Karl Gustaf Scherman, ancien directeur de la Sécurité sociale suédoise, est l’homme derrière l’âge pivot de départ à la retraite à 65 ans en Suède. Au micro de BFMTV, il met en garde Emmanuel Macron et lui conseille de ne pas suivre le même chemin.
En mai 2001, la Suède acte l’âge pivot de départ à la retraite à 65 ans.
Derrière cette réforme, il y a Karl Gustaf Scherman, directeur de la Sécurité sociale suédoise à cette époque. Près de vingt ans plus tard et alors que la France s’apprête à suivre le même chemin avec le report de l’âge de départ à la retraite fixé à 64 ans, l’ancien dirigeant suédois invite Emmanuel Macron et son Gouvernement à ne pas suivre cette voie, avouant à demi-mot l’échec de la réforme au micro de BFMTV.
Kiev réclame des chars, notamment à l'Allemagne, qui détient la clé de la livraison de chars Leopard 2 par plusieurs pays européens...
Selon France Info :
Des chars lourds français bientôt sur le front ukrainien ? La France n'exclut pas de livrer des chars de combat lourds Leclerc à l'Ukraine pour la soutenir dans sa guerre contre la Russie, a déclaré, dimanche 22 janvier, Emmanuel Macron au côté du chancelier Olaf Scholz. Kiev réclame des chars, notamment à l'Allemagne, qui détient la clé de la livraison de chars Leopard 2 par plusieurs pays européens. Suivez notre direct.
Moscou continue son offensive en Ukraine. L'armée russe progresse en direction de deux villages de la région de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, où les affrontements avec les troupes de Kiev se sont intensifiés cette semaine, a affirmé, dimanche, un dirigeant de l'autorité régionale d'occupation installée par Moscou. "Le front est mobile, en particulier dans deux directions : Orikhiv et Gouliaïpolé", a précisé Vladimir Rogov.
En France, l'inflation sur les produits alimentaires dépasse désormais les 12% sur un an. Alors que la grande distribution tire une nouvelle fois la sonnette d'alarme, les Français s'inquiètent.
Les fruits et légumes pèsent de plus en plus lourd dans le budget des Français. Tomates, bananes, endives ou encore haricots verts, leur prix s'envole depuis plusieurs mois. Sur un marché de Montpellier (Hérault), certains clients remplissent un peu moins leur panier. "Je voyais des poires à six euros le kilo. Elles sont exceptionnelles, mais on en prend deux au lieu d'en prendre quatre", confie une femme.
Savez-vous que plusieurs dispositifs peuvent permettre de réduire votre facture fiscale ?
Cela peut être par exemple, une réduction d’impôt pour don à une association, un crédit d’impôt pour un emploi à domicile, ou encore une déduction fiscale pour versement d’une pension alimentaire.
Concrètement, quelles sont les différences entre ces 3 avantages fiscaux ?
Pas de panique, on vous explique !
Tout d’abord, qu’est-ce qu’une déduction fiscale ?
C’est une somme qui est retirée de votre revenu imposable.
Prenons un exemple. Vous avez un revenu de 10 000 € et une déduction fiscale de 1 000 €. Vous serez alors imposable uniquement sur 9 000 €.
La déduction peut être effectuée sur votre revenu global.
Par exemple, la déduction de la pension alimentaire que vous versez à un enfant majeur.
La déduction peut aussi être faite sur une catégorie de revenus.
Par exemple, vos frais professionnels sont déduits de vos salaires.
La déduction fiscale ne doit pas être confondue avec la réduction d'impôt.
La réduction d’impôt est, elle, une somme déduite du montant de votre impôt.
Par exemple, vous avez fait un don à une association qui vous donne droit à une réduction d’impôt de 700 €. Si votre impôt est de 1 500 €, alors vous ne paierez plus que 800 €.
Mais si vous êtes non imposable, vous ne pouvez pas en bénéficier.
Et si vous êtes peu imposable, vous ne profitez que d’une partie de la réduction.
Par exemple, si vous avez droit à une réduction d’impôt de 700 €, mais que vous devez 500 € d’impôt, le surplus de 200 € est « perdu ».
Et un crédit d'impôt, qu’est-ce que c’est ?
C’est également une somme soustraite du montant de votre impôt.
Si le montant du crédit d’impôt dépasse celui de votre impôt, le surplus vous est remboursé.
En revanche, si vous ne payez pas d’impôt, les services fiscaux vous remboursent le montant de votre crédit d’impôt.
Par exemple, imaginons que vous ayez droit à un crédit d’impôt de 700 € pour vos frais de garde d'enfants. Si vous devez 500 € d’impôt, les services fiscaux vous remboursent alors le surplus de 200 €.
Une seule exception, les sommes inférieures à 8 € ne sont pas remboursées.
En résumé
+ Une déduction fiscale est une somme retirée de votre revenu imposable.
+ Une réduction d’impôt est un montant déduit de vos impôts (si vous en payez).
+ Un crédit d’impôt est aussi déduit de votre impôt, ou remboursé si son montant dépasse celui de vos impôts (ou si vous n’en payez pas).
« La police et la gendarmerie nationales vous accompagnent dans vos démarches ». Tel est le slogan du nouveau site « Ma Sécurité ». Né de la convergence de la gendarmerie et de la police nationales, il devient le guichet numérique unique des forces de sécurité intérieure. Tout savoir sur ce nouveau site d'informations et de démarches avec Service-Public.fr.
La gendarmerie et le site moncommissariat.fr sont désormais regroupés sur un site unique : masecurite.gouv.fr. Pré-plainte, signalements, tchat, fiches conseils... vous avez la possibilité d'obtenir en quelques clics, pour des démarches non urgentes, une réponse personnalisée à votre situation.
Depuis mars 2022, l'application « Ma Sécurité » disponible sur tablettes et smartphones proposait déjà un certain nombre de services aux usagers. Le nouveau site « Ma Sécurité » élargit les services de l'application.
Un panel complet de services
Le site est organisé autour de différentes rubriques soit informatives, soit interactives.
Démarches en ligne
Cette rubrique vous permet d'accéder à différentes plateformes de signalement :
Portail de signalement des violences sexuelles et sexistes ;
Signaler un trafic de stupéfiants (Stup) ;
Signaler un rodéo ;
Pré-plainte en ligne ;
Plainte en ligne pour les arnaques sur internet (THESEE) ;
Portail de signalement des contenus illicites de l'internet (Pharos) ;
Signaler une fraude à la carte bancaire (Perceval) ;
Opération Tranquillité Vacances (OTV) ;
Stop-djihadisme.
Fiches pratiques
Des fiches détaillées vous renseignent avec toutes les informations utiles relatives à la sécurité du citoyen : arnaques et escroqueries en ligne, cambriolages, victimes de violences conjugales, le délit de fuite, les règles sur la route, comment protéger les mineurs, etc.
Trouver mon point d'accueil
Cet onglet vous permet de prendre directement rendez-vous avec le service de proximité le plus proche de chez vous : il vous suffit de saisir votre code postal ou de vous géolocaliser sur la carte.
Informations locales
Cette rubrique recense pour vous toutes les informations locales utiles de votre département.
Enfin, « À la une » vous propose l'actualité du site et de la sécurité.
À savoir : Comme le faisait l'application, le site vous propose un espace de dialogue instantané : « J'échange avec un policier ou un gendarme ». Ce tchat est disponible 24h/24 et 7j/7 pour communiquer en direct avec un gendarme ou un policier qui répond à toutes vos questions et vous accompagne pour trouver la solution la plus adaptée. Pour lancer le tchat, il suffit de renseigner votre ville ou votre code postal.
Attention : Le numéro de police secours, le 17, reste le numéro d'urgence de la police nationale.
Pour connaître vos droits, bénéficier du RSA, faciliter votre quotidien, être accompagné dans vos démarches d’insertion ou bien être soutenu dans votre projet, consultez le Guide de l’Insertion et du RSA !
Il s’adresse aux allocataires du RSA mais peut également être utile à tous les Héraultais, alors consultez-le ici : https://bit.ly/3XFLQFo
La polémique du char à voile avait agité le microcosme du football et de la politique au mois de septembre, quand Christophe Galtier ironisait sur le potentiel choix de ce mode de transport après le déplacement à Nantes où le Paris Saint-Germain s'était rendu en avion. Le club de la capitale avait alors dû détailler très sérieusement la teneur de ses négociations avec la SNCF, non abouties mais qui continuent d'être menées. La directrice des voyages en groupe, Nathalie Lanier, a ainsi confié au Parisien que les deux parties ont convenu de se "pencher sur les déplacements de l'an prochain, quand le calendrier de Ligue 1 sera connu, au début de l'été". C'est trop tard pour cette saison, tous les vols du PSG étant déjà réservés....
Le secrétaire général du syndicat, Philippe Martinez, a évoqué dimanche sur RTL d'éventuelles "journées d'action" pendant les congés, "à partir du moment où le gouvernement s'entête".
Des grèves contre la réforme des retraites pendant les vacances de février. C'est le scénario qu'a ébauché, dimanche 22 janvier sur RTL, le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez. "A partir du moment où le gouvernement s'entête sur ce qui fait conflit, il y a possibilité de journées d’action pendant les vacances scolaires qui, je crois, s'étalent sur plusieurs zones et sur au moins un mois et demi", a-t-il déclaré.
Le gouvernement va présenter le projet de la réforme des retraites en Conseil des ministres lundi 23 janvier, prélude à une journée de mobilisation intersyndicale prévue le 31 janvier, rapporte Libération.
Le calendrier de la réforme des retraites va s’accélérer dans les prochains jours. La Première ministre Élisabeth Borne va présenter lundi 23 janvier ce projet phare du quinquennat d’Emmanuel Macron lors du Conseil des ministres, a rapporté Libération samedi 21 janvier.
La mesure principale du texte prévoit un report de l’âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
Après la réception des documents envoyés par l’exécutif à l’Assemblée, le Parlement a 50 jours pour examiner le projet et décider du sort du texte. Les débats devraient être enflammés entre la majorité présidentielle et les partis d’opposition, la Nupes et le Rassemblement national, tous deux opposés au projet. L’hémicycle débattra du texte à partir du 6 février, avant qu’il ne soit envoyé au Sénat entre février et mars.
Selon France Info : Martin Ducret, médecin et journaliste au "Quotidien du Médecin", détaille aujourd'hui une étude française récente sur la relation entre cauchemars et tentative de suicide. Une étude qui porte sur les rêves et cauchemars de patients très dépressifs.
Et si l’analyse des rêves pouvait prédire une tentative de suicide ? C’est ce que suggère une étude française pilotée par le Professeur Pierre Geoffroy, psychiatre et médecin du sommeil à l'hôpital Bichat et au Centre ChronoS à Paris, qui a analysé la survenue de cauchemars chez des patients souffrant de dépression. Le suicide, actuellement dans le monde, fait plus de morts que les guerres, le VIH ou les meurtres.
Expliquez-nous précisément cette étude ?
Les auteurs de cette étude se sont demandé de quelle manière rêvent des patients très dépressifs, plusieurs mois avant qu’ils tentent de se suicider. Un peu à la manière de Sherlock Holmes, ils ont cherché à savoir si les cauchemars étaient des indices prédictifs d’une tentative de suicide.
Et la réponse est oui ! 80% des patients faisaient dans les quatre mois précédant leur tentative de suicide, d’abord des cauchemars, puis des rêves avec un scénario suicidaire, c’est-à-dire qu’ils rêvaient de comment ils allaient se suicider.
La grève est la cessation collective et concertée du travail en vue d'appuyer des revendications professionnelles. C'est un droit à valeur constitutionnelle. Vie-publique.fr en retrace l'histoire, en France, de 1791 à nos jours.
Conquis à la fin du XIXe siècle, le droit de grève est inscrit dans le Préambule de la Constitution de 1946. Cependant, deux principes contrebalancent ce droit : celui de la continuité du service public et celui de la protection de la santé et de la sécurité des personnes et des biens. C’est ainsi que le législateur est intervenu pour interdire le droit de grève à certaines catégories de fonctionnaires, pour le restreindre avec l’instauration d’un service minimum dans certains secteurs ou pour imposer une procédure préalable à son exercice dans le secteur public.
Conquis à la fin du XIXe siècle, le droit de grève est inscrit dans le Préambule de la Constitution de 1946. Cependant, deux principes contrebalancent ce droit : celui de la continuité du service public et celui de la protection de la santé et de la sécurité des personnes et des biens. C’est ainsi que le législateur est intervenu pour interdire le droit de grève à certaines catégories de fonctionnaires, pour le restreindre avec l’instauration d’un service minimum dans certains secteurs ou pour imposer une procédure préalable à son exercice dans le secteur public.
Grève et cessation du travail
Les dates indiquées dans cette chronologie répondent à la définition de la grève donnée par la Cour de cassation dans un arrêt du 2 février 2006(nouvelle fenêtre) : "La cessation collective, concertée et totale du travail en vue de présenter à l'employeur des revendications professionnelles."
Ainsi, les manifestations et mouvements sociaux exercés en dehors de ce contexte et parfois qualifiés de "grèves" (manifestations étudiantes, Nuit debout, Gilets jaunes…) ne sont pas mentionnés, sauf en cas de jonction des luttes, comme en mai 1968.
1791-1946 : De l’interdiction de la grève à son inscription dans la Constitution
22 mai et 14 juin 1791 Les lois dites "Le Chapelier" interdisent les coalitions de métiers et les grèves.
22 février 1810 Promulgation du code pénal de Napoléon Ier(nouvelle fenêtre) qui soumet à l’agrément du gouvernement toute association de plus de 20 personnes et réprime très sévèrement toute coalition ouvrière tendant à la cessation du travail ou à la modification des salaires.
22 novembre 1831 La révolte des canuts lyonnais, ouvriers de la soie, débute comme une grève destinée à faire respecter l'application d'un accord collectif sur les prix de façon. Elle se transforme en révolte armée aux cris de : "Vivre libres en travaillant ou mourir en combattant". Elle est durement réprimée par l'armée.
15 mars 1949 Loi contre les coalitions ouvrières et patronales.
27 novembre 1849 Loi rappelant l’interdiction des grèves et modifiant les articles 414 à 416 du code pénal.
25 mai 1864 Loi dite "Ollivier" supprimant le délit de coalition et reconnaissant le droit de grève.
Février 1884 Début de la grève des mineurs de la compagnie des mines d'Anzin. L'une des conséquences sera la promulgation, le 21 mars 1884, de la loi Waldeck-Rousseau instaurant la liberté syndicale(nouvelle fenêtre). De toléré, le syndicalisme devient légal en France. Mais l'article 3 de la loi maintient les fonctionnaires en dehors du droit syndical.
27 décembre 1892 Loi sur la conciliation et l’arbitrage facultatif en matière de différends collectifs entre patrons et ouvriers ou employés. Tentative de mettre sur pied des procédures de règlement pacifique des conflits collectifs du travail.
1895 Création de la Confédération générale des travailleurs (CGT).
13 octobre 1906 La charte d'Amiens, texte de référence dans le syndicalisme français, est adoptée par le IXe congrès de la CGT. Elle "préconise comme moyen d’action la grève générale".
2 mai 1908 Les ouvriers des Sablières de la Seine débutent une grève afin de revendiquer une augmentation salariale et un contrat collectif applicable à tous les chantiers. Georges Clemenceau, alors ministre de l'intérieur et président du conseil, fait durement réprimer la grève à Draveil et Villeneuve-Saint-Georges. Il y a des morts et des blessés.
1909 Première grève d'agents publics aux Postes, télégraphes et téléphones (PTT) contre une réforme des conditions d'avancement.
11-18 octobre 1910 Première grève générale des cheminots.
1917 Grandes grèves et création des délégués d'atelier dans les usines de guerre.
28 juin 1919 Signature du traité de Versailles. Ce traité de paix entérine la création de l'Organisation internationale du travail (OIT) et crée la notion de syndicat représentatif.
1er novembre 1919 Création de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC).
1936 Le chômage et la crise économique conduisent au premier mouvement de grève généralisé en France, après la victoire du Front populaire. Au plus fort du mouvement, il y a près de 2 millions de grévistes.
31 décembre 1936 Loi sur les procédures de conciliation et d’arbitrage. Le texte spécifie que dans l’industrie et le commerce tous les conflits collectifs du travail sont soumis aux procédures de conciliation et d’arbitrage avant toute grève et tout lock-out.
4 octobre 1941 La loi relative à l'organisation sociale des professions, dite "charte du travail", promulguée par le régime de Vichy, interdit la grève et dissout les syndicats.
27 juillet 1944 Une ordonnance du Gouvernement provisoire relative au rétablissement de la liberté syndicale(nouvelle fenêtre) annule la charte du travail et ses textes modificatifs, complémentaires et d'application. Le droit de grève est rétabli et les syndicats de nouveau autorisés, sauf la Confédération générale de la production française (CGPF), groupement de fédérations patronales. La Corporation paysanne est dissoute.
1944 Création de la Confédération française de l'encadrement-Confédération générale des cadres (CFE-CGC), sous le nom de CGC....
Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.
LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE
Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.
LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE
Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon. Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode. Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. » Amazon
La déclaration automatique des revenus : êtes-vous concerné ?
Depuis 2020, la déclaration de revenus est simplifiée grâce à un nouveau dispositif : la déclaration automatique.
Celle-ci permet aux foyers fiscaux éligibles d'être dispensés du dépôt de leur déclaration.
Êtes-vous concerné ? On fait le point.
Qu’est-ce que la déclaration automatique ?
La déclaration automatique est un mode déclaratif permettant à certains foyers fiscaux d'être dispensés d'un dépôt de déclaration, dès lors que les informations préremplies et connues des services fiscaux sont justes et exhaustives pour le calcul de l’impôt sur le revenu.
Il ne vous reste plus qu’à vérifier votre déclaration.
Par ailleurs, le dispositif est élargi aux contribuables ayant en 2023 :
déclaré une naissance ou une adoption dans leur espace « particulier » via le service « Gérer mon prélèvement à la source » sur impot.gouv.fr,
opté pour l'imposition au barème de leurs revenus de capitaux mobiliers.
Les usagers qui avaient déclaré des dépenses pour l'emploi d'un salarié à domicile lors du dépôt de leur déclaration de revenus 2023, ne seront plus éligibles à la déclaration automatique.
Ils devront en effet déposer une déclaration de revenus en renseignant la nature de l'activité pour laquelle le bénéfice du crédit d'impôt est demandé...