Guerre entre Israël et le Hamas : pourquoi l'accord pour la libération d'otages reste fragile

 
Selon France Info :
 
Au moins 50 otages, des femmes et des enfants, doivent être libérés au cours d'une "accalmie dans les combats" de quatre jours, a déclaré le gouvernement israélien dans la nuit de mardi à mercredi.

Une lueur d'espoir, plus de six semaines après les attentats du 7 octobre en Israël et le début de la guerre entre l'Etat hébreu et le Hamas. Un accord pour la libération de plus de 50 otages a été trouvé, mercredi 22 novembre, en échange de prisonniers palestiniens détenus en Israël et d'une pause de quatre jours des hostilités dans la bande de Gaza. 

Dans un communiqué, le gouvernement israélien a affirmé avoir "approuvé les grandes lignes de la première étape d'un accord selon lequel au moins 50 personnes enlevées – des femmes et des enfants – seront libérées pendant quatre jours, au cours desquels il y aura une accalmie dans les combats"

Peu après, les autorités qataries, au cœur des négociations, ont confirmé un accord pour une "pause humanitaire" dans la bande de Gaza. "Le début de cette pause sera annoncé dans les prochaines vingt-quatre heures", a précisé le ministère des Affaires étrangères qatari sur le réseau social X (anciennement Twitter).

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/guerre-entre-israel-et-le-hamas-pourquoi-l-accord-pour-la-liberation-d-otages-reste-fragile_6199395.html

Brocante - les conseils d'un pro

Brocante - les conseils d'un pro

LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
» Amazon