Éveiller les enfants grâce à l'art

 
 
 

Parents et enfants peuvent s'initier à une rencontre singulière avec le monde sensible au travers d'ateliers de découverte de l’OANI : « Objet artistique non identifié ». Plusieurs dates sont prévues sur le territoire.

Il porte un nom étrange, révélateur d’une rencontre tout aussi insolite, celle des 0-3 ans avec l’art. L’OANI (Objet artistique non identifié) est un ensemble d’objets conçus par Julien Martinez, un artiste plasticien héraultais, dans le but d’éveiller les 5 sens des tout-petits, de développer leur imagination, et de provoquer des échanges et un partage du sensible avec les adultes.

En tout, 121 objets sont mis à disposition des tout-petits et de leurs parents : silhouettes, grelot-plante, tambour, formes en tissu, masques, couvercles-paysages…

Les dates jusqu'en décembre

Après deux ateliers au domaine départemental Pierresvives à Montpellier, l'OANI poursuit son voyage dans les médiathèques et les lieux d’accueil petite enfance de l’Hérault, partenaires du projet (crèches, haltes garderie, relais petite enfance).

Le vendredi 19 avril matin : médiathèque Andrée Chedid, Mèze.
Le vendredi 19 avril l'après-midi : médiathèque de Balaruc-les-Bains
Le vendredi 7 juin le matin : médiathèque d'Aniane
Le vendredi 7 juin l'après-midi : médiathèque de Gignac
Le mercredi 16 octobre le matin : crèche Nuage et polochon, Bédarieux
Le mercredi 16 octobre l'après-midi : médiathèque de Bédarieux
Le mardi 3 décembre toute la journée : médiathèque de l'Ancre, Carnon

Les inscriptions se font directement auprès des lieux d'accueil

Certains ateliers sont suivis ou précédés d'une rencontre avec l'artiste.

Le Département agit pour la petite enfance

Ce projet, piloté par la Direction départementale de la lecture publique, s’inscrit dans les compétences lecture publique et petite enfance du Département de l’Hérault. Notre collectivité en a financé la majeure partie, le tiers restant a été subventionné par la DRAC dans le cadre du Label Premières pages décerné par la Ministère de la Culture.

Le Département accompagne la petite enfance dans l’Hérault

Brocante - les conseils d'un pro

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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