Paludisme : la découverte de cette maladie infectieuse sur des restes d'un squelette romain permet d'en savoir plus sur ses origines


Une étude américaine confirme l'hypothèse selon laquelle le paludisme se serait répandu, en Europe à partir de l'Asie, il y a environ 2 000 ans. 

Selon France Info

Moustique, Paludisme, Plaque, Maladie

C'est un squelette romain connu sous le nom de Velia-186, au cœur d’une étude américaine et dont se fait l’écho la revue Nature, mercredi 13 mars, qui pourrait permettre d'en savoir beaucoup plus sur les origines du paludisme. Une étude scientifique assez extraordinaire car il est très difficile de trouver des signes de paludisme dans les restes humains anciens. Pour cela, il faut détecter dans ces restes de l'ADN du parasite Plasmodium falciparum, l’espèce la plus mortelle responsable de cette maladie, et jusqu’à présent les chercheurs n’avaient jamais réussi à obtenir de séquence génomique complète sur un squelette d’avant le XXe siècle.

C’est désormais chose faite grâce à Velia-186, ou plutôt grâce à ses dents, qui ont permis aux chercheurs d’identifier plus de 5000 éléments uniques d'information génétique. Selon les chercheurs à l'origine de l'étude, ces résultats sont importants car ils confirment l'hypothèse selon laquelle le paludisme se serait répandu, en Europe à partir de l'Asie, il y a environ 2 000 ans, pendant la dernière période de la civilisation grecque antique, dite hellénistique, une période de forte mondialisation............

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/dans-la-peau-de-l-info/paludisme-la-decouverte-de-cette-maladie-infectieuse-sur-des-restes-d-un-squelette-romain-permet-d-en-savoir-plus-sur-ses-origines_6402130.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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