Colère des agriculteurs : qui doit payer pour les dégâts ? François Baroin veut que l'État mette la main à la poche

 

Le maire de Troyes a expliqué que les "déversements conséquents" qui étaient nettoyés par les agents de sa commune constituaient déjà une facture de plusieurs milliers d'euros, dans une interview accordée à l'Est éclair. Et il espère bien que l'État la remboursera.

Le passage des agriculteurs a laissé une trace… coûteuse. Et ce n’est pas François Baroin qui dira le contraire. Dans une interview accordée à L'Est Éclair, le maire de Troyes a expliqué que ces "déversements conséquents" en tout genre, qui ont partiellement été nettoyés par les agents de la commune de l’Aube, constituent déjà une facture importante de 300.000 à 400.000 euros pour la ville. "Puisque l'État laisse faire, qu'il assume jusqu'au bout", estime même l’élu Les Républicains, visant ainsi Gérald Darmanin, rapporte BFMTV.

Selon Orange.fr

Une facture d'un million d'euros pour la Bretagne

François Baroin a ensuite expliqué qu’il allait bientôt adresser une lettre à la préfecture de l’Aube; laquelle aura par la suite le rôle de faire part de ses griefs au ministère de l’Intérieur. Il entend questionner l’État sur le montant de sa participation dans le remboursement des dégradations provoquées par la présence des agriculteurs............ Aller plus loin :

 

https://actu.orange.fr/politique/colere-des-agriculteurs-qui-doit-payer-pour-les-degats-francois-baroin-veut-que-l-etat-mette-la-main-a-la-poche-magic-CNT000002c3Nh3.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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