Maladie hémorragique bovine : le ministre de l'Agriculture promet de prendre "en charge les surcoûts vétérinaires"

 

Selon France InfoVaches, Animaux, Nnature, Natuire

vaches, est connue aux États-Unis depuis les années 1950, mais vient de faire son apparition en France, après avoir touché l’Espagne, il y a un an. Le ministère de l'Agriculture promet de prendre "en charge les surcoûts vétérinaires" concernant la maladie hémorragique épizootique (MHE) qui touche bovins et cervidés dans les élevages français, principalement dans les Pyrénées-Atlantiques et les Hautes-Pyrénées, assure mercredi 15 novembre sur franceinfo Marc Fesneau.

La France compte à ce jour plus de 2 100 foyers de MHE à travers le pays. Dans la plupart des cas, les bêtes sont victimes de fièvre et d'amaigrissement, mais ne meurent pas. Marc Fesneau reconnaît malgré tout, "qu'il y a tout de même un taux de mortalité". Le ministère promet donc d'accompagner les éleveurs et "de prendre en charge les bovins qui vont mourir, mais aussi les surcoûts vétérinaires"."Une résurgence" à craindre au printemps....

Aller plus loin :https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/maladie-hemorragique-bovine-le-ministre-de-l-agriculture-promet-de-prendre-en-charge-les-surcouts-veterinaires_6185208.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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