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Cévennes Croix d’Argent :
Mosson-Hôpitaux Facultés :
Port Marianne- Prés d’Arènes-Centre :
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Les sites fermés au public samedi 18 septembre dès 13h :
Les horaires et lieux ouverts au public le dimanche 19 septembre restent, quant à eux, inchangés.
Alors que l'histoire de la presse célèbre volontiers ses grands hommes, elle n'a jusqu'ici accordé quasiment aucune place aux femmes journalistes, qu'elles aient été célèbres en leur temps comme Delphine de Girardin, Séverine ou Titaÿna, ou des écrivaines reconnues comme George Sand ou Colette. Pourtant, dès le XVIIIe siècle, des femmes créent et dirigent des feuilles périodiques. Les femmes journalistes du XIXe siècle, qui écrivent un journalisme de chronique directement issu du bel esprit des salons, sont leurs héritières.
Cet ouvrage raconte la progression des femmes dans les journaux généralistes et la manière dont elles ont réussi à s'infiltrer et parfois à s'imposer dans l'article politique, dans la chronique judiciaire, dans la chronique des sports et dans le grand reportage.
Ces femmes ont dû inventer des pratiques, créer des postures et imposer des écritures. Pour faire passer leur prose dans le journal, elles ont pu privilégier la narration, la fiction, l'écriture intime aussi. Subalternes elles-mêmes, elles ont par ailleurs souvent choisi d'enquêter sur les exclus de la société. Cet essai montre aussi combien il serait caricatural d'affirmer l'existence d'un modèle unique de la femme journaliste qui s'opposerait à son pendant normatif masculin. Car il existe une infinité de façons d'être femme journaliste.
Marie-Ève Thérenty nous présente ici un panorama des femmes journalistes, du XIXe siècle et de l'entrée dans l'ère médiatique à 1944. Après l'octroi du droit de vote aux femmes françaises, les contraintes professionnelles et les enjeux ne sont plus tout à fait les mêmes. Néanmoins, dans un univers de presse encore hiérarchisé et discriminant, les femmes journalistes ont continué parfois de mobiliser les dispositifs décrits dans cet ouvrage qui se conclut donc par l'observation de trois cas plus contemporains : Françoise Giroud, Marguerite Duras et Florence Aubenas.
Livre paru aux éditions CNRS, 2019.
Marie-Eve Thérenty est professeur des universités et directrice du centre de recherche RIRRA21 à l’université Paul Valéry - Montpellier 3. Spécialiste des rapports entre presse et littérature, de poétique des supports et d’imaginaire des sociétés médiatiques, elle a publié plusieurs ouvrages dont Mosaïques : être écrivain entre presse et roman (1829-1836), Champion, 2003 ; La Littérature au quotidien : poétiques journalistiques au XIXe siècle, Seuil, 2007 ; avec Amélie Chabrier, Détective, fabrique de crimes ? : 1928-1940 : le grand hebdomadaire des faits divers, K éditions, 2017. Elle a codirigé La Civilisation du Journal : histoire culturelle et littéraire de la presse au XIXe siècle, Nouveau Monde, 2012. Elle codirige avec Guillaume Pinson medias19.org, plate-forme dédiée à l’étude de la culture médiatique et elle pilote le projet Numapresse financé par l'ANR. Son prochain livre, écrit avec Pierre-Carl Langlais et Julien Schuh, Les Lapins du Père Lachaise. Légendes urbaines, fake news et viralité avant Internet est sorti chez CNRS éditions en juin 2020.
« Ciné’Art », le cycle proposé par les Amis du Musée Fabre en partenariat avec la médiathèque centrale Émile Zola, propose au grand public de découvrir une fois par mois des films, fictions ou documentaires, qui questionnent la création artistique.
En 1941, au milieu de la guerre, Louis Aragon et Elsa Triolet sont allés voir Henri Matisse à son domicile à Cimiez, au-dessus de Nice, en zone libre. Aragon a 44 ans, Matisse 72. Cela faisait trente ans qu'Aragon rêvait de faire la connaissance de Matisse. À partir de cette visite, il commence à écrire des textes sur le peintre pour un livre qu'il appellera "Roman". Pour Aragon qui vit alors dans une semi-clandestinité, Matisse devient le symbole de la France résistante, de la France éternelle, le symbole de la beauté, de la lumière, de l'optimisme français. Film de 2003, durée 52 minutes.
Michaël Delafosse, Président de Montpellier Méditerranée Métropole, Anne Fraïsse, Présidente de l’Université Paul-Valéry Montpellier 3, Oliver Tinland, Directeur de la Maison des Sciences de l’Homme, MSH-SUD, Benoît Roig, Président de l’Université de Nîmes, Yvan Auguet, Président de l’Université de Perpignan Via Domitia, sont heureux de vous annoncer la création de la Maison des Francophonies de Montpellier Via-Domitia.
Celle-ci sera abritée dans les locaux de la Maison des Sciences de l’Homme, site de Saint-Charles, Rue du Professeur Henri Serre, Montpellier. Structure originale dans le paysage de la Francophonie institutionnelle, elle réunira, en réseau, dans sa gouvernance comme dans ses actions, Montpellier Méditerranée Métropole et les Universités, la Maison des Sciences de l’Homme étant un trait d’union entre ces dernières.
De façon symbolique, la signature officielle de la Convention fondatrice interviendra à l’occasion du Nouveau Sommet Afrique France, qui se déroulera à Montpellier les 7, 8 et 9 octobre 2021.
La Maison des francophonies vise à encourager la promotion et l’étude des dynamiques des francophonies dans toutes leurs dimensions linguistique, culturelle, historique et politique, à promouvoir le partage international de la langue française et des langues régionales de France et à faire découvrir ainsi à l’ensemble des habitants de Montpellier Méditerranée Métropole, comme de toute l’Occitanie-Est, de Nîmes à Perpignan, la richesse et la complexité de l’espace francophone, au niveau mondial comme dans leur environnement proche.
La Maison des francophonies aura trois objectifs principaux :
1) Un objectif intellectuel et politique : encourager et favoriser une "conscience francophone" transnationale et un sentiment du partage mondial de la langue française. Par des manifestations ouvertes à toutes et à tous, comme les Rencontres de la francophonie, organisées au printemps ; des manifestations universitaires et scientifiques ; des voyages et échanges internationaux ; des expositions ; des tables rondes ; des rencontres ; des projections ; la Maison des Francophonies contribuera au rayonnement international de ses membres. Elle sera, en particulier, un outil de mise en valeur des jumelages noués avec plusieurs villes francophones, des Amériques à l’Asie en passant par l’Afrique et l’Océanie.
2) Un double objectif institutionnel : d’une part, faire de la Maison des francophonies un élément structurant de la recherche à l’Université Paul-Valéry, à l’Université de Perpignan Via Domitia et à l’Université de Nîmes en donnant la possibilité à tous les collègues qui interviennent dans le domaine de la francophonie à l’université de travailler ensemble, dans un cadre transversal et pluridisciplinaire. De ce point de vue, son hébergement par la Maison des Sciences de l’Homme marque cette volonté de mobiliser tous les acteurs de toutes disciplines et particulièrement les plus fortement mobilisés dans les Suds francophones. D’autre part, l’objectif est de faire de la Maison des francophonies une maison ouverte au grand public et aux milieux associatifs, en favorisant ainsi les échanges et interactions entre le monde universitaire et la Cité.
3) Un objectif culturel : promouvoir une approche inclusive des langues et des cultures présentes sur les espaces francophones (en France mais aussi à l’étranger), en tant qu’éléments d’enrichissement mutuel. La prise en compte de ces langues et cultures contribue au rayonnement d’une francophonie ouverte et respectueuse des droits linguistiques et culturels des uns et des autres. A cet égard, des partenariats et activités seront en particulier noués avec les établissements d’enseignement primaire et secondaire.
La crèche assurera dès le jeudi 16 septembre l’accueil des jeunes enfants en section de « Bébés » ainsi qu’en section de « Moyens ».
En revanche, la section de « grands » demeurera fermée demain. La perspective de sa réouverture sera précisée jeudi 16 septembre.
À travers 22 panneaux de photos et des textes, cette exposition a pour objectif de sensibiliser le public à la vie quotidienne des personnes sourdes appareillées, qui revendiquent le port d’un appareil auditif et ne souhaitent plus le cacher. Le panneau introductif comporte un QR code permettant d’avoir accès à des témoignages de personnes appareillées qui parlent de leur handicap et du regard porté sur celui-ci par les « entendants ».
La municipalité a fait de l’accessibilité universelle des espaces publics et des services publics une priorité forte de ce mandat. La Ville répond aux besoins des Montpelliérains, par le soutien qu’elle apporte aux associations, par les événements qu’elle organise ou dont elle est partenaire et par des mesures sociales en faveur de plus d’équité.
La ville s’investit au quotidien pour rendre la cité plus solidaire et plus accessible à tous et décline sa politique dans de nombreux domaines tels que l’éducation, la sécurité, les transports, la citoyenneté... L’objectif est de créer toutes les conditions favorables à une insertion urbaine et sociale des personnes confrontées au handicap.
En complément de l’exposition présentée sur le Parvis de l’Hôtel de ville, la Ville de Montpellier propose deux jours durant une série de rendez-vous et de visites en langue des signes française, à l’occasion de la Journée mondiale des sourds.
Visites guidée de Montpellier en LSF avec Françoise Casas
Visites guidée de Montpellier en LSF avec Françoise Casas (Guide sourde de l’Office de Tourisme)