a été donnée aux dorades durant les trois mois de vivier. De plus, selon le cahier des charges, il n’a été administré aucun traitement durant cette période de captivité.

 A la différence de la première tentative, il y a eu cette fois-ci peu de mortalité, de l’ordre de 4%.

 A la fin de cette période de captivité, aidés par les services de l’Ifremer de Palavas, les pêcheurs ont eu le plaisir de constater que les pertes en poids des dorades étaient insignifiantes, de l’ordre en moyenne de 3,5%.

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 Pour l'année 2018, cette pêche a concerné 60 individus de 256g à 976g.

 L’abattage avant les ventes en criées de Sète et d’Agde a été réalisé de manière « classique » pour une vente, cette année, de 170kg.

Valdora pesage (Copier)

 Comme l’an dernier, les prix fluctuent selon les apports du jour mais globalement les prix des grosses dorades ont tourné autour de 17 euros, soit entre 12 et 29 euros le kg.

 "Après de tels résultats plutôt encourageants, une ou plutôt des questions demeurent, celle, entre autre, de la rentabilité d’une telle pêche. Car s’il y a une volonté de pérenniser cette technique, il va bien falloir investir dans du matériel dont les cages avec un prix à l’unité avoisinant les 4.000 euros HT. Mais aussi envisager l’aménagement d’un site dédié pour conserver les poissons. Toutes ces questions restent encore en suspens et devront être tranchées par les professionnels eux-mêmes soutenus par leurs partenaires."

Des partenaires nombreux : le Cépralmar, l’Ifremer, les poissons du Soleil, le Lycée de la Mer, l’association Valdora.

Et des partenaires financiers : l’Europe, l’Union Européenne, le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, la Région Occitanie, le Département de l’Hérault, Sète Agglopôle.

 Autre amélioration à envisager dans le cadre d’une meilleure rentabilité, monter la possibilité des charges en vivier supérieur à 15kg/m3.

 Toutes ces questions devront trouver réponses mais en attendant, les 3 professionnels se disent satisfaits et se proposent de renouveler cette technique de pêche l’an prochain et peut-être même de l’étendre à une autre espèce de poissons fréquentant les eaux de l’étang de Thau, le loup.

 publié le 19 mars 2019, Jean-Marc ROGER.