Dépannage à domicile : à quoi devez-vous faire attention ?

 

Électricien, Travail, Maintenance

Fuite d’eau, problème de canalisation, clés oubliées à l’intérieur du logement... Dans ce genre de situations, les consommateurs sont souvent contraints de faire appel à un dépanneur, parfois en urgence. Il arrive alors que certains professionnels abusent de la situation, notamment en surfacturant leurs prestations ou en proposant des interventions non pertinentes. Quelques points d’attention lorsque vous faites appel à un dépannage à domicile.

Dépannage à domicile : de quoi parle-t-on ?

Comme le rappelle la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), le dépannage à domicile englobe un grand nombre de prestations assurées par divers professionnels des secteurs du bâtiment et l'équipement de la maison.

Dans le bâtiment, le dépannage à domicile concerne les prestations de réparation, d’entretien ou de remplacement de pièces dans les activités de maçonnerie, de fumisterie, de ramonage, d’isolation, de menuiserie, de serrurerie, ou bien les travaux de couverture et de toiture, la plomberie, l’installation sanitaire, l’étanchéité, la plâtrerie, la peinture, la vitrerie, la miroiterie, le revêtement de murs et de sols en tous matériaux et installation électrique, l’évacuation des eaux pluviales, le curage des eaux usées, ou bien le nettoyage et le débouchage des canalisations, etc.

Dans le secteur de l’équipement de la maison, les prestations de dépannage portent sur des équipements électriques, électroniques, électroménagers et de télévision, ainsi que sur les opérations courantes de raccordement d’un appareil ménager.

Dépannage à domicile : nos points de vigilance

Conseil n°1 : méfiez-vous des publicité/tracts relatifs au dépannage à domicile

Globalement, méfiez-vous des tracts publicitaires distribués gratuitement dans les boîtes aux lettres, qui souvent ne donnent volontairement que peu d’informations sur les principales caractéristiques du service proposé. De même, méfiez-vous des tracts imitant des documents officiels (usage du bleu-blanc-rouge, de logos publics, etc.).

Bien souvent, ces publicités donnent les coordonnées de professionnels qui ne respectent pas la législation.

Conseil n°2 : constituez-vous une liste d’artisans fiables à contacter, notamment en cas d’urgence

Une canalisation d’eau qui fuit ? Une baie vitrée cassée ? Une serrure grippée qui vous empêche de rentrer dans votre logement ? Toutes ces situations (et bien d’autres) constituent des cas d’urgence, lors desquels le consommateur est légitimement tenté de faire appel à n’importe quel professionnel, souvent à celui qui peut se déplacer le plus rapidement ou à celui qui est référencé sur les tracts publicitaires distribués dans les boîtes aux lettres.

Dans tous les cas, situation d’urgence ou non, essayez dans la mesure du possible de contacter des professionnels que vous connaissez ou qui vous ont été recommandés par des proches ou des fédérations professionnelles.

À défaut, tentez de faire appel à plusieurs professionnels ou artisans pour faire jouer la concurrence et comparer les offres. Même en situation d’urgence, il est possible de faire le bon choix en repérant les informations précontractuelles (parfois disponibles sur les sites internet des professionnels) avant de conclure un contrat à votre domicile.

Conseil n°3 : sachez repérer les professionnels indélicats

Un professionnel que vous avez fait venir à votre domicile vous propose de réaliser des prestations en plus de celles initialement prévues ? Un réparateur insiste pour réaliser rapidement des travaux qui ne semblent pas urgents ?

Dans ce genre situation, prenez d’abord le temps de réfléchir et ne donnez pas votre accord trop rapidement.

Notez qu'il existe un droit de rétractation de 14 jours, mais qui ne concerne cependant pas les travaux d'entretien ou de réparation à réaliser en urgence au domicile du consommateur et expressément sollicités par lui.

Conseil n°4 : en l'absence de devis, ne donnez pas votre accord au dépannage

Préalablement à toute signature de contrat et donc à l'intervention, tout professionnel du dépannage à domicile a l’obligation d’établir de manière systématique et formalisée, un contrat écrit (aussi appelé « devis ») et ce dès le premier euro. Le devis, en tant qu'estimation par le professionnel des travaux envisagés, est considéré d'un point de vue juridique comme une offre de contrat. Le devis n'engage le client qu'à partir du moment où il a exprimé sa volonté de faire exécuter les travaux, par une signature au bas du devis « bon pour travaux ».

En l’absence de devis, ne donnez donc pas votre accord au dépannage.

Conseil n°5 : sachez que le professionnel doit impérativement faire apparaître un certain nombre d’informations dans le devis

Les règles d'information diffèrent selon que le contrat est conclu en établissement ou hors établissement.

Lorsque le devis/contrat est conclu directement au domicile du particulier, le professionnel doit fournir au consommateur sur papier ou sur un autre support durable, les informations suivantes (arrêté du 24 janvier 2017) :

  • la date de rédaction
  • le nom et l’adresse de l’entreprise
  • le nom du client
  • le lieu d’exécution de l’opération
  • la nature exacte des réparations à effectuer
  • le décompte détaillé, en quantité et en prix, de chaque prestation et produit nécessaire à l’opération prévue : dénomination, prix unitaire et désignation de l’unité à laquelle il s’applique (notamment l’heure de main d’œuvre, le mètre linéaire ou le mètre carré) et la quantité prévue
  • le cas échéant, les frais de déplacement
  • la somme globale à payer hors taxes et toutes taxes comprises, en précisant le taux de T.V.A.
  • la durée de validité de l’offre 
  • l’indication du caractère payant ou gratuit du devis (ou document précontractuel).

Au-delà de ces éléments obligatoires d'information, si vous jugez que le devis est trop élevé ou s’il n’est pas clair, ne donnez pas suite et contactez un autre prestataire.

Lorsque le contrat est conclu directement chez le professionnel, les informations obligatoires et les modalités de leur communication au consommateur ne sont pas exactement les mêmes que lorsque le contrat est conclu au domicile.

 

Conseil n°6 : veillez à ce que le professionnel vous remette un exemplaire du contrat

Le professionnel doit obligatoirement remettre au consommateur un exemplaire signé du contrat. Ce contrat doit être accompagné du formulaire type de rétractation.

Conseil n°7 : lorsque la prestation est supérieure à 25 € TTC, le professionnel doit vous remettre une facture

Pour toute prestation d'un montant supérieur à 25 € TTC, le professionnel est tenu de vous remettre une facture (aussi appelée « note ») sur laquelle doivent apparaître :

  • les coordonnées du prestataire
  • la date de rédaction de la note
  • les dates et lieu d'exécution de la prestation
  • le décompte détaillé, en quantité et en prix, de chaque prestation et produit fourni ou vendu (ex : taux horaire et nombre d'heures travaillées)
  • la somme totale à payer hors taxes et toutes taxes comprises
  • le nom du client, sauf opposition de celui-ci.

Ce document doit être délivré au consommateur dès que la prestation a été réalisée, et en tout état de cause avant le règlement du prix de la prestation.

Comment savoir si vous êtes bénéficiaire d’un contrat d’assurance ?

Contrats d’assurance vie, obsèques ou dépendance : les assurés n’informent pas toujours leurs proches des contrats qu’ils ont conclus. Un service en ligne vous permet de rechercher si des contrats d'assurance ont été souscrits et si vous en êtes bénéficiaire. On vous le présente.

L'Agira, un outil pour vous aider à retrouver vos contrats d'assurance

Créée par la Fédération Française de l’assurance, l’Association pour la Gestion des Informations sur le Risque en Assurance (Agira) regroupe les sociétés d’assurance et les organisations professionnelles du secteur.

Véritable informateur du public des assureurs et de leurs partenaires, elle vous permet de vous renseigner sur plusieurs types de contrat d’assurance.

Contrat d’assurance obsèques

Le contrat d’assurance obsèques est un placement financier qu’un souscripteur établit pour couvrir les frais des obsèques. L’assuré désigne un bénéficiaire qui touchera le capital au moment du décès.

Le dispositif de recherche des contrats Obsèques de l'Agira permet, en cas de décès, à toute personne proche ou à l’entreprise funéraire de connaître l’existence d’un contrat Obsèques souscrit par le défunt.

 

Contrat d’assurance vie

Placement financier souscrit pour prévoir les aléas de la vie, le contrat assurance vie permet à l’assuré de léguer des biens/fonds à ses proches. Cependant, il arrive que le bénéficiaire soit non identifié ou que les bénéficiaires ne déclarent pas le décès à l’assurance du contrat souscrit. L’héritage posthume ne peut alors être versé aux bénéficiaires.

Toute personne peut demander par tout moyen à être informée de l’existence d’un contrat d’assurance vie qu’aurait souscrit une personne décédée et dont elle serait la (ou l’un des) bénéficiaires(s).

 

Contrat d’assurance dépendance

Placement financier souscrit pour prévoir une perte d’autonomie, le contrat d’assurance dépendance permet à l’assuré de bénéficier d’un fond mensuel pour couvrir les frais que nécessite cette situation. Cependant, il arrive que l’assuré n’informe pas ses proches de cette souscription et que sa perte d’autonomie l’empêche de mettre en œuvre son contrat.

Pour répondre aux situations dans lesquelles un assuré ne serait pas en mesure de faire jouer un contrat d’assurance Dépendance du fait de sa perte d’autonomie, les organismes d’assurance s’engagent à ce que toute personne physique ou morale puisse rechercher l’existence d’un contrat en adressant une demande à l’Agira.

 

Comment contacter l’Agira ?

Constitution du dossier

Quel que soit le contrat que vous souhaitez rechercher, la procédure est similaire.

Toute personne désirant savoir si l’un de ses proches a souscrit un contrat d’assurance vie, dépendance ou obsèques doit constituer un dossier avec toutes les informations sur son identité et celles du potentiel bénéficiaire. Le demandeur doit ensuite remplir un formulaire en ligne disponible sur le site de l’Agira (chaque type de contrat dispose de sa rubrique).

Délais d’attente 

Une fois l’envoi à l’Agira effectué, cette dernière vérifie si le dossier est complet. Elle dispose ensuite de 15 jours pour contacter les assurances.

Dans le cas où l’une des assurances possède un contrat de dépendance, elle revient ensuite vers le demandeur pour lui communiquer l’existence du contrat.

À savoir

Il faut savoir que cette recherche auprès de l'AGIRA est valable pendant une période de 10 ans suivant l'échéance du contrat d'assurance. Après ces 10 ans, le contrat d'assurance vie est automatiquement transféré de l'assureur à la Caisse des dépôts, qui le conservera pendant 20 ans.

Pour retrouver les sommes issues de ces contrats dits en « déshérence »  (non-réclamées et/ou perdues depuis plus de 10 ans) et en demander la restitution, rendez-vous sur ciclade.fr, l'outil en ligne et gratuit de la Caisse des dépôts.

Comment lutter contre les spams ?

 

Ordinateur, Sécurité, Cadenas, Pirate

Les spams ou courriels indésirables continuent d’envahir les boîtes mail, des professionnels comme des particuliers. Comment s'en prémunir ? Comment les signaler ? On fait le point.

Qu'est-ce qu'un spam ?

Le spam, courriel indésirable ou pourriel (association des mots « courriel » et « poubelle »), est une communication électronique non sollicitée.

Cela va de l’abus marketing à l’hameçonnage de nature cybercriminelle, qui consiste à travestir un courriel en message d'une banque, d’un site marchand déjà fréquenté ou de tout autre service, afin de récupérer les données personnelles du destinataire.

En tant qu'entreprise, vous pouvez être l'objet - comme les particuliers - de ce type de menace électronique.

Comment repérer un spam ?

  • Est-ce que le message/courriel vous est réellement destiné ?
  1. Généralement, les messages malveillants sont envoyés à destination d’un grand nombre de cibles, ils ne sont pas ou peu personnalisés.
  2. Le message évoque un dossier, une facture, un thème qui ne vous parle pas ? Il s’agit certainement d’un courriel malveillant.
  • Attention aux expéditeurs inconnus : soyez particulièrement vigilants sur les courriels provenant d’une adresse électronique que vous ne connaissez pas ou qui ne fait pas partie de votre liste de contacts.
  • Soyez attentif au niveau de langage du courriel : même si cela s’avère de moins en moins vrai, certains courriels malveillants ne sont pas correctement écrits. Si le message comporte des erreurs de frappe, des fautes d’orthographe ou des expressions inappropriées, c’est qu’il n’est pas l’œuvre d’un organisme crédible (banque, administration, etc.).
  • Vérifiez les liens dans le courriel : avant de cliquer sur les éventuels liens, laissez votre souris dessus*. Apparaît alors le lien complet. Assurez-vous que ce lien est cohérent et pointe vers un site légitime. Ne faites pas confiance aux noms de domaine du type impots.gouvv.fr, impots.gouvfr.biz, infocaf.org au lieu de www.caf.fr.

*À noter : cette manipulation est parfois difficile voire impossible à effectuer depuis un écran de smartphone.

  • Méfiez-vous des demandes étranges : posez-vous la question de la légitimité des demandes éventuelles exprimées. Aucun organisme n’a le droit de vous demander votre code carte bleue, vos codes d’accès et mots de passe. Ne transmettez rien de confidentiel, même sur demande d’une personne qui annonce faire partie de votre entourage.
  • L’adresse de messagerie source n’est pas un critère fiable : une adresse de messagerie provenant d’un ami, de votre entreprise, d’un collaborateur peut facilement être usurpée. Seule une investigation poussée permet de confirmer ou non la source d’un courrier électronique. Si ce message semble provenir d'un ami - par exemple pour récupérer l'accès à son compte - contactez-le sur un autre canal pour vous assurer qu'il s'agit bien de lui !

Comment vous prémunir contre les spams ?

Afin de vous prémunir contre les spams, il est recommandé :

  • de ne pas répondre à un spam afin que l’expéditeur ne sache pas si l’adresse électronique utilisée est valide ou non
  • de ne pas cliquer sur les liens intégrés dans le message, afin que l’expéditeur ne puisse pas récupérer d’informations par le biais de cookies ou d'autres traceurs informatiques
  • de ne pas ouvrir les pièces jointes au spam
  • d'être prudent lors de la communication de son adresse électronique et se créer différentes adresses de messagerie électronique en fonction de ses besoins: achats sur internet, réseaux sociaux, échanges personnels, etc.
  • d'utiliser un filtre de spam.

En tant qu'entreprise, il vous est conseillé de sensibiliser vos salariés à ces bonnes pratiques de protection contre les spams, et même plus généralement aux bonnes pratiques de cybersécurité. Car au final, ce sont vos salariés qui peuvent être victimes de ce type de désagrément.

Avec Signal-spam, participez à la lutte contre les spams !

L'association Signal Spam, partenariat public-privé,est engagée dans la lutte contre le spam.

Son site internet signal-spam.fr permet à tout internaute, professionnel (ou particulier), d'alerter sur un spam via une plateforme en ligne depuis sa messagerie et de suivre l’évolution de son signalement depuis son espace personnel.

Signal-spam recueille les signalements des internautes, les analyse puis les transfère aux différents acteurs de la lutte contre le spam (organismes publics, acteurs de l'économie numérique ou fournisseurs d'accès à Internet).

Cette action permet d’identifier les principaux organismes à l’origine des spams et de mettre en œuvre des actions de contrôle ou des actions répressives ciblées, au niveau national ou international.

Comment signaler un spam ?

  1. Inscrivez-vous sur la plateforme de signalement du site signal-spam.fr.
  2. Puis téléchargez le module et signalez vos spams en un clic.

 

Vous souhaitez signaler un contenu criminel ?

Vous souhaitez signaler un contenu criminel qui n'est pas un spam ?

Il fait partie de cette liste :

  • Pédophilie ou corruption de mineur sur Internet.
  • Incitation à la haine raciale ou provocation à la discrimination de personnes en raison de leurs origines, de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap.
  • Menaces ou incitation à la violence.
  • Trafic illicite (stupéfiants, armes, etc.).
  • Mise en danger des personnes.
  • Incitation à commettre des infractions.
  • Injure ou diffamation.
  • Escroquerie.
  • Terrorisme : menace ou apologie.

Signalez-le sur Pharos (anciennement connu sous le nom de internet-signalement), le portail officiel du ministère de l'Intérieur de signalement des contenus illicites de l'Internet.

Attentat à Bruxelles : "Notre Europe est bousculée", Emmanuel Macron réagit

 

Selon Orange.fr :

Emmanuel Macron a réagi à la fusillade qui a frappé la Belgique lundi 16 octobre au soir. Depuis l’Albanie, où il est en déplacement, le chef de l’État a dénoncé une "attaque terroriste islamiste".

Bruxelles "frappée par une attaque terroriste islamiste qui a ôté la vie à au moins deux Européens, deux Suédois" : tels ont été les mots d’Emmanuel Macron, qui a réagi lundi 16 octobre au soir à l’attentat survenu en Belgique quelques heures plus tôt. Le chef de l’État, actuellement en déplacement en Albanie, a également déclaré : "Notre Europe est bousculée."................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/attentat-a-bruxelles-notre-europe-est-bousculee-emmanuel-macron-reagit-magic-CNT0000028emmH.html

Vous avez des difficultés à réaliser certaines activités quotidiennes ? Savez-vous qu’il existe des aides à l’autonomie ?

 
Point D'Interrogation, Pile
 
Vous avez des difficultés à réaliser certaines activités quotidiennes ? Savez-vous qu’il existe des aides à l’autonomie ?
Un seul formulaire vous permet de demander ces différentes aides !
Pour plus d’informations :
Pour savoir quelle démarche est mise en place dans votre département :
Pour télécharger le formulaire :
Pour faire la démarche en ligne :

 

Guerre Hamas-Israël : l'UE va ouvrir un couloir aérien humanitaire vers la bande de Gaza, en passant par l'Egypte, annonce Ursula von der Leyen

 

Selon France Info : 

"Les deux premiers vols vont partir cette semaine, et ils apporteront du matériel humanitaire à Gaza", a précisé la présidente de la Commission européenne

Ce qu'il faut savoir

L'Europe va ouvrir un couloir aérien humanitaire vers la bande de Gaza, a annoncé lundi 16 octobre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. "Les Palestiniens à Gaza ont besoin d'aide humanitaire", c'est pourquoi "nous lançons un couloir humanitaire via l'Egypte. Les deux premiers vols vont partir cette semaine, et ils apporteront du matériel humanitaire à Gaza", a-t-elle précisé depuis Tirana, en Albanie. La ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, avait indiqué un peu plus tôt, depuis le Liban, que "des efforts [étaient] en cours pour ouvrir un couloir humanitaire par Rafah", la seule porte d'entrée dans la bande de Gaza contrôlée par l'Egypte. Cette porte d'entrée a été fermée par l'Egypte après des frappes israéliennes, et alors que des centaines de Palestiniens sont massés à proximité, espérant fuir la zone. Suivez le direct sur : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/direct-guerre-entre-israel-et-le-hamas-l-occupation-de-la-bande-de-gaza-serait-une-grave-erreur-previent-joe-biden_6125127.html

Guerre Hamas-Israël : 102 interpellations recensées en France depuis le 7 octobre, "en lien direct avec des actes antisémites ou d'apologie du terrorisme"

 

Selon le ministre de l'Intérieur, 237 signalements sur la plateforme en ligne Pharos ont ainsi été transmis à la justice depuis les attaques du Hamas en territoire israélien.

Selon France Info : 

interpellations en lien direct avec des actes antisémites ou d'apologie du terrorisme, dont 27 étrangers" ont eu lieu en France depuis les attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre. Selon le ministre, 237 signalements sur la plateforme en ligne Pharos ont été transmis à la justice.

"Ce matin encore, la DGSI [Direction générale de la sécurité intérieure] a procédé à deux interpellations, l'une dans l'est de la France, l'autre dans le sud-ouest de la France", a précisé Gérald Darmanin après un Conseil de sécurité organisé à l'Elysée "pour faire le point sur la menace terroriste", trois jours après l'attentat dans un lycée d'Arras (Pas-de-Calais). Le ministre de l'Intérieur a également ajouté que "6 500 personnes, en 2022, sont sous technique du renseignement". Il a également déclaré que "43 attentats ont été déjoués depuis 2017". 

Gérald Darmanin a par ailleurs................................... Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/

155 communes de l’Hérault placées en zone réglementée pour la Maladie Hémorragique Epizootique

 

Le préfet François-Xavier Lauch a décidé par arrêté préfectoral de placer en zone réglementée les 155*communes héraultaises incluses dans le périmètre de 150 km autour des élevages infectés par la Maladie Hémorragique Epizootique en Haute-Garonne. La maladie hémorragique épizootique (MHE) des ruminants est une maladie émergente dont les premiers cas sont apparus dans le sud-Ouest de la France en septembre 2023. Le virus, transmis par l’intermédiaire de moucherons, peut provoquer chez les ruminants de la fièvre, de la perte de poids et des difficultés respiratoires. Le virus affecte principalement les bovins et dans une moindre mesure les ovins et caprins. Il n’existe pas de vaccin contre la maladie. La MHE n’est pas transmissible à l’homme. Des mesures de surveillance, de prévention et de lutte vis-à-vis de la maladie hémorragique épizootique sont mises en place pour identifier les foyers et éviter la diffusion de la maladie. Dans l’Hérault, l’arrêté préfectoral du 13 octobre 2023 prévoit, pour les 155 communes héraultaises placées en zone réglementée en lien avec les cas situés en Haute-Garonne, les mesures suivantes :

• Des restrictions de mouvement des ruminants : les bovins, ovins, caprins ou cervidés des élevages de la zone ne peuvent pas sortir de la zone réglementée ;

• Des exceptions : les animaux concernés qui ont fait l’objet d’un test de dépistage en laboratoire attestant l’absence de contamination, en complément de la désinsectisation, sont autorisés à sortir du périmètre réglementé ;

• Le cas des mouvements spécifiques de ruminants : le retour d’estive (sous réserve de désinsectisation avant départ pour éliminer le vecteur de la maladie) et l’envoi d’animaux à l’abattoir restent possibles.

La situation est fortement évolutive avec une expansion rapide de la maladie. Le Ministère de l’Agriculture poursuit les échanges avec ses partenaires commerciaux pour rétablir les marchés qui sont momentanément fermés.

 Pour en savoir plus : https://agriculture.gouv.fr/maladie-hemorragique-epizootique-mhe-point-de-situation https://www.anses.fr/fr/content/premiers-cas-maladie-hemorragique-epizootique-france

Japan Matsuri, festival des cultures asiatiques

Japan Matsuri, festival des cultures asiatiques

Japan Matsuri, festival des cultures asiatiques
 
Samedi 21 Octobre 2023, 10:00 - Dimanche 22 Octobre 2023, 18:00

 

Sud de France Arena
 

Rendez-vous les 21 et 22 octobre 2023 à la Sud de France Arena pour la 12e édition de la Japan Matsuri, festival des cultures traditionnelles et des loisirs ludiques japonais, en partenariat avec la Ville et la Métropole de Montpellier.

Pendant 2 jours, venez découvrir ou redécouvrir les différentes facettes de la culture japonaise moderne et traditionnelle au travers de diverses activités.

Un vaste espace constitué de 120 stands sera déployé pour l’occasion !

Programme et billetterie

Jeu-concours : gagnez 2 places pour le festival !

Merci à toutes et à tous pour votre participation, les gagnants seront prochainement annoncés et contactés par email.

Journée mondiale du don d'organes et de la greffe, ce sera le 17 octobre

 

Depuis 2005, l'OMS a promulgué la journée mondiale du don d'organes et de la greffe. Elle se tient chaque année le 17 octobre. L'idée de cette journée mondiale est partie d'un constat alarmiste : Il n'y aurait en moyenne qu'un organe disponible pour une demande trois fois supérieure. La pénurie française n'est malheureusement pas limitée à ce seul pays...

 

Coeur, Du Sang, Organe, Humain, Battre

L'angoisse de l'attente

Des milliers de patients subissent toujours l'angoisse de l'attente, alors qu'on sait que chaque jour passé sur la liste dans l'espoir d'une greffe est une perte de chance. Chaque jour, des hommes, des femmes et des enfants meurent faute d'avoir pu être transplantés à temps, alors que la médecine aurait été en mesure de les sauver. On dénombrait encore 590 patients dans ce cas en France, en 2017 et rien n'indique que les choses se soient améliorées aujourd'hui.

Une pratique bien encadrée

En France, le don d'organes et de tissus est régi par les lois de bioéthique. Elles sont somises à trois grands principes : le consentement présumé, la gratuité du don et l’anonymat entre le donneur et le receveur.

  • Principe du « consentement présumé » : la loi indique que nous sommes tous donneurs d’organes et de tissus, sauf si nous avons exprimé de notre vivant notre refus de donner (soit en informant ses proches, soit en s’inscrivant sur le registre national des refus).
  • Principe de gratuité : le don d’organes est un acte de générosité et de solidarité entièrement gratuit. La loi interdit toute rémunération en contrepartie de ce don.
  • Principe d'anonymat : le nom du donneur ne peut être communiqué au receveur, et réciproquement. La famille du donneur peut cependant être informée des organes et tissus prélevés ainsi que du résultat des greffes, si elle le souhaite.

Un site à visiter : www.dondorganes.fr

Les cancers du larynx et de l'ovaire provoqués par l'amiante reconnus comme maladie professionnelle

 

Cette décision doit permettre aux malades "de bénéficier de meilleures possibilités d'indemnisation et d'accompagnement", selon un décret paru au Journal Officiel. 

Selon France Info : 

C'est une décision qui doit permettre aux malades "de bénéficier de meilleures possibilités d'indemnisation et d'accompagnement". Les cancers du larynx et de l'ovaire, provoqués à la suite d'"inhalation de poussières d'amiante", sont désormais reconnus en maladies professionnelles, selon un décret publié dimanche 15 octobre au Journal Officiel. "Les travailleurs éligibles peuvent se rapprocher de leur caisse primaire d'assurance-maladie pour déposer une demande d'indemnisation et obtenir une reconnaissance de leur pathologie en maladie d'origine professionnelle", prévoit le texte.

Dans une enquête publiée en septembre 2022, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) relevait que les cancers du larynx et de l'ovaire sont "sous-déclarés et sous-reconnus", quand ils sont liés à une exposition professionnelle à l'amiante. Première cause de cancers d'origine professionnelle

L'amiante, utilisé pendant plusieurs décennies au cours du XXe siècle dans la construction de bâtiments, est désormais interdit dans de nombreux pays comme la France. Son lien avec les cancers du larynx ou de l'ovaire.................... Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/sante/affaires/scandale-de-l-amiante/les-cancers-du-larynx-et-de-l-ovaire-provoques-par-l-amiante-reconnus-en-maladie-professionnelle_6123660.html

 

Danger Amiante, Panneau, Travaux