Infographies : https://meteofrance.com/previsions-meteo-france/sete/34200
2024-02-28
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Vous êtes étudiant (ou allez être étudiant) et vous voulez faire une demande de bourse sur critères sociaux et/ou de logement en résidence universitaire ? Pour cela, vous devez constituer votre dossier social étudiant (DSE). Nous vous expliquons comment faire.
Vous devez constituer votre DSE sur internet pour faire une demande de bourse et/ou de logement.
Pour l'année universitaire 2024-2025, vous devez saisir votre demande entre le 1er mars et le 31 mai 2024.
Pour cela, vous devez vous connecter au téléservice suivant :
Vous avez un compte (adresse mail et mot de passe) si vous avez déjà fait un DSE ou si vous êtes inscrit sur Parcoursup.
Si vous n'avez pas de compte, vous devrez en créer un avec votre numéro INE (identification nationale étudiant). Ce numéro se trouve sur votre carte d'étudiant ou sur l'imprimé de confirmation d'inscription au bac.
À savoir
En cas de changement important et durable de votre situation (mariage, divorce) ou de celle de votre famille (divorce, décès, chômage, retraite, maladie), votre dossier pourra être étudié même en dehors de ces délais. Contactez alors le service du DSE du Crous de l'académie où vous êtes (ou serez) scolarisé
Vous devez joindre à votre DSE la copie des pièces suivantes :
À noter
si vos parents sont divorcés, vous devez joindre la copie de l'extrait du jugement de divorce vous confiant à l'un de vos parents et fixant le montant de la pension alimentaire. S'il n'y a pas de pension alimentaire, l'avis d'imposition de l'autre parent doit être transmis.
Selon votre situation, vous devrez fournir des documents supplémentaires :
Répondez aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquement
Sur : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F12216
Le mardi 27 février, le Département de l’Hérault a inauguré son stand au Salon International de l’Agriculture en présence de Yvon PELLET, Vice-président délégué à l’économie agricole et à l’aménagement rural, des Conseillers départementaux de Jérôme DESPEY, Président de la Chambre d’agriculture de l’Hérault et des Préfets de l’Hérault et de la région François-Xavier LAUCH et Pierre-André DURAND. L’occasion pour le Département de réaffirmer son soutien aux agriculteurs et son engagement pour la qualité et la sécurité alimentaire.
A l’occasion de la 60ème édition du Salon International de l’Agriculture, le Département s’expose du 23 février au 3 mars aux côtés de la Chambre d’Agriculture. L’occasion pour Yvon PELLET, Vice-président délégué l’économie agricole et à l’aménagement rural de réaffirmer son soutien aux agriculteurs et de mettre en avant les initiatives départementales en faveur d’une agriculture vertueuse et durable, mais aussi de promouvoir le savoir-faire agricole et les produits locaux, l’éducation des jeunes au goût et à l’alimentation saine ainsi que le développement d’un tourisme vert et responsable promouvant les richesses du territoire.
Le Département soutient les agriculteurs A l’occasion du SIA, Yvon PELLET, Vice-président délégué à l’économie agricole et à l’aménagement rural, a souhaité réaffirmer le soutien du Département aux agriculteurs :
« Les agriculteurs sont les premiers organisateurs des espaces dans lesquels on vit, les agriculteurs sont les premiers écologistes de ce territoire ! […] Le Département de l’Hérault, c’est l’agriculture mais aussi plein d’autres choses : l’oenotour, l’onovélo, l’oenorando… L’occasion de découvrir ce beau Département de l’Hérault et ses produits de qualité ». Ce dernier a rappelé que le Département soutenait les agriculteurs via de nombreux dispositifs, notamment : le Plan Alimentaire Territorial, le bio dans les cantines des collèges, l’irrigation raisonnée et modérée pour améliorer la production agricole.
Face au constat d’une inquiétante baisse du nombre d’exploitations agricoles et du revenu net de la branche depuis 30 ans, il a appelé l’ensemble des acteurs publics à soutenir les agriculteurs, maillons essentiels pour la sécurité alimentaire du pays. Dans un contexte de forte inflation, il a aussi regretté que les lois Egalim n’aient pas tenu leurs promesses pour garantir un revenu décent aux agriculteurs.
Soulignant l’engagement du Département aux côtés des viticulteurs héraultais, particulièrement impactés par le changement climatique, il a évoqué les solutions actuellement expérimentées en concertation avec les pouvoirs publics et les agriculteurs, telles que l’irrigation, la modernisation des réseaux collectifs, de recherche et d’innovation avec les cépages résistants ou encore pour combattre la flavescence dorée.
Le Président du Département, Kléber Mesquida, avait de son côté dans une tribune parue samedi rappelé que le soutien financier essentiel de l’Union Européenne aux agriculteurs à travers la Politique Agricole Commune (PAC) était essentiel, regrettant que l’UE ne soit davantage à leurs côtés pour les protéger d’une concurrence déloyale. « L’agriculture ne doit pas être la variable d’ajustement d’accords commerciaux ; elle ne doit plus en subir les dommages collatéraux » pour Kléber MESQUIDA, Président du Département. Appelant les pouvoirs publics à avoir une « tolérance zéro »pour les produits importés ne respectant pas les normes européennes et particulièrement les usages en matière de pesticides, il a aussi demandé « l’uniformisation des normes agricoles » au sein de l’Union Européenne pour qu’il n’y ait pas de concurrence entre pays et « l’application stricte de la loi Egalim »qui devait permettre aux agriculteurs d’avoir un revenu décent.
Pour un vrai partage de la valeur, de la fourche à la fourchette !
Le Département a choisi de valoriser les savoir-faire et les métiers de l’agriculture via des campagnes de soutien aux filières, la présence à des salons comme le SIA ou encore la mise en place d‘outils de valorisation comme l’Oenotour ou le conchylitour. « Ces métiers sont incontournables, vitaux pour un territoire comme le nôtre. Nous les soutenons, ils sont l’identité de l’Hérault et de la France. »a souligné Yvon PELLET. Et au-delà de ses compétences, « le Département accompagne au quotidien les agriculteurs qui s’installent et pérennise les exploitations déjà existantes via un certain nombre d’actions en faveur de l’agriculture » a rappelé le Vice-président délégué à l’économie agricole et à l’aménagement rural pendant.
Fervent défenseur du « bien manger pour tous »,le Département porte en parallèle une politique volontariste en matière de politique alimentaire. Dans les collèges, il mène des actions en faveur de l’éducation des enfants au goût et les sensibilise au savoir-faire agricole, par exemple en permettant aux producteurs locaux de fournir les cantines scolaires de ses collèges en produits locaux, bios ou labellisés.
Un soutien sans appel aux agriculteurs
« Grâce à la majorité départementale et à sa politique volontariste en la matière, l’Hérault est un acteur de premier plan sur les questions agricoles. Le Département s’engage et innove pour la qualité et la sécurité alimentaire, le bien manger pour tous et le futur des activités agricoles et maritimes qui font vivre l’Hérault. Le soutien du Département à ses agriculteurs reste sans appel. »a ainsi déclaré Kléber MESQUIDA, Président du département de l’Hérault.
Ce mardi 27 février, à l’occasion du Salon International de l’Agriculture, Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie, Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, et Patrice Lafont, président du Comité régional de conchyliculture de Méditerranée (CRCM), ont lancé, en présence d’Hervé Berville, secrétaire d’État chargé de la mer et de la biodiversité,de François Houllier, président de l’IFREMER, ainsi que des partenaires de la filière conchylicole méditerranéenne, « l’acte II »du contrat de filière formalisé par la signature d’unedéclaration d’intention pour la période 2024-2029.
Le premier et unique contrat de filière conchylicole de Francea été initié en 2021 à l’échelle de l’Occitanie qui représente plus de 95% de la production méditerranéenne française.Depuis, il traduit la détermination de la profession et de ses partenaires publics à relever les défis économiques, démographiques, environnementaux et sanitaires auxquels doit faire face la filière.
Au total, 110 actions ont été engagées depuis 2021, représentant plus de 5 M€mobilisés par l’Europe, l’État, la Région et les autres collectivités ou partenaires, afin d’accompagner les professionnels vers une conchyliculture pérenne, durable et résiliente.
Cette première phase du contrat de filière a donné lieu à des résultats concrets et structurants, parmi lesquels :la création d’une coopérative qui va permettre à la profession de mutualiser ses moyens pour renforcer sa compétitivité ; des études préalables à la mise en œuvre de bassins de mise à l’abri et d’écloseries de naissains d’huîtres locales mieux adaptées aux conditions climatiques ; des expérimentations innovantes pour adapter les outils de production, dont le prototype de table conchylicole du futur.
Fort de ce premier bilan positif,le CRCM et ses partenaires ont souhaité poursuivre cette dynamique en engageant la phase II du contrat, élargie à l’échelle de la façade méditerranéenne et pour les cinq prochaines années (2024-2029). Ainsi, de nouveaux partenaires seront intégrés à la démarche, à savoir la jeune coopérative maritime Conchyliculteurs de Méditerranée, la Région Sud et l’IFREMER.
L’engagement de ces partenaires dans cettenouvelle étape du contrat de filière s’estconcrétisé ce mardi 27 février lors du Salon International de l’Agriculture à travers lasignatured’une « déclaration d’intention 2024-2029 pour la filière conchylicole ».
Cette déclaration cible 3 orientations structurantes :
- Favoriser l’adaptabilité et la résiliencedes écosystèmes face aux changements climatiques et aux pressions sanitaires ;
- Accompagner les entreprises au quotidien et sécuriser les espaces de production ;
- Valoriser et promouvoir les métiers et les produits de la conchyliculture.
« Les premières années du contrat de filière conchylicole ont démontré la capacité et la détermination des acteurs locaux, sous l’égide du président du Comité régional de la conchyliculture de Méditerranée, à conduire des actions concrètes et structurantes, pour mieux anticiper les impacts potentiels du changement climatique, adapter les modes et les outils de production, expérimenter de nouvelles pratiques, dans une logique de planification écologique. Fortement impliqué aux côtés de la profession, l’État a mobilisé des moyens exceptionnels de près de 1 M € pour soutenir une vingtaine d’actions sur la période 2021-2023. La relance de cette dynamique partenariale sur les 5 prochaines années doit permettre de renforcer la résilience de la profession, en vue d’assurer un avenir durable à cette filière qui constitue un élément clé du patrimoine et de l’économie du territoire. »Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie.
« Initiative unique en France, ce contrat de filière est d’ores-et-déjà une réussite. Il apermis de mobilisertout un collectif autour d’un projet d’avenir partagé. Ensemble, nous apportons des réponses concrètes aux enjeux de la filière, avec la volonté de redonner espoir et perspectives à une profession qui subit, tout comme les agriculteurs et les pêcheurs, de nombreuses contraintes notamment climatiques ou sanitaires.
Ce nouveau contrat plus ambitieux aura pour priorités l’adaptation au changement climatique, le renouvellement des générations, la protection des zones de production ainsi que la reconnaissance de ce produit de qualité. Pour la Région, cette montée en puissance se traduira notamment par la mise à disposition de son foncier sur la zone halieutique de Sète-Frontignan ainsi que du Cépralmar. Et nous mobiliserons plus de 7 M€ au titre du Fonds Européens pour les Affaires Maritimes, la Pêche et l’Aquaculture.
Je tiens à saluer enfin la mobilisation de la Région Sud qui rejoint la démarche. Un signal fort et une très bonne nouvelle pour toute la façade Méditerranéenne !» Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.
« La démarche de Contrat de filière conchylicole a été initiée fin 2018 afin de répondre au besoin de structuration de la filière, et aux grands enjeux auxquels nos entreprises devaient, et doivent, faire face. Je suis heureux et honoré d’avoir réussi à mener cette gageure, et de constater que d’autres filières comme la pêche, ou encore les industries nautiques, localement ou nationalement, nous ont emboité le pas. La phase I a permis de montrer que le partenariat porte toujours ses fruits, et avons ainsi pu mener un nombre conséquent d’actions toutes autant utiles les unes que les autres pour sécuriser et pérenniser notre filière, ô combien identitaire du littoral méditerranéen. Poursuivre et s’engager vers une phase II plus ambitieuse nous est alors apparu comme une évidence… Un pas de temps plus long, un nombre resserré d’actions pour un suivi plus fin, et de nouveaux partenaires, nous permettront d’aller encore plus loin et d’accompagner toujours mieux l’ensemble des entreprises conchylicoles de la façade Méditerranée ! A l’aune du Contrat de filière 2021-2023, je souhaite que le précepte du Contrat de filière conchylicole méditerranéen 2024-2029 soit : implication de tous, adaptation du cadre et des engagements, et consécration de nos projets ! » Patrice Lafont, président du Comité régional de conchyliculture de Méditerranée.
photos de la signature ce mardi 27 février lors du SIA : (© Léo Arcangeli - Région Occitanie).
La conchyliculture en Méditerranée
- 12 circonscriptions conchylicoles : Leucate, Vendres, Thau, Marseillan, Mèze, Loupian,Bouzigues, Sète, Frontignan, Port Saint-Louis-du-Rhône, La Seyne-sur-Mer et Aléria ;
- 3 régions et 5 départements ;
- 3 zones de production en lagune : Diana, Thau, Salses-Leucate ;
- 6 zones en mer ouverte : Sète-Frontignan, Sète-Marseillan, Gruissan, Fleury-d’Aude, Anse de Carteau, Baie de Tamaris ;
- De 7 à 11 000 tonnes d’huîtres produites par an ;
- De 5 à 7 500 tonnes de moules produites par an ;
- 500 entreprises ;
- > 1 100 emplois directs ;
- 45 M€ de chiffre d’affaires par an…
La coopérative maritime Conchyliculteurs de Méditerranée, la Région Sud et l’IFREMER rejoignent désormais les partenaires déjà engagés depuis 2021 : leComité régional de conchyliculture de Méditerranée, l’État, la Région Occitanie, le Départementde l’Hérault, Sète Agglopôle Méditerranée, le Syndicat mixte du bassin de Thau, le Cépralmar(Centre d'étude pour la promotion des activités lagunaires et maritimes), le lycée d’enseignement maritime Paul Bousquet à Sète et la Chambre d’agriculture de l’Hérault.
Selon France Info : Toute personne souhaitant un rappel pourra y prétendre gratuitement, à condition de respecter un délai de trois mois après sa dernière injection ou infection au Covid-19.
L'objectif est toujours de "protéger les plus fragiles susceptibles de développer des formes graves". Une nouvelle campagne de vaccination contre le Covid-19 débutera à partir de mi-avril en France, a annoncé le ministère de la Santé mardi 27 février. "Pour les 80 ans et plus, les personnes immunodéprimées, quel que soit leur âge, et les résidents d'Ehpad, il sera proposé au printemps une nouvelle vaccination, conformément à l'avis de la Haute Autorité de santé", a déclaré le directeur général de la santé, Grégory Emery, lors d'une conférence de presse.
La Haute Autorité de santé (HAS), sollicitée par le ministère, s'est prononcée récemment pour "une campagne de vaccination [du 15 avril au 16 juin] contre le Covid-19 pour les personnes de 80 ans et plus, ainsi que des résidents d'Ehpad et d'unités de soins de longue durée et les personnes immunodéprimées". Toute autre personne souhaitant un rappel pourra cependant y prétendre gratuitement, à condition de respecter un délai de trois mois après sa dernière injection ou infection au Covid-19.
Une campagne peu suivie .......................... Poursuivre :https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-une-nouvelle-campagne-de-vaccination-debutera-mi-avril-pour-les-plus-ages-et-les-plus-vulnerables_6391912.html
Selon France Info :
Emmanuel Macron n'a pas exclu d'envoyer des troupes occidentales à la rescousse de l'Ukraine, envoyant un signal fort à destination de Vladimir Poutine. Grande-Bretagne, Espagne, Pologne, Allemagne, Slovaquie… De nombreux pays européens ont manifesté leurs réticences. "Il n'y aura aucune troupe au sol, aucun soldat envoyé, ni par les États européens, ni par les États de l'Otan sur le sol ukrainien", a assuré Olaf Scholz, chancelier allemand. De son côté, Adrienne Watson, porte-parole du conseil américain de Sécurité nationale, a rappelé que "les États-Unis n'enverront pas de soldats combattre en Ukraine".
"Pas dans l'intérêt des Occidentaux" selon le Kremlin................. Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/guerre-en-ukraine-les-propos-d-emmanuel-macron-suscitent-la-polemique_6391999.html
Selon Orange.fr
Mardi 27 février, lors d’une réunion avec les parlementaires de la majorité, Bruno Le Maire a annoncé de nouvelles coupes budgétaires pour cette année 2024, révèle RMC.
Dix jours après l’annonce du plan de 10 milliards d’économies, Bruno Le Maire persiste et signe. RMC révèle que dans la matinée du mardi 27 février, le ministre a en effet évoqué de nouvelles coupes budgétaires pour cette année 2024, lors d’une réunion avec les parlementaires de Renaissance. "Si on ne fait pas des économies massives, on va dans le mur en klaxonnant", a déclaré Bruno Le Maire. De son côté, Thomas Cazenave a souligné qu’"il faudra partager l’effort".
Ces futures économies "massives" vont concerner la Sécurité sociale et les collectivités locales, contrairement à ce que Bruno Le Maire avait affirmé dimanche 18 février. "Ce n’est pas la Sécurité sociale qu’on va toucher, ce n’est pas les collectivités locales qu’on va toucher", indiquait-il sur le plateau de TF1.
Une loi de finances restrictives pour les prochains mois................ Lire sur : https://actu.orange.fr/politique/dette-bruno-le-maire-annonce-de-nouvelles-economies-massives-magic-CNT000002cBpZy.html
La mesure était une revendication des éleveurs, qui estiment que des termes comme "jambon végétal", "saucisse vegan" ou "bacon végétarien" peuvent créer la confusion chez les consommateurs.
Selon France Info
"Steak", "escalope", "jambon", "filet", "entrecôte"... Un nouveau décret publié mardi 27 février par le gouvernement français précise la liste des dénominations réservées aux produits d'origine animale et donc interdits pour des produits à base de protéines végétales. Le texte était une revendication de longue date des acteurs de la filière animale, qui estiment que des termes comme "jambon végétal", "saucisse vegan" ou "bacon végétarien" peuvent créer la confusion chez les consommateurs.Le gouvernement avait publié un premier décret en juin 2022, mais ce dernier avait été suspendu en référé par le Conseil d'Etat. Le nouveau texte détaille notamment, en deux listes, les termes réservés aux produits d'origine animale ou ne contenant que très peu de protéines végétales.
Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/culture/cuisine-et-gastronomie/la-france-interdit-les-denominations-steak-escalope-ou-jambon-pour-les-produits-vegetaux_6391408.html
Le chef de l’Etat a surpris en évoquant pour la première fois la possibilité d’envoyer des troupes sur le terrain, en Ukraine. Sa déclaration secoue une partie de la classe politique, rapporte Midi Libre.
Alors que s’achevait hier, lundi 26 février, la conférence internationale de soutien au peuple ukrainien, réunissant 21 chefs d’État à Paris, Emmanuel Macron a affirmé que l'envoi de troupes occidentales ne pouvait "être exclu". Cette prise de position, qui ne s’appuie sur aucun consensus au sein de l’Union européenne, n’a pas manqué de faire réagir la classe politique.
L’envoi de troupes en Ukraine et la possibilité d’une guerre contre la Russie seraient "une folie", pour Jean-Luc Mélenchon. "Cette escalade verbale belliqueuse d’une puissance nucléaire contre une autre puissance nucléaire majeure est déjà un acte irresponsable", s’est insurgé l’Insoumis.
"Légèreté", "gravité"
Même critique chez Olivier Faure, chef du Parti socialiste qui parle, lui, d’"inquiétante légèreté présidentielle". Et d’asséner sur X : "Soutenir la résistance ukrainienne oui. Entrer en guerre avec la Russie et entraîner le continent. Folie". Marine Le Pen a déploré quant à elle la "gravité" des propos d’Emmanuel Macron. "Il joue au chef de guerre, mais c’est la vie de nos enfants dont il parle avec autant d’insouciance", a tweeté la députée du Rassemblement national...................... Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/macron-evoque-l-envoi-de-troupes-en-ukraine-la-classe-politique-s-inquiete-magic-CNT000002cBe8B.html
Israël pourrait observer une trêve à Gaza dès la semaine prochaine et pour toute la durée du ramadan dans le cadre d'un accord permettant la libération des otages du Hamas, selon le président américain, Joe Biden, après bientôt cinq mois de guerre dans le territoire palestinien assiégé.
L'Egypte, le Qatar et les Etats-Unis tentent de négocier une nouvelle trêve entre Israël et le Hamas, alors que le bilan de la guerre déclenchée le 7 octobre par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien approche les 30.000 morts à Gaza.
L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information appelle à ne pas lésiner sur la cybersécurité. Les cyberattaques ont augmenté "de 30%" par rapport à 2022.
Selon France Info :
"Aujourd'hui, on n'a plus besoin d'être une cible pour être une victime de ces cyberattaques", déclare merdi 27 février sur franceinfo Vincent Strubel, directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi). "Aujourd'hui, le crime organisé attaque de manière massive, il s'est outillé pour attraper tout ce qu'il peut, en particulier les plus fragiles", explique-t-il, alors que l'Anssi livre mardi son panorama de la 'cybermenace' en 2023. Il montre que les cyberattaques sont en augmentation "de 30%" par rapport à 2022, mais aussi "que des PME en particulier se font attaquer, des collectivités, des établissements de santé", ainsi que "des associations, de plus en plus".
Les hôpitaux sont "dans le top 3 des victimes récurrentes". "Améliorer la sécurité" de ces établissements est ainsi devenu "une des priorités" de l'Anssi "depuis deux ans au moins". Concrètement, "ce qu'on a fait au cours des deux dernières années, c'est entraîner, par des simulations, par des entraînements, des exercices concrets, les équipes des hôpitaux, y compris les dirigeants, à bien réagir face à une attaque". Cela a permis d'"éviter beaucoup de catastrophes au cours de l'année 2023, à Rennes, à Brest, à La Réunion" où "de gros hôpitaux ont subi des attaques" mais "ont réagi suffisamment vite".........
Brocante - les conseils d'un pro
LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE
Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.
LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE
Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.
LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE
Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable.
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