Déserts médicaux : l’UFC - Que choisir attaque l’Etat en justice pour inaction

 

Selon Orange.fr

Face à “l’aggravation dramatique” des inégalités d’accès aux soins, l’UFC - Que choisir a déposé un recours devant le Conseil d'Etat pour dénoncer “l'inaction” du gouvernement, explique franceinfo.

Entre la “vague de départs à la retraite” de médecins et la progression des besoins médicaux, la désertification médicale progresse. “Sans surprise”, commente l’UFC - Que Choisir. L’association est bien décidée à ne pas laisser faire et attaque l’État en justice. Aussi, elle a déposé un recours devant le Conseil d’Etat. Elle a fait part de sa démarche tôt mardi 21 novembre. Son but ? Dénoncer “l'inaction” du gouvernement face aux inégalités croissantes d’accès aux soins et l’enjoindre à agir, précise franceinfo.

Docteur, Bilan De Santé, Clinique

Avant d’en arriver là, l’association a tenté de négocier pendant des années avec des décideurs politiques. Des tentatives restées sans réponse, qui ont conduit l’UFC - Que choisir à saisir le Conseil d’Etat. Elle espère ainsi “faire constater et sanctionner la coupable inaction gouvernementale” et, ainsi, “défendre le droit constitutionnel à la santé”. Dans son viseur figure tout particulièrement “le refus obstiné des autorités de réguler l’installation des médecins”.

Une pétition lancée

Pour faire changer les choses, l’association invite également les Français à signer et “partager massivement” une pétition. Grâce à sa carte interactive des déserts médicaux, réalisée en 2022 à l’aide de données publiques et issues de la littérature scientifique, elle arrive à la conclusion suivante : “Sans surprise, la désertification médicale s’accentue, du fait de la hausse des besoins” et d’une “vague de départs en retraite”................

En savoir plus : https://actu.orange.fr/france/deserts-medicaux-l-ufc-que-choisir-attaque-l-etat-en-justice-pour-inaction-magic-CNT0000029tTRa.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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