Guerre au Proche-Orient : le ministre de la Défense israélien dévoile son plan pour l'après-guerre à Gaza

 

Selon France Info : 

Un plan qui doit encore recevoir l'aval du gouvernement, divisé sur cette épineuse question. Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, a dévoilé jeudi 4 janvier au soir ses projets au sujet de l'après-guerre à Gaza. Ce plan prévoit que les opérations "se poursuivent" jusqu'au "retour des otages", au "démantèlement des capacités militaires et de gouvernance du Hamas" et à "l'élimination des menaces militaires".

Après quoi s'amorcera une nouvelle phase, celle du "jour d'après" la guerre. "Les habitants de Gaza sont Palestiniens. Par conséquent, des entités palestiniennes seront en charge, à la condition qu'il n'y ait aucune action hostile ou menace contre l'Etat d'Israël", a assuré le ministre de la Défense. ............... Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/guerre-au-proche-orient-le-ministre-de-la-defense-israelien-devoile-son-plan-pour-l-apres-guerre-a-gaza_6283755.html

Savez-vous vraiment combien gagnent les chefs d’entreprise de TPE et de PME ?

 

Avec Orange.fr

Portefeuille, En Espèces, Poche

Selon une étude, menée par la confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), un dirigeant sur cinq a un salaire mensuel net inférieur au Smic.

La confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) s’est intéressée aux salaires des chefs d’entreprise de TPE et de PME. Selon cette étude, relayées notamment par franceinfo et Europe 1, les trois quarts des patrons de ces entreprises gagnent moins de 4 000 euros par mois. Cette étude vise les sociétés liées à l’industrie, au bâtiment, au commerce et aux services...

Lire sur : https://actu.orange.fr/france/savez-vous-vraiment-combien-gagnent-les-chefs-d-entreprise-de-tpe-et-de-pme-magic-CNT000002bb8dy.html

Sheila : gare à cette arnaque qui usurpe le nom de la chanteuse !

 

Les réseaux sociaux ont leur lot d’arnaques. La chanteuse Sheila n’y échappe pas et alerte ses fans sur une arnaque en ligne utilisant son nom pour contacter de potentielles victimes, a-t-elle révélé sur Instagram.

Selon Orange.frEscroquer, Arnaque Aux Rencontres

"Surtout ne répondez pas". Sheila fait les frais d’un arnaqueur qui utilise son nom pour soutirer de l’argent aux fans de la chanteuse. Une arnaque assez récurrente qui utilise l’image ou le nom d’une célébrité sans son consentement afin de camoufler une escroquerie. Plusieurs d’entre elles, à l’image de Laurence Boccolini, ont déjà alerté plusieurs fois les internautes sur les réseaux sociaux....

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/societe/culture/sheila-gare-a-cette-arnaque-qui-usurpe-le-nom-de-la-chanteuse-magic-CNT000002b9NOa.html

En 2024, les trains à 1€ sont de retour dès le week-end du 6 et 7 janvier

 

Se déplacer en transports collectifs pour moins polluer, économiser de l’argent, allervoir des proches, se cultiver ou visiter l’Occitanie : grâce aux trains à 1€ tous les premiers week-ends du mois, laRégion Occitanie permettra de concrétiser quelques-uns de ces projets en 2024.  la  vente de billets à 1€ est ouverte pour les 6 et 7 janvier prochains.

 

Peut être une image de 3 personnes, train, pardessus et texte qui dit ’T 430C 7. 出 Pouchard Sébastien Région Occitanie’

Train à 1€ le 6 et 7 janvier, toutes les informations pratiques :

L’ensemble des billets de trains régionaux liO seront proposés au tarif d’1€ par personne sur l’ensemble des lignes (jusqu’à Avignon, Tarascon-sur-Rhône, Agen, Pau et Brive) et pour tous les publics.Les trajets en correspondance nécessiteront l’achat de 2 billets (1 billet à 1€ pour chaque train liO).Afin de répondre à l’affluence attendue, la SNCF augmentera le nombre de places disponibles.

 

Les billets sont à la vente, viale site internet « liO Train », aux guichets des gares d’Occitanie (hors bornes automatiques) ainsi que dans les agences de voyage SNCF agréées.

 

Pour tout renseignement, les usagers peuvent solliciter le Centre Relation Clients de la SNCF en Occitanie au 0800 31 31 31 (service et appel gratuits, du lundi au vendredi de 7h à 20h, le samedi 6 janvier de 9h à 16h et le dimanche 7 janvier de 13h à 20h) ainsi que les agents en gare.

Idées de sorties en train liO :https://www.ter.sncf.com/occitanie/decouvrir/cartes-touristiques-interactives

Stations de ski d’Occitanie desservies en train liO : https://we.tl/t-ZAZMJo6xVw

Tout savoir sur la fiche de paie

 

La fiche de paie, également appelée bulletin de salaire, est un justificatif de la rémunération que l’employeur doit obligatoirement remettre à son salarié. La loi en fixe strictement le contenu et le cadre. Quelles mentions doivent figurer sur le bulletin de salaire ? Sous quelle forme le délivrer à vos salariés ? On fait le point.

 

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Quelles sont les mentions obligatoires de la fiche de paie ?

Identité de l'employeur et du salarié

  • Nom et adresse de l'employeur
  • Numéro de la nomenclature d'activité de l'établissement d'emploi (code APE ou code NAF et Numéro d'inscription de l'employeur au répertoire national des entreprises et des établissements (numéro Siret)
  • Convention collective de branche applicable au salarié ou référence au Code du travail concernant la durée des congés payés et des délais de préavis
  • Nom et emploi du salarié et son niveau ou coefficient hiérarchique
  • Période et nombre d'heures de travail en distinguant les heures au taux normal et les heures supplémentaires et les éventuelles heures indemnisées au titre de l’activité partielle
  • Nature et volume du forfait auquel se rapporte le salaire des salariés au forfait (hebdomadaire ou mensuel en heures, ou forfait annuel en heures ou en jours)
  • Nature de la base de calcul du salaire lorsque, par exception, cette base de calcul n'est pas la durée du travail
  • Nature et montant des accessoires de salaire soumis aux cotisations salariales et patronales.

La rémunération

  • Rémunération brute du salarié (sur laquelle sont appliqués les taux des différentes cotisations et contributions sociales à la charge de l'employeur et du salarié avant déduction des exonérations et exemptions)
  • Base sur laquelle sont appliqués les taux des différentes cotisations et contributions sociales à la charge de l'employeur et du salarié avant déduction des exonérations et exemptions
  • Taux des cotisations et contributions sociales à la charge du salarié avant déduction des exonérations et exemptions
  • Nature et montant des autres versements et retenues (notamment prise en charge des frais de transport domicile-travail, etc.)
  • Montant effectivement reçu par le salarié
  • Date de paiement
  • Dates de congé et montant de l'indemnité de congés payés, lorsqu'une période de congé annuel est comprise dans la période de paie considérée.

Cotisations et contributions sociales

  • Montant des cotisations de protection sociale réunies (santé, accidents du travail et maladies professionnelles, retraite, famille et chômage)
  • Montant total des exonérations et exemptions de cotisations et contributions sociales.
  • Montant total versé par l'employeur (rémunération brute versée au salarié, cotisations et contributions à la charge de l'employeur, déduction faite des exonérations et allégements de charges sociales)
  • Montant correspondant à l'évolution de la rémunération liée à la suppression des cotisations chômage et maladie.

Net à payer et net imposable

  • Montant net à payer avant impôt sur le revenu et montant de l'impôt sur le revenu prélevé à la source.

Montant net social

  • Montant du revenu net après déduction de l’ensemble des prélèvements sociaux obligatoires (pour plus de détails sur cette nouvelle mention obligatoire à partir du 1er juillet 2023, référez-vous à l'encadré en haut de l'article).

Impôt sur le revenu

  • Montant net imposable servant de base au calcul du prélèvement à la source
  • Cumul annuel des montants nets imposables servant de base au calcul du prélèvement à la source
  • Montant de l'impôt sur le revenu prélevé à la source
  • Cumul annuel des montants de l'impôt sur le revenu prélevé à la source
  • Montant net des heures complémentaire et/ou supplémentaire exonérées
  • Cumul annuel des montants d'heures complémentaire et/ou supplémentaire exonérées.

Autres mentions

  • La mention de la rubrique dédiée au bulletin de paie sur le site service-public.fr
  • La mention indiquant que le bulletin de paie doit être conservé sans limitation de durée
  • Le nombre d’heures indemnisées en cas d’activité partielle. 

Le salarié peut contester le montant ou l'exactitude de sa fiche de paie pendant trois ans à compter de sa remise.

Quelles sont les mentions interdites sur la fiche de paie ?

  • Les informations relatives à l’exercice du droit de grève ou les fonctions de représentant du personnel.
  • La nature et le montant de la rémunération liée à l'activité de représentant du personnel doivent figurer sur une fiche annexée à la fiche de paie.

C'est à l'employeur de l'établir et de la fournir au salarié.

Dans quel ordre doivent apparaître les mentions des cotisations sociales sur un bulletin de paie ? 

En ce qui concerne les mentions des cotisations et contributions sociales, les mentions doivent figurer selon l’ordre suivant :

  • Santé (sécurité sociale-maladie, maternité, invalidité-décès, complémentaire santé etc.)
  • Accidents de travail et maladies professionnelles
  • Cotisations de retraite
  • Retraite supplémentaire
  • Allocations familiales
  • Autres contributions dues par l’employeur (transport, participation à la formation continue etc.
  • Cotisations statutaires ou prévues par la convention collective
  • CSG non imposable à l'impôt sur le revenu
  • Allégement de cotisations*
  • Montant net social (voir encadré en début d’article)
  • Total versé par l'employeur
  • Prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu.

* Depuis 2019, la réduction de cotisations salariales sur les heures supplémentaires et complémentaires doit apparaître sur le bulletin de paie.

Consultez le modèle de l'arrêté du 31 janvier fixant les libellés, l'ordre et le regroupement des informations figurant sur le bulletin de paie

Dans la section prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu doivent figurer l’assiette (base sur laquelle sont appliqués les taux des différentes cotisations et contributions), les taux et le montant de la retenue à la source opérée, ainsi que la somme qui aurait été versée au salarié en l'absence de retenue à la source.

La mention « Net à payer avant impôt sur le revenu » et la valeur associée doivent être affichées dans une police dont le corps de caractère est au moins égal à 1,5 fois celui utilisé pour les autres lignes du bulletin de paie.

Comment devez-vous remettre la fiche de paie au salarié ? 

La fiche de paie est remise au moment du paiement du salaire, en main propre, par voie postale, ou sous forme électronique. Sauf cas spécifique (voir ci-dessous) l’employeur ne peut exiger aucune formalité de signature ou d’émargement autre que celle établissant que la somme reçue correspond bien au montant net figurant sur ce bulletin.

Dans le cas où l'employeur procéderait à une transmission dématérialisée, il doit indiquer à ce dernier les conditions dans lesquelles il peut accéder à son bulletin de paie. Le salarié peut s’opposer à tout moment, préalablement ou postérieurement à la première émission de la fiche de paie sous forme électronique à condition de signaler son refus à son employeur par tout moyen lui conférant une date certaine. La demande du salarié prend effet dans les meilleurs délais et au plus tard trois mois suivant la notification.

Le salarié peut-il contester la fiche de paie ?

Le salarié peut contester la réalité du paiement de la somme indiquée ou son exactitude, même après avoir accepté la fiche de paie. Dans ce cas, l’employeur devra justifier, notamment par la production de pièces comptables, du paiement du salaire. Le salarié dispose d’un délai de trois ans pour mener une action en non-paiement de salaire devant les prud’hommes.

Inversement, un employeur peut demander le remboursement d'un salaire versé par erreur au salarié. L’employeur a également trois ans pour mener cette action.

Combien de temps la fiche de paie doit-elle être conservée ?

Le salarié doit conserver ses fiches de paie sans limitation de durée et cette précision doit apparaître clairement sur ce document.

L’employeur doit quant à lui conserver un double des fiches de paie pendant au minimum cinq ans, éventuellement sur support informatique si les garanties de contrôle sont équivalentes à celles du support papier. De plus, l'employeur doit garantir la disponibilité au salarié de la fiche de paie émis sous forme électronique, pendant 50 ans ou jusqu’aux 75 ans du salarié.

Comment bénéficier de l'aide à l'embauche d'un alternant ?

 

Depuis le 1er janvier 2023, les entreprises qui recrutent des alternants (apprentis et jeunes en contrat de professionnalisation) peuvent bénéficier d'une aide allant jusqu'à 6 000 €. Comment fonctionne cette aide ? Toutes les entreprises peuvent-elles en bénéficier ? On fait le point.

 

Bureau, Travailler, Ordinateur

Qu'est-ce-que l'aide à l’embauche d'un alternant ?

Il s'agit d'une aide pour accompagner financièrement les employeurs qui recrutent en contrat d'apprentissage.

Cette aide prend la suite de celle qui était applicable jusqu'au 31 décembre 2022, et est disponible pour les contrats d’apprentissage conclus entre le 1er janvier et le 31 décembre 2023.

Quels professionnels peuvent bénéficier de cette aide ?

Tous les employeurs d’apprentis et de salariés en contrat de professionnalisation (entreprises, associations…) peuvent bénéficier de cette aide. 

Des conditions supplémentaires s'appliquent aux entreprises de plus de 250 salariés (voir le détail ci-après).

Quel est le montant de l'aide ?

Le montant de l'aide s'élève à 6 000 € maximum.

Notez qu'elle n'est octroyée que pour la première année du contrat.  

Quelles sont les conditions pour en bénéficier ?

Pour bénéficier de l'aide, il est nécessaire de remplir plusieurs conditions :

  • le contrat doit être un contrat d'apprentissage ou de professionnalisation
  • le contrat doit être conclu en 2023
  • le contrat de professionnalisation doit être conclu avec un salarié de moins de 30 ans
  • l'alternant doit préparer un diplôme ou un titre à finalité professionnelle équivalant au moins au niveau 5 et au plus au niveau 7 du cadre national des certifications professionnelles.

Comme l'indique le décret n°2022-1714 du 29 décembre 2022, pour les entreprises de plus de 250 salariés, il est nécessaire de remplir - en plus des conditions citées ci-dessus - l'une des deux conditions suivantes :

  • atteindre au moins 5 % de contrats favorisant l'insertion professionnelle (contrat d’apprentissage, contrat de professionnalisation, etc.) dans l’effectif salarié total annuel, au 31 décembre 2024. Ce taux de 5 % est égal au rapport entre les effectifs relevant des contrats favorisant l’insertion professionnelle et l’effectif salarié total annuel de l’entreprise
  • ou atteindre au moins 3 % d'alternants (contrat d'apprentissage ou de professionnalisation) et avoir connu une progression de 10 % d'alternants au 31 décembre 2024, comparativement à l’effectif salarié annuel relevant de ces catégories (contrats d’apprentissage et contrats de professionnalisation) au 31 décembre 2023.

Pour ces entreprises de plus de 250 salariés, si les objectifs exposés ci-dessus ne sont pas atteints, les sommes perçues devront être remboursées.

Comment en bénéficier ?

Aucune démarche ni demande particulière n'est nécessaire pour en bénéficier.

Il suffit de déclarer l'embauche d'un apprenti (voir le détail ci-dessous).

Comment l'aide est-elle versée ?

L'aide est versée de façon automatique et mensuellement avant le paiement du salaire.

Vous devez penser à transmettre les contrats d’apprentissage ou de professionnalisation à l’Opérateur de Compétences (OPCO) compétent dans votre domaine / secteur d’activité pour instruction, prise en charge financière et dépôt de ces contrats auprès des services du ministère en charge de la formation professionnelle (DECA).

 

Flash : Abbaye de Valmagne, décès de la baronne Diane de Gaudart d’Allaines

 

La baronne Diane de Gaudart d’Allaines, descendante du Conte de Turenne, est décédée après avoir consacré sa vie à se soucier de la rénovation de l'abbaye de Valmagne, près de Villeveyrac.

 

Pour des raisons familiales l'abbaye sera fermée ce jeudi 4 janvier jusqu'à 14 h.

Tout savoir sur la famille : https://www.valmagne.com/la-famille/

Née à Montpellier le 7 Juin 1929. Diane Fabreluce, fille de Suzanne Portalis et de Pierre Fabreluce, sixième propriétaire de la lignée de Turenne. Est devenue par mariage Baronne Michel de Gaudart d’Allaines. Elle aura un fils; Philippe de Gaudart d’Allaines.

Quand Diane d’Allaines reprend Valmagne, le domaine est très dégradé. Elle relancera le domaine viticole en vendant une de ses propriétés. Afin de financer les restaurations nécessaires mais aussi pour faire découvrir ce monument exceptionnel, Diane d’Allaines décidera d’ouvrir les lieux à la visite. Toujours dans une dynamique de remise en état de l’Abbaye, il va être lancé les premières expositions, et les premiers concerts.
Une des premières campagne de restauration que Diane d’Allaines entreprit sera de refaire toutes les toitures: 20 000m²! Dans un second temps, le sol du cloître sera refait ainsi que les terrasses de l’église avec l’aide de la « Fondation de France ». D’autres changements voient le jour, comme la rénovation de la cave de vinification.
En l’an 2000 vont être inaugurées les nouvelles cloches, les précédentes ayant été fondues à la révolution française. Cette même année sera inauguré le jardin médiéval. En 2006, le pavage de l’Église sera refait en pierres. Le sol était en terre battue depuis la Révolution française. Avec l’aide de son fils, Philippe, les arcs boutants de l’église seront restaurés entre 2002 et 2012; c’est la plus importante campagne de travaux effectuée sur l’abbaye.

Les derniers travaux réalisés, toujours sous l’influence de Diane et Philippe d’Allaines, concernent les sols de la salle capitulaire et du parloir terminés en 2015.

"Shrinkflation" : le gouvernement veut rendre plus explicite la hausse des prix

 

La guerre contre la "shrinkflation" (ou "réduflation") monte d'un cran. Le gouvernement français a soumis à Bruxelles un projet d'arrêté contraignant les supermarchés à expliciter davantage les situations dans lesquelles les quantités d'un produit sont réduites avec un prix inchangé, voire plus élevé. Objectif : éviter quelques mauvaises surprises aux consommateurs, à défaut de pouvoir faire baisser les prix.

 

Graphique, Croissance, La Finance

Selon France Info :

Le ministère de l'Economie travaille sur un texte, pour le mois de mars, afin de "répondre à la demande des consommateurs d'être mieux informés en cas de 'shrinkflation' sur certains produits", a fait savoir, mardi 2 janvier, le cabinet de la ministre déléguée notamment au Commerce, Olivia Grégoire. L'arrêté est soumis à Bruxelles pour vérifier la conformité avec une directive européenne de 2015 sur la transparence des règles techniques.

Vers une mention "visible, lisible"

Le gouvernement prévoit d'imposer aux supermarchés de faire figurer, sur les références ayant fait l'objet d'une réduction des portions, la mention suivante : "pour ce produit, la quantité vendue est passée de X à Y et son prix au (préciser l'unité de mesure concernée) a augmenté de ...% ou ...EUR".....

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/economie/shrinkflation-le-gouvernement-veut-rendre-plus-explicite-la-hausse-des-prix_6280281.html

Crues : trois nouveaux départements de l'Est placés en vigilance orange, le Pas-de-Calais maintenu en vigilance rouge

 

Selon France Info :

Arbre, La Nature, Eaux, Couler, Paysage

Au total, six départements sont placés en vigilance orange aux "crues".

Ce qu'il faut savoir

Les Ardennes, la Meuse et la Moselle rejoignent le Finistère, le Nord et la Meurthe-et-Moselle en vigilance orange aux "crues", selon un nouveau bulletin de Météo-France, publié mardi 2 janvier à 22 heures. Le  Pas-de-Calais reste placé en en vigilance rouge aux "crues". La vigilance rouge est valable dès maintenant et va se poursuivre demain, selon Météo-France.............

En savoir plus : https://www.francetvinfo.fr/meteo/crues-le-pas-de-calais-place-en-vigilance-rouge-le-finistere-le-nord-et-la-meurthe-et-moselle-en-orange_6278742.html

Les dates des soldes d'hiver en 2024

 

Les dates des soldes sont fixées, pour chaque saison, par la loi. Retrouvez le calendrier des soldes d'hiver en 2024, selon votre lieu de résidence.

Quelle est la date des soldes d'hiver en 2024 ?

Graphique, Pourcentage, Diagramme

Dans la majorité des départements métropolitains, la date du début des soldes est fixée au mercredi 10 janvier 2024 à 8 heures du matin.

La durée de chaque saison de soldes est fixée à quatre semaines. La date de fin des soldes d'hiver est donc le mardi 6 février 2024.

Ces dates sont déterminées conformément à l’arrêté du 27 mai 2019 fixant les dates et heures de début des soldes et à l'article L. 310-3 du code de commerce.

Dans certains départements métropolitains, et départements et collectivités d'outre-mer, il existe des dates de démarrage différentes pour les soldes d'hiver 2024 :

  • Meurthe-et-Moselle (54) : à partir du mardi 2 janvier
  • Meuse (55) : à partir du mardi 2 janvier
  • Moselle (57) : à partir du mardi 2 janvier
  • Vosges (88) : à partir du mardi 2 janvier
  • Guadeloupe (971) : à partir du samedi 6 janvier
  • La Réunion (974) : à partir du samedi 7 septembre
  • Saint-Pierre-et-Miquelon (975) : à partir du mercredi 17 janvier
  • Saint-Barthélemy (977) : à partir du samedi 4 mai
  • Saint-Martin (978) : à partir du samedi 4 mai

Les soldes ont lieu là aussi pour une durée de quatre semaines.

En savoir plus sur les soldes

Ce que dit la loi