VOTRE MAGAZINE MON HÉRAULT EST SORTI !.
Retrouvez toute l’actu de votre département avec en son cœur un dossier spécial sur la Protection de l’Enfance.
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
Les 20 et 21 novembre au Corum, le Département participera au congrès annuel du Groupement National des Animateurs en Gérontologie et de l’Association des Directeurs au service des Personnes Âgées.
Patricia Weber, Vice-présidente déléguée à la solidarité aux personnes et à l’autonomie participe au Congrès national du Groupement National des Animateurs en Gérontologie (GAG) et de l’Association des Directeurs au service des Personnes Âgées (AD-PA) organisé les 20 et 21 novembre au Corum. L’occasion d’échanger avec des professionnels autour de l’accompagnement des seniors dans leurs choix, thème retenu cette année.
Quelles sont les missions pour le Groupement National des Animateurs en Gérontologie ?
Fondée en 2000, cette association regroupe des animateurs en établissements, rassemble aujourd’hui 900 membres. Elle organise chaque année un congrès national qui réunit près de 500 professionnels pour échanger autour de l’accompagnement des seniors.
En 2014, elle a créé CULTUREàVIE, une plateforme collaborative, qui permet aux animateurs de bénéficier d’un outil de ressources et d’échanges pour les animations qu’ils portent auprès de leurs résidents.
Quelles sont les missions pour l’Association des Directeurs au service des Personnes Âgées (AD-PA) ?
Cette association réunit des directeurs d'établissements et services. Leur objectif : favoriser l'expression des personnes âgées, accompagner les professionnels et promouvoir une réflexion globale en matière de gérontologie.
Pour cela, elle fait la promotion de la rencontre en développant de nombreux événements, colloques, initiatives (Citoyennages par exemple) ainsi que des actions institutionnelles en étant notamment représenté au sein de la Caisse Nationale de solidarité pour l’Autonomie (CNSA).
Ce congrès, dédié aux animateurs, directeurs de structure, acteurs du secteur du grand âge et ouvert au grand public, invite de nombreux experts pour partager leurs réflexions autour d’une question centrale : comment mieux accompagner les personnes âgées avec du personnel mieux formé, des lieux plus adaptés et des dispositifs dédiés ?
Au programme de ces 2 jours, des ateliers, des interventions d’experts, des présentations de projet d’animation, des partages d’expérience, des analyses de pratiques mais aussi des moments de convivialité et de rencontres avec de nombreux partenaires.
Le Département mène une politique engagée en faveur des séniors, notamment pour favoriser le maintien à domicile, prévenir la perte d’autonomie et optimiser la coordination des intervenants du secteur.
Depuis 2017, le Département est adhérent à la plateforme CULTUREàVIE, porté par le GAG afin de permettre aux animateurs des EHPAD de l’Hérault de bénéficier d’un outil performant afin de promouvoir l’animation socio-culturelle des EHPAD et des services accueillant les personnes âgées. Mais aussi développer la qualité de l’animation ainsi que la professionnalisation du secteur à travers l’échange de supports culturels et de loisirs.
A ce jour dans le département, 118 établissements sont inscrits à cette plateforme.
Ce dispositif révélateur de nouveaux talents, proposé par la Maison pour tous Léo Lagrange, vise à contribuer au développement de la scène locale. Il trouve sa place parmi d’autres dispositifs existants, en se positionnant comme complémentaire à ces derniers.
Ce dispositif municipal accompagne pendant plusieurs mois 3 jeunes groupes ou artistes de la Métropole sélectionnés par un jury composé de professionnels. Le concours est gratuit et ouvert à tous (étudiants, salariés, demandeurs d’emploi, artistes amateurs…).
Si vous rencontrez des problèmes à l'inscription, merci d'écrire directement à :
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Ce 13 novembre, les élus étaient invités à échanger autour des grands projets pour 2024. Une session marquée par l'engagement pour construire un Hérault toujours plus écologique et solidaire
C’est l’un des RDV de l’année pour échanger autour des grandes perspectives de la politique de la majorité pour l’année à venir : le Débat d’orientation budgétaire (DOB). Il s’organise en fin d’année, avant le vote du budget et préfigure les axes pour les projets futurs.
Mais avant d’inviter les élus à débattre, le Président Kléber Mesquida a tenu à ouvrir la séance en rappelant les valeurs de fraternité et de liberté de notre République « une et indivisible » au lendemain de la marche contre l’antisémitisme et à l’heure où se multiplient les alertes à la bombe dans les collèges. Si l’actualité est brûlante, c’est l’occasion de réaffirmer que « En France, tous les citoyens, quelle que soit leur origine, leur religion, lorsqu’ils sont sur le sol français, ont droit au respect ! » et de rappeler ce qui nous doit unir « On doit tous combattre pour la paix ! ».
Prélude terminé, le Président a abordé un autre point clé de l’actualité : les Assises nationales des Départements qui se sont tenues du 8 au 10 novembre à Strasbourg. En clôture, la 1ère ministre, Elisabeth Borne s’est présentée à ce Congrès pour quelques annonces, sur lesquelles Kléber Mesquida, aux côtés d’autres présidents de Département, a réagi.
Parmi les sujets abordés :
« Nous avons soumis une résolution au Président Emmanuel Macron pour lui indiquer que la décentralisation est nécessaire mais pas aboutie ! » Et l’impact est fort pour les départements soumis au jeu des cloisonnements des compétences.
En exemple, le Président cite : « On ne peut pas intervenir sur l’économie rurale, notamment l’agriculture, nous avons pu le faire grâce à une convention avec la Région, mais elle pourrait être remise en question et nous reléguer au paiement associé. Non, nous voulons intervenir auprès de l’économie de proximité, c’est-à-dire soutenir les petites entreprises dans le monde rural, l’agriculture…
1er sujet à l’ordre du jour présenté par le Président qui a occupé une grande partie de cette matinée en hémicycle : le Débat d’orientation budgétaire.
Un moment important pour comprendre les complexités de construction du budget et les choix opérés pour équilibrer les finances de l’institution malgré la crise et les contraintes extérieures.
Débat d’orientation budgétaire, qu’est-ce que c’est ?
Dans les 2 mois avant le vote du budget primitif, le DOB permet d’échanger en assemblée autour des grands programmes et politiques proposées pour l’année à venir
Grâce à une présentation graphique précise et simplifiée, le Président a pris le temps d’expliquer l’équilibre financier du budget envisagé par l’exécutif, soit l’équilibre entre les produits, c’est-à-dire les dépenses d’une part réparties entre les frais de fonctionnement et d’investissement, et d’autre part les recettes correspondantes.
Quelles sont les recettes du Département ?
Il n’a plus de fiscalité propre, c’est-à-dire qu’il ne collecte plus d’impôts sur son territoire.
L’essentiel de nos recettes provient désormais d’une fraction de TVA nationale, des dotations de l’Etat des produits des droits de mutation à titre onéreux (DMTO soit les taxes que l’Etat et les collectivités perçoivent lors de la vente d’un bien immobilier). Le problème ? Cet appui sur les DMTO insécurise les ressources départementales car elles dépendent directement de la santé du marché de l’immobilier.
Face à l’incertitude de l’avenir, avec notamment l’inflation, les décisions de l’Etat qui impactent le budget du Département comme la revalorisation du RSA ou encore la hausse des dépenses liées à l’autonomie, le Département anticipe pour intégrer ces mesures dans ses projections :
« Notre budget prévisionnel 2024 est estimé à 1, 850 milliard d’€, ça pourra être affiné en suivant avec le budget primitif et budgets complémentaires. En tout cas, nous avons fait le choix de maintenir le niveau d’investissement, ça veut dire maintenir l’économie, et, par conséquent, maintenir l’emploi ! » K. Mesquida
Un niveau d’investissement ambitieux qui garde notamment le cap sur les 13 engagements de ce mandat notamment. Parmi les grands axes :
Non soumis au vote, le DOB a permis aux élus de saluer le pragmatisme de la majorité quant à l’élaboration de ce plan financier, optimisé pour faire front quant à l’incertitude de l’avenir. « Un pragmatisme accompagné de convictions et de valeurs » comme l’indiquait Renaud Calvat, au nom du Groupe majoritaire.
En suivant, Nicole Morère, Vice-Présidente déléguée à l’administration générale et aux moyens, a eu le plaisir de présenter le rapport Egalité « femmes-hommes » de l’Institution. Un bilan positif encore cette année a-t-elle tenu à souligner pour ce sujet qui lui « tient à cœur !».
L’Hérault, bon élève ? Oui, une action transversale qui a inspiré la réalisation de nombreuses initiatives, comme :
« Chez les pompiers aussi, on voit évoluer la présence des femmes dans les effectifs ! » disait Cyril Meunier, en guise de transition entre ces rapports.
L’élu a soumis au vote une proposition d’aide complémentaire aux sapeurs-pompiers de l’Hérault, à hauteur de 1,3 million pour l’année 2023.
A quoi va servir ce financement complémentaire ?
Au recrutement de davantage de sapeurs-pompiers professionnels, à augmenter les indemnités des pompiers volontaires ou encore faire face à la hausse des coûts de l’énergie.
Une aide votée à l’unanimité, ce qui porte à 51 600 000 euros le montant de la dotation du Département au SDIS 34 en 2023.
On agit pour l’épanouissement des jeunes à travers les Actions éducatives territoriales
Marie-Pierre Pons, vice-présidente déléguée à la Culture, Zita Chelvi-Sandin et Rachid El-Moudden, conseillers départementaux, ont soumis au vote l’approbation des Actions éducatives territoriales pour l’année 2023-2024.
Des actions éducatives territoriales, qu’est-ce que c’est ?
Lecture, découverte du patrimoine, sécurité routière, danse, sensibilisation à l’environnement... le Département accompagne et finance certains projets éducatifs dans le cadre de l’appel à projet « Actions éducatives territoriales ».
Ce programme, conçu en partenariat avec l’Education nationale et la DRAC, liste un ensemble de projets et modules qui abordent, dans le cadre d’une pédagogie ouverte, des thèmes variés pour sensibiliser nos jeunes aux enjeux du monde contemporain.
Goût de lire, Chemin de la Culture et Histoire & Mémoires
264 projets approuvés
80 collèges concernés – 9 170 collégiens
67 projets
49 collèges concernés – 5 701 collégiens
248 projets
78 collèges concernés – 23 971 collégiens, en hausse !
Soit un total de 579 projets soutenus pour l'année 2023-2024.
« Pourquoi un Schéma de l’Action sociale ? » interrogeait ce lundi en assemblée Patricia Weber, Vice-Présidente déléguée à la solidarité aux personnes et à l’autonomie. « Ce n’est pas obligatoire, pourtant nous avons fait le choix d’en faire un ! »
Pour construire ce Plan, le Département s’est appuyé sur une démarche empirique pour un projet co-construit, proche de la réalité du terrain. Ce SDAS s’appuie sur la définition d’un périmètre « qui n’exclut pas mais qui priorise ! ».
Quels sont les publics prioritaires ?
- Les familles avec enfants mineurs
- Les bénéficiaires de l’Aide personnalisée d’autonomie (APA)
L’objectif est précis : « On ne laisse pas les Héraultais en difficulté sans réponse. »
Pour répondre à tout le monde, le Département mise sur un travail en partenariat qui privilégie une répartition équilibrée des rôles de chacun, structures, institutions…
2. Préciser la mission des Services départementaux des solidarités (SDS) dans l’accompagnement des publics les plus précaires et ceux sans domicile fixe et hébergés (bidonvilles, squats, hôtels…) en co-construisant et articulant avec les partenaires les divers dispositifs de santé, d’accueil, d’hébergement insertion (AHI) et leur accompagnement social ou global.
3. Recentrer les travailleurs sociaux sur la mission d’accompagnement social en les positionnant comme « fil rouge » et réinvestissant l’accompagnement socioprofessionnel en faveur des publics accompagnés.
4. Décloisonner et articuler les différents niveaux de l’intervention sociale en promouvant un accompagnement global et coordonné du parcours de la personne, avec plus de transversalité et de partage d’information entre les services et les partenaires.
5. Apporter une réponse adaptée aux besoins de première nécessité, par l’actualisation ou l’adaptation des aides financières, le développement des dispositifs d’alimentation solidaires et l’intégration des enjeux de la transition écologique dans l’action sociale.
6. Accompagner les publics et les professionnels face aux transformations numériques, en facilitant l’inclusion numérique.
7. Promouvoir le développement social des territoires en favorisant l’émergence d’actions, de projets et d’outils opérationnels adéquats, en prenant en compte la participation des personnes accompagnées dans l’élaboration des politiques de solidarité à l’échelle de chaque territoire.
+ Pour accompagner cette démarche, le Département a mis en place en 2023 une nouvelle instance partenariale, le Comité départemental de l’action sociale (CDAS), destinée à permettre à la collectivité d’initier les échanges et les collaborations entre les différents acteurs de l’action sociale, conformément à son rôle de chef de file. Cette instance se réunit une à deux fois par an et est relayée, à l’échelle infra-départementale, par des comités locaux.
Développement durable : là aussi, le Département à l’avant-garde
Également au programme de cette session, le rapport annuel départemental du développement durable présenté par Christophe Morgo, Vice-Président délégué à l’environnement.
17 objectifs de développement durable sont fixés depuis 2015 par l’ONU autour de sujets comme le climat, la biodiversité, l’eau, l’égalité des genres…
Face à « l’urgence de nos transitions » mentionnée par l’élu, le Département a inscrit nombre de ces objectifs « au cœur du fonctionnement de notre collectivité, nos compétences nous placent au cœur des possibles ! ».
Pour ne citer que deux exemples qui portent leurs fruits :
Clap de fin pour cette session.
Le Département vous invite à suivre la prochaine assemblée départementale qui se tiendra les 11, 12 et 13 décembre consacrée au vote du budget primitif.
A suivre !
VOTRE MAGAZINE MON HÉRAULT EST SORTI !.
Retrouvez toute l’actu de votre département avec en son cœur un dossier spécial sur la Protection de l’Enfance.
Le mardi 7 novembre, au Château d’O, le Département organisait une dégustation de cépages adaptés à la sécheresse. Ce temps collectif a permis aux vignerons présents de déguster les 13 cuvées proposées et d’échanger sur les qualités et le potentiel des cépages.
Pour favoriser la plantation de cépages moins gourmands en eau, le Département mène une étude autour de variétés résistantes à la sécheresse et suit le travail de vignerons pionniers qui vinifient déjà des cuvées issues de ce type de raisins.
Dans cette optique, l’Observatoire Viticole de l’Hérault a organisé une dégustation de cépages adaptés à la sécheresse en présence du Président du Département de l’Hérault Kléber MESQUIDA et d’Yvon PELLET, vice-président, délégué à l'économie agricole et à l'aménagement rural.
« Les viticulteurs sont des acteurs majeurs de l’économie héraultaise. Ils façonnent l’Hérault et participent à sa notoriété. Le changement climatique impacte les activités agricoles et viticoles de l’Hérault, deuxième producteur de vin français. Face aux défis climatiques, environnementaux et économiques, nous sommes à leurs côtés pour proposer des solutions innovantes » rappelle Kléber Mesquida, Président du Département
Durant cette dégustation, environ quarante vignerons et professionnels des vins ont eu l’occasion de découvrir 13 cuvées différentes provenant du Portugal, d’Espagne, de Grèce, d’’Italie, ou encore de domaines languedociens. Ces cuvées ont été élaborées à partir de 4 cépages étrangers qui seront prochainement plantés au Domaine des Trois Fontaines : l’Assyrtiko, le Fiano, le Verdejo et le Verdelho.
L’objectif était de présenter ces cuvées afin de mieux appréhender les qualités et le potentiel de ces cépages qui sont adaptés à des conditions de sécheresse et à des climats semi-arides.
« Nous allons vivre des épisodes de plus en plus chauds, et les vignerons s’inquiètent. Bien sûr, une partie de la solution, c’est l’irrigation. Mais ça a un coût. Et il y a des zones où nous n’aurons bientôt plus de ressources en eau. C’est pour cela que nous nous intéressons à des cépages qui, naturellement, pourront survivre, malgré la sécheresse. Et qui sont peu gourmands en eau. » précise Yvon Pellet, Vice-Président délégué à l’économie agricole et l’aménagement rural
Dans l’Hérault, la viticulture occupe 46% de la surface agricole et pour faire face aux effets du changement climatique, le Département soutient ces expérimentations de cépages résistants aux maladies et à la sécheresse, via notamment le pôle viticole agréoécologique pédagogique installé au domaine départemental des Trois-Fontaines, au Pouget, au sud de Clermont-l’Hérault, visant à promouvoir l’agriculture de demain.
L'AGENDA DU DEPARTEMENT EST SORTI
Samedi 25 novembre, à 20h30, le Département invite les mélomanes à découvrir le talent de Saf Feh, artiste aux multiples influences, lauréate de l’édition 2023 de 34 Tours, qui jouera en 1ère partie de Bibi Tanga & the Selenites, sur la Scène du Sonambule à Gignac.
Après avoir bénéficié d’un accompagnement professionnel dans la structuration de son projet artistique dans le cadre du dispositif 34 Tours, le groupe de Saf Feh ouvrira le bal en 1ère partie des Bibi Tanga & The Selenites pour une soirée musicale sous le signe de la rencontre entre rythmes africains et musiques modernes. Ce sera ensuite au tour de LW2 de clore cette belle soirée !
en 1ère partie :
Une voix suave aux saveurs d’Orient, mêlant tradition et modernité, Sabrina Kerfah fusionne les langues et les cultures : la darija « arabe algérien » se mêle au français et la musique voyage de la black music à l’oriental en passant par la chanson française et le rock.
Artiste principal :
Véritable pépite de l’afrofunk français depuis 15 ans, Bibi Tanga and the Selenites est une authentique fabrique de groove.
Les Selenites ont puisé dans leurs influences multiples pour nous concocter un écrin de groove aussi dansant qu’hypnotique.
DJ set en after :
LW2 définit sa musique comme du dark trap chamanique. Sombre et énergique, où la répétition conduit à la transe dans la grande tradition des musiques africaines, elle nous happe jusqu’à la fin de ses concerts incendiaires.
Un dispositif d’accompagnement pour la jeune scène musicale héraultaise
Depuis 18 ans, ce dispositif départemental porté en partenariat avec le Sonambule à Gignac, la Cigalière à Sérignan, la salle Victoire 2 à Saint Jean de Védas et le Théâtre d’O à Montpellier, propose d’accompagner des groupes émergents de musiques actuelles sur la voie de la professionnalisation.
Cinq groupes ont été sélectionnés cette année par un jury professionnel pour bénéficier de ce soutien.
Edition 2023
Entre sonorités empruntées au hip-hop, à la soul, la musique orientale et africaine, la chanson française, l’électro, le rock indé’ et bien d’autres, la nouvelle sélection constituée de 5 groupes héraultais, Mauvaise bouche, Saf feh, Loons, de phase et LW2 nous fait naviguer entre différents courants musicaux pour nous offrir des propositions artistiques uniques et originales.
Ces groupes ont pu bénéficier, selon leurs projets, d’un accompagnement personnalisé :
Les artistes sélectionnés auront l’opportunité de partager la scène avec des artistes confirmés en jouant en première partie dans les lieux partenaires
34 tours constitue également un espace de repérage pour les groupes sélectionnés. Sur des temps de concerts et de rencontre, les professionnels régionaux peuvent ainsi découvrir ces talents pour une programmation future.
« C’est chaque année un plaisir de faire connaissance avec les nouveaux artistes révélés par le dispositif « 34 Tours ». Avec leurs goûts, styles et inspirations, chacun d’eux apporte un souffle nouveau et particulier à la scène musicale héraultaise.
Nous invitons tous les Héraultais, curieux de nouveautés et passionnés de musique, à venir les découvrir près de chez eux, lors des semaines à venir. Merci à tous ceux qui rendent ces moments d’innovation artistique possibles ! »
Kléber Mesquida - Président du Département et Marie-Pierre Pons - Vice-Présidente déléguée à la Culture
TARIFS
16€ - Plein tarif
13€ - Demandeur d’emploi et étudiant
11€ - Moins de 18 ans
Découvrez le projet culturel de territoire "l'odeur du vent sur les cailloux" qui invite artistes et citoyens à explorer l'Hérault autrement.
L’Hérault est riche d’un patrimoine unique. Le projet culturel et participatif
« l’odeur du vent sur les cailloux » met en valeur les paysages, l’histoire, les modes de vie centenaires de ce patrimoine sous le prisme des Arts. Il est porté par le Département, en lien avec les communes, les habitants et les acteurs du territoire. Il donne à voir le GEOPARC Terres d’Hérault sous un nouvel angle, en suivant le tracé de Passa Meridia, un itinéraire cyclable, pédestre et équestre tout juste réaménagé, qui parcourt le département d’Est en Ouest.
Vendredi 13 octobre, l'exposition "L'odeur du vent sur les cailloux", le long de la Passa Meridia depuis La Font du Griffe jusqu'à La Vernède a été inaugurée. Un projet créé par Armelle Caron, artiste plasticienne, et David Lagarde, géographe, cartographe, issue d'une résidence de création dans les relais départementaux de La Font du Griffe et de La Vernède.
Vous avez pu y découvrir des céramiques réalisées par l'EHPAD Yves Couzy et la section SEGPA du collège Max Rouquette de Saint-André-de-Sangonis ainsi que des cyanotypes imaginés par les travailleurs de l'établissement public du Roc Castel, au Caylar.
Pour finir en beauté ce week-end de culture, une visite-concert a été organisée dans un lieu unique, à la Grotte de Clamouse, à Saint-Jean-de-Fos !
Ce projet a permis de fédérer les Communautés de communes, des acteurs culturels, des artistes, des artisans, des bergers ou encore chercheurs dans l’objectif de diffuser la culture et les arts sur tout le territoire et pour tous les Héraultais.
Ateliers de céramique en EHPAD associant aînés et collégiens, résidences d’artistes sur le plateau du Larzac ou dans la vallée de l’Hérault, ateliers de cyanotypes auprès d’adultes en situation de handicap, pratique musicale au sein d’un Centre social... Jusqu’en 2025, des artistes de tous horizons s’immergeront dans le territoire, à la rencontre des publics, pour s’imprégner des richesses de l’Hérault, et nous offrir leur vision artistique.
Jeudi 30 novembre à 18h I Médiathèque Confluence, Lodève
Vendredi 1er décembre à 20H30 I Au Sonambule, Gignac
Entrée gratuite sur réservation / 09 70 14 48 02
Faire la part belle à notre Nature si précieuse
En portant un dossier de candidature en faveur du GEOPARC « Terres d’Hérault » auprès de l’UNESCO, le Département souhaite poursuivre son engagement en faveur de la préservation de son environnement et son patrimoine.
112 communes intègrent le périmètre du GEOPARC pour leurs géologies exceptionnelles mais aussi pour les espaces naturels sensibles, les sites remarquables ou encore les domaines départementaux qu’elles abritent.
« L’odeur du vent sur les cailloux » constitue le volet culturel original en préfiguration de cette candidature qui sera présentée en 2025.
« Le Département aime initier des politiques transversales qui font sens. Ici, on marie Nature et Culture. Avec ce projet, on traverse le territoire en suivant le tracé de Passa Meridia pour imaginer des parcours culturels et poétiques qui s’inscrivent dans le sillon des traces et des empreintes des êtres vivants, des savoir-faire, des patrimoines visibles ou invisibles, des ressources naturelles et des terroirs. Tout cela au plus près des publics de tous horizons ! » Marie-Pierre PONS, Vice-Présidente déléguée à la Culture