Infirmiers libéraux en colère : "Je travaille environ 50 heures par semaine, et je soigne 50 patients par jour"

Après des mois de mobilisation, les infirmiers libéraux continuent de réclamer une hausse de leurs tarifs, qui n'ont pas été revalorisés depuis 15 ans. À l'image d'Émilie Séhili, infirmière libérale à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), que nous avons suivie dans sa tournée quotidienne. Chaussez vos baskets, sa journée est épuisante.

Docteur, Patient, Aider, Kassenpatient

Selon France Info : 

La journée de travail d'Emilie Séhili démarre à 6h30 du matin, à l'heure où personne n'est bien réveillé et de bonne humeur. Sauf cette infirmière libérale : "On a l'habitude, c'est le démarrage de nos journées, cela peut même être pire, lance-t-elle dans un rire. Je ne finis pas si tard que ça, 18h". "Ah quand même", lui fait-on remarquer. "Ça ne va pas excéder trois jours d'affilée, mais c'est déjà pas mal, parce que cela fait trois fois 12 heures de travail".

Au volant de sa voiture, elle arrive au bout de quelques minutes devant le domicile du premier patient. Il est diabétique : contrôle de la glycémie, une injection, et Émilie Séhili est déjà repartie. Elle enchaîne les patients, six en une heure. "À tout à l'heure", dit-elle à l'une avec le sourire, "bon courage", lui lance une autre.

"C'est très sportif"...............https://www.francetvinfo.fr/sante/infirmiers-liberaux-en-colere-je-travaille-environ-50-heures-par-semaine-et-je-soigne-50-patients-par-jour_6403855.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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