Futurapolis santé 2022 : « Alimentation, immunité, environnement, longévité... ma santé, ma bataille »
En 2022, Futurapolis Santé se tiendra les vendredi 7 et samedi 8 octobre 2022 à l'Opéra Comédie autour du thème « Alimentation, immunité, environnement, longévité... Ma santé, ma bataille ». Entrée libre sur inscription.
MedVallée à Futurapolis Santé↖
Au confluent de trois domaines aussi essentiels et complémentaires que la santé, l’alimentation et l’environnement, MedVallée est de facto au cœur de ce nouveau Futurapolis santé. De ce pôle d’excellence en santé globale surgissent déjà et se multiplieront demain des solutions permettant de vivre mieux et plus longtemps sur une planète en meilleur état.
Il ne s’agit pas d’un souhait mais d’une nécessité. Des chercheurs présents à l’Opéra comédie le confirmeront et feront un point sur leurs travaux, pour que notre horizon s’éclaircisse...
Programme des conférences
Vendredi 7 octobre
9h45 - L’eau, l’Homme, la vie↖
Cet été, l’ensemble de notre pays a souffert de la sécheresse. Chaque Français a été incité à réduire sa consommation d’eau (elle est, en moyenne, de 150 litres par jour). Car ce liquide que nous avions trop tendance à utiliser sans parcimonie, est en train de venir un produit précieux, en France comme bien d’autres endroits de la planète. Et la situation ne va pas s’arranger.
Les scientifiques et les entreprises engagés dans la stratégie MedVallée s’en préoccupent.
Car, en plus de l’économiser, il importe de tout faire pour éviter sa pollution (par exemple par des substances chimiques ou médicamenteuses). Dernier point : la qualité de l’eau peut aussi être un marqueur de notre état de santé. L’analyse régulière de son contenu permet de suivre l’évolution de certaines épidémies, comme celle de Covid-19.
- Hélène Fenet, Professeure de l’Université Montpellier UMR HydroSciences Montpellier IRD / CNRS
- Eric Servat, directeur du Centre International UNESCO sur l’Eau ICIREWARD à Montpellier
- Guillaume Thirel, chercheur à l’INRAE à Antony (Hauts-de-Seine)
- Modération : Géraldine Woessner
10h45 - Et si le malade comptait plus que sa maladie ?↖
Le constat est affligeant : aujourd’hui, en France, 400 millions de consultations par an traitent surtout les symptômes et non la cause, 90% aboutissent à la prescription d’un médicament. 1 boîte sur 2 finit à la poubelle. La durée moyenne d’une consultation est inférieure à 15 minutes.
Le remède est connu : la médecine intégrative. Grâce à elle chaque patient, qu’il soit traité pour un cancer, un diabète, un problème cardiaque ou autre, suit un parcours de soin personnalisé, qui comprend médecines douces, activités physiques, séances de psy, cours de cuisine…
Les soignants sont à son écoute, pour l’aider à mieux combattre son mal. Un modèle à généraliser. D’urgence !
- Dr Alain Toledano, Cancérologue, cofondateur et président de l’Institut Rafaël (Neuilly-sur-
- Seine), directeur de la chaire Santé Intégrative du Conservatoire National des Arts et Métiers et auteur de L’art de soigner chez HumenSciences.
- Modération : Hélène Delmotte
11h20 - Améliorer les consultations à domicile↖
La téléconsultation est, sans conteste, l’une des grandes bénéficiaires de l’épidémie de Covid.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon différentes enquêtes, à peine 7 % des Français y avaient eu recours avant 2019. Aujourd’hui 22 % d’entre eux en sont devenus des utilisateurs réguliers.
Sans mettre leur santé en danger puisqu’une étude américaine, très récemment parue dans JAMA Open Network, indique que les nouveaux diagnostics effectués lors de téléconsultations concordent dans 87% des cas avec ceux effectués dans un second temps au cabinet. Quant aux médecins urgentistes, ils permettent de faire face à des situations plus complexes, nécessitant une présence physique. Surtout en l’absence de médecin traitant... Le tout concourant à permettre au patient d’être mieux pris en charge, sans quitter son domicile.
- Diane Deperrois, Directrice générale d’AXA Santé et Collectives
- Dr Williams Fraissinet, responsable de SOS Médecin à Montpellier
12h - Demain, un médecin à côté de chez moi ?↖
Les déserts médicaux ne touchent pas que les campagnes, certains quartiers des grandes villes sont aussi en manque cruel de médecins. Selon un rapport du Sénat de janvier 2020, entre 9 et 12 % de la population française vit dans un désert médical, ce qui représente 6 à 8 millions de personnes. Ce phénomène est notamment dû au nombre insuffisant de médecins formés au cours des dernières décennies et à une désaffection des jeunes blouses blanches pour certaines zones jugées peu attractives. Que faire aujourd’hui pour solutionner ce problème ? La télémédecine est-elle LA solution ? Qu’en est-il des maisons de santé pluridisciplinaires ? En Occitanie, la mobilisation est générale.
- Pr Vincent Bounes, anesthésiste-réanimateur, chef de service du SAMU 31 et vice-président de la région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée en charge de la santé
- Dr Béatrice Lognos, Maître de Conférences des Universités de Médecine Générale,
- Vice Doyenne en charge de la territorialité et des actions de formation et de recherche en santé environnemental à Montpellier
- Modération : Jérôme Cordelier
14h - Ouverture Officielle↖
- Michael Delafosse, Maire de la Ville de Montpellier, Président de Montpellier Méditerranée Métropole
- Carole Delga, Ancienne Ministre, Présidente de la Région Occitanie / Pyrénées – Méditerranée
- Etienne Gernelle, Directeur du Point
14h30 - Immunité : les grands enseignements du Covid↖
La crise du Covid, avec ses vagues successives, a eu et aura encore de multiples retentissements sur notre santé, notre moral, notre mode de vie, notre façon de travailler… Pour les scientifiques impliqués dans la lutte contre cette pandémie, elle a montré les progrès de la capacité d’identification ultrarapide d’un nouveau virus pathogène et de mise au point d’outils diagnostiques. Elle a aussi prouvé l’efficacité d’une nouvelle stratégie vaccinale, fruit de 60 ans de recherche. D’autre part, elle a mis en évidence l’importance de l’expertise scientifique auprès des décideurs, ainsi que la nécessité persistante de mieux expliquer/informer loyalement la population pour obtenir la confiance nécessaire à l’application des mesures de protection d’intérêt général.
- Alain Fischer, immunologue et président de l’ancien Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale
- Modération : Hélène Delmotte
15h15 - Cancer : ne jamais lâcher la main du patient↖
Un homme sur 5 et une femme sur 6 développent un cancer au cours de leur existence. Cette maladie, dont le traitement s’étale parfois sur de longues années, implique une prise en charge globale, dès son diagnostic. Ce qui nécessite d’organiser un « parcours patient » individuel, adapté à la pathologie, à l’état général du malade, aux différents thérapies auxquelles il doit se soumettre (et également aux effets secondaires qu’il risque de ressentir), à ses besoins spécifiques et à son environnement familial, médical et géographique. Ce qui implique aussi d’améliorer son hygiène de vie, notamment de l’aider à conserver ou à reprendre une activité physique, ainsi que d’aménager son activité professionnelle. Seule une équipe pluridisciplinaire peut relever tous ces défis...
- Nathalie Marin, Infirmière Relais, Diplômée d’Etat, DIU d’experte en urologie
- Jean-Baptiste Méric, directeur du pôle Santé Publique et Soins de l’INCa
- Annelys Niel, infirmière de coordination des soins à l’ICM de Montpellier
- Pr Marc Ychou, PUPH spécialiste en oncologie digestive et directeur de l’institut de recherche en cancérologie de Montpellier
- Modération : Géraldine Woessner
16h - Montpellier, laboratoire de la santé globale↖
La santé globale – une approche multidisciplinaire qui intègre tous les éléments comportementaux, environnementaux et autres susceptibles d’influer sur notre organisme - est une priorité pour Montpellier. Ville d’excellence et ville pilote au niveau national, voire européen, la métropole multiplie les actions locales, par exemple avec l’ouverture de plusieurs centres de santé.
MedVallée traduit bien cette dynamique ambitieuse qui vise à n’oublier personne, ni aucun élément de ce qui peut concourir à la santé de la population, à la démocratie sanitaire. Exemples avec la santé orale (sans laquelle il devient un jour impossible de mastiquer et donc de se nourrir), la santé mentale (mise à mal par l’épidémie de Covid-19 et les confinements) et l’aide aux aînés, toujours plus nombreux.
- Elodie Brun-Mandon, conseillère municipale de Montpellier chargée de la prévention des addictions
- Dr Grégoire Mercier, unité Science des Données de Santé, service de Santé Publique du CHU de Montpellier
- Dr Nicolas Giraudeau, praticien au CHU, président de la fondation université de Montpellier pour la santé orale
- Alexia Léon, mission Bien Vieillir (ou Eliane Lloret, Maire de Sussargues et Vice-Présidente déléguée aux Egalités, à l’Inclusion des publics fragiles et au Bien Vieillir à la Métropole) pour la ville amie des ainés
- Dr Nicolas Rainteau, psychiatre, Centre de Rétablissement et de Réhabilitation Jean Minvielle au CHU de Montpellier - pour la santé mentale
- Modération : Jérôme Cordelier
16h50 - L’hôpital, cet incroyable lieu d’innovation↖
Actuellement seuls 20 % des établissements hospitaliers, essentiellement des CHU, ont des relations avec des entreprises innovantes. Cela s’explique par leur complexité, la diversité de leurs interlocuteurs et leur forte inertie. Mais les choses changent, notamment dans les centres qui se sont dotés d’une équipe dédiée à l’innovation indépendante de la direction de la recherche clinique.
Exemples avec le programme Hospi’Up du Fonds Recherche & Innovation de la Fédération Hospitalière de France et l’extracteur d’innovation mis en place au sein du CHU de Montpellier, dans le but est de faciliter et d’ouvrir le champ des possibles à tous les porteurs de projets hospitaliers. Avis aux inventeurs !
- Enguerrand Habran, directeur du Fonds recherche et innovation de la fédération hospitalière de France
- Thomas Le Ludec, directeur du CHU de Montpellier
- Modération : Julie Malaure
Samedi 8 octobre
10h - Maladies rares et recherche↖
Une maladie est dite rare quand elle concerne moins d’une naissance sur 2000. C’est peu. Mais, en raison du grand nombre de pathologies existant, 3 millions de personnes sont directement concernées en France. De très nombreuses familles connaissent l’errance diagnostique, l’absence de traitements et les difficultés au quotidien. Car à côté des plus connues comme la mucoviscidose ou les myopathies, d’autres maladies ne touchent que quelques cas dans le monde. Il n’existe actuellement aucun traitement curatif pour 95 % de ces affections. Néanmoins, grâce aux intenses recherches menées, les connaissances progressent pour ces personnes et elles ont parfois des retombées positives pour les patients souffrant d’autres pathologies.
- Franck Cousserans, directeur général France de Jazz Pharmaceutical
- Pr Yves Dauvilliers, professeur de neurologie et de physiologie, responsable du laboratoire du sommeil, département de neurologie, CHU de Montpellier, spécialiste de la narcolepsie
- Anne-Sophie Lapointe, Cheffe de projet maladies rares, Direction générale de l’offre de soins, Ministère en charge de la Santé
10h45 - Aux origines de l’autisme↖
L’abandon de la vision psychanalytique, puis la prise en charge très précoce avant même que le diagnostic ne soit formalisé ont permis de véritables avancées pour les enfants souffrant de troubles du neuro-développement, en particulier dans le spectre de l’autisme. C’était le point central du plan autisme lancé en 2018. Au 1er juillet dernier, 30 000 jeunes de moins de 7 ans avaient été repérés comme présentant un trouble du neuro-développement et pris en charge. En parallèle, des chercheurs se mobilisent pour tenter de découvrir les causes du mal en participant à l’étude MARIANNE : 2300 familles, parents-bébés, vont être suivis pour déterminer le rôle des facteurs environnementaux et biologiques. Réponse dans 10 ans.
- Pr Amaria Baghdadli, responsable du Centre d’excellence sur l’Autisme et les troubles du
- Neuro-Développement - CeAND (CHU et Université de Montpellier) et chercheuse au Centre de recherche en Epidémiologie et Santé des Populations de l’Inserm
- Claire Compagnon, déléguée interministérielle chargée de la mise en œuvre de la stratégie nationale autisme au sein des troubles du neuro-développement.
- Un parent témoin
- Modération : Julie Malaure
11h30 - Le microbiome cutané, un bouclier bienfaiteur↖
Moins connu que le microbiote qui tapisse l’intérieur de notre intestin, le microbiome cutané est aussi constitué par les milliards de micro-organismes qui vivent à la surface et à l’intérieur de notre peau. Comme pour notre système digestif, cette flore représente un allié de poids. Ces bactéries et champignons agissent comme un bouclier invisible à l’oeil nu contre les allergènes, les polluants et autres substances néfastes pour le revêtement cutané. Elles s’opposent également à l’installation de « mauvais » microbes. Comme pour la flore intestinale, le microbiome cutané se forme dès la naissance, il est unique et évolue en fonction de l’âge, du sexe, du mode de vie. Et il est recommandé d’en prendre soin. Les spécialistes de la cosmétique l’ont bien compris et ils en tiennent compte lors de leurs recherches.
- Magali Moreau, chef des laboratoires microbiome au sein de la recherche L’Oréal
- Un dermatologue
- Modération : Anne Jeanblanc
12h05 – Piratage à l’hôpital : la guerre des données a bien lieu↖
Le 21 août 2022 restera dans la mémoire de tout le personnel de l’hôpital de Corbeil Essonne : une cyberattaque, avec demande de rançon, a totalement déstabilisé son réseau informatique.
Les patients, qu’ils aient pu rester dans l’établissement ou dû être transférés – s’en souviendront aussi. Comment les hôpitaux peuvent -il se mettre à l’abri de telles pratiques ? Et comment protéger les données de santé des patients qui les fréquentent ? Nos données de santé. La question est dans tous les esprits...
- Intervenants à venir
- Modération : Guillaume Grallet
14h15 - Du champ à l’assiette, comment le numérique améliore notre alimentation↖
Nourrir tous les habitants de la planète est un défi aussi important à relever, à l’échelon collectif, que celui visant à aider chaque individu à faire les bons choix alimentaires en fonction de son âge, de son mode de vie et de ses éventuelles pathologies. Sans oublier évidemment ses préférences car manger doit toujours rester un plaisir. Ce qui relie les deux : les outils numériques ! Ils permettent, en effet, d’accélérer la transition agroécologique, de faciliter l’alimentation de proximité, de mener des études prospectives sur les besoins de demain et de « tenir la main » de chacun d’entre nous. Bienvenue dans le monde – pas totalement virtuel - de la nutrition de demain, dans lequel MedVallée est particulièrement investi.
- Dr Vincent Attalin, médecin nutritionniste au CHU de Montpellier et médecin du sommeil à la clinique Beausoleil, co-fondateur de la société Aviitam..
- Véronique Bellon-Maurel, ingénieur agronome, chef du projet OccitANum - pour Occitanie
- Agroécologie Numérique – à Montpellier
- Bernard Ruffieux, Professeur à l’Ecole de Génie Industriel, Groupe Grenoble INP
- Modération : Guillaume Grallet
15h00 - Le sport, c’est (vraiment) la santé↖
Faut-il vraiment faire 10 000 pas par jour ? Et pourquoi pas 7 500 ou 12 000 ? Tout dépend de la condition générale. En revanche, il est sûr que la pratique régulière d’une activité physique - bien différente d’un sport - est extrêmement bénéfique. Les effets directs sont prouvés dans la prévention de nombreuses maladies comme le diabète, le cancer, les pathologies cardiovasculaires, l’obésité, la dépression et l’ostéoporose. Bouger est aussi indispensable après un cancer, pour réduire le risque de récidive et la mortalité. Les villes l’ont bien compris. Elles nous offrent désormais diverses possibilités de pratiquer le sport plaisir … en douceur. Elles se mobilisent aussi pour aider leurs champions, actuels et futurs !
- Hervé Martin, délégué Montpellier Ville sportive : - Rayonnement sportif du territoire. -
- Pratiques sportives existantes et nouvelles. - Sports dans les quartiers (présentation globale de Montpellier, ville sport santé) ;
- Dr Grégory Ninot, Professeur à l’Université, chargé de recherche en soins de support à l’Institut du Cancer de Montpellier (ICM)
- Dr Orianne Lopez, Médecin de Médecine Physique et de Réadaptation - Médecine du Sport au CHU de Montpellier, athlète handisport, médecin chef du comité paralympique
15h50 - Chiens renifleurs de maladies, des agents très spéciaux↖
Le chien est bien le meilleur ami de l’homme… et de sa santé. Car son flair est sans égal. Les uns sont capables de dépister la signature olfactive d’un cancer du sein, à partir d’échantillons de sueur ou d’urine. D’autres identifient la présence du virus du Covid ou de bactéries résistantes.
Ils reconnaissent aussi l’arrivée imminente d’une crise d’épilepsie (ce qui permet au malade de se protéger) ou d’un malaise hypoglycémique chez les diabétiques. Les recherches actuelles montrent qu’ils pourraient dépister tôt une maladie d’Alzheimer ou de Parkinson. Ils assistent enfin efficacement les personnes handicapées et les enfants victimes d’agressions.
- Florian Auffret, Chargé de mission recherche et développement Handichiens
- Hind Baba Aïssa, post-doctorante KDOG à l’institut Curie à Paris
- Stéphanie Martins, patiente épileptique avec son chien
- Eric Troncy, professeur de pharmacologie, Directeur du Groupe de recherche en pharmacologie animale du Québec (GREPAQ)
- Modération : Beatrice Parrino
16h45 – Comment guérir la vieillesse↖
Et si on réveillait la salamandre qui sommeille en tout humain ? Car cet animal est le champion de la régénérescence. Il peut se re-fabriquer une patte, un museau mais aussi un oeil ou même de la moelle épinière. Cette capacité intéresse bien sûr les chercheurs puisque les hommes ont tous, dans leurs organes, des cellules souches capables de se transformer en cellules du cartilage, du rein ou en neurones. D’où l’espoir de compenser les pertes. Autres solutions : reprogrammer les cellules vieillissantes et donc les rajeunir. Au lieu de tenter de guérir les maladies au fur et à mesure de leur apparition, il serait ainsi possible de s’attaquer en amont à ce qui est à l’origine de leurs maux. De quoi espérer vivre plus longtemps, mais surtout en bonne santé.
- Pr Christian Jorgensen, chef du service d’immuno-rhumatologie du CHU de Montpellier
- Jean-Marc Lemaitre, directeur de recherches Inserm, co-directeur de l’institut de médecine régénératrice et biothérapies de Montpellier et auteur du livre : « Guérir la vieillesse ».
- Marina Shkreli U1081 Inserm/CNRS/Université Côte d’Azur, Institut de recherche sur le cancer et le vieillissement (Ircan), à Nice.
- Modération : Anne Jeanblanc