Santé : vers la fin des prises de sang avec des aiguilles ?

 

La firme américaine, Becton, Dickinson et Co semble avoir trouvé une alternative aux aiguilles dans les veines avec une technologie impliquant le cuir chevelu. 

Selon France InfoCœur, Courbe, Cours, Publicité, Docteur

La dernière personne à avoir proposé d'en finir avec les prises de sang traditionnelles était Elizabeth Holmes, fondatrice de Theranos, la start-up star de la Silicon Valley, lancée au début des années 2000. On la présentait comme l'héritière de Steve Jobs et elle portait même des cols roulés noirs comme lui. Elle s'est retrouvée en une des magazines avec sa technologie qui promettait de réaliser des bilans sanguins à bas coût et presque sans douleurs.

L'entreprise a été valorisée à neuf milliards de dollars. Sauf qu'en 2015, le journaliste du Wall Street Journal, John Carreyrou, fils de l'ancien journaliste de TF1, Gérard Carreyrou, révélait que la technologie ne marchait pas et qu'Elizabeth Holmes avait camouflé cet échec. Elle a été condamnée à 11 ans et demi de prison en 2022 après un procès très médiatisé. L'affaire a même donné lieu à une mini-série, The Dropout.

Cette fois-ci, l'entreprise derrière cette nouvelle technologie est respectée et ce n'est pas une start-up inconnue. Becton, Dickinson et Co a plus d'un siècle d'existence. Elle a produit pendant la pandémie des kits Covid pour se tester chez soi, par exemple.

Une technologie sans douleurs

Son appareil, appelé le BD MiniDraw Collection System, permet donc de réaliser une prise de sang, non pas en enfonçant une aiguille dans la veine, ce qui peut faire peur, voire un petit peu mal, mais en prélevant six à 18 gouttes de sang dans le cuir chevelu..... Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/bientot-chez-vous/sante-vers-la-fin-des-prises-de-sang-avec-des-aiguilles_6335980.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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