Epidémie de coqueluche : cinq questions sur la recrudescence des cas et les nouvelles recommandations de vaccination


Depuis janvier 2024, les cas de coqueluche se multiplient en France, si bien que le ministère de la Santé a chargé la Haute Autorité de santé de rendre un nouvel avis sur la nécessité de la vaccination. 

Selon France Info

 

Vaccination, Immunisation, Vaccin

Depuis le début de l'année 2024, la Haute Autorité de santé (HAS) alerte sur la recrudescence marquée des cas de coqueluche. Saisie par le ministère de la Santé, la HAS a publié, lundi 22 juillet, un communiqué mettant en garde sur la situation et appelant au renforcement des recommandations vaccinales pour protéger les nouveau-nés et les nourrissons. Quelles sont les nouveautés ? Comment savoir si l'on est concerné par la vaccination ? Franceinfo fait le point. 

1 Quelle est la situation en France ?

Dans ses nouvelles recommandations, la HAS évoque un "contexte épidémique préoccupant". Depuis début 2024, la France connaît "une forte augmentation du nombre de contaminations" et "au moins 17 décès, dont 12 chez des nourrissons âgés de 2 mois et moins", rappelle la HAS. 

Dans son bulletin du 28 juin, Santé publique France (SPF) comptabilise 14 866 tests PCR positifs sur 67 161 tests réalisés sur l'année, soit un taux de positivité de 22,1%, contre 3,7% en 2023. Entre janvier et mai 2024, le pourcentage de tests positifs a augmenté de 20,2 points. Par ailleurs, le réseau de recherche et de veille sanitaire Sentinelles a répertorié 78 cas, déclarés par les médecins généralistes et pédiatres, entre le 1er janvier et le 2 juin 2024, contre zéro sur la même période en 2023. De son côté, le réseau Renacoq, le réseau hospitalier qui surveille les cas, indique que 80 nourrissons de moins de 12 mois ont été hospitalisés depuis le début de l'année, dont 59 âgés de moins de 6 mois, contre 41 en 2023.

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/sante/epidemie-de-coqueluche-cinq-questions-sur-la-recrudescence-des-cas-et-les-nouvelles-recommandations-de-vaccination_6684084.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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