CAP JEUNES – « Transforme ton rêve en réalité »
CAP JEUNES soutient les projets et les initiatives jeunes ! Inscrivez vous en ligne pour participer à l’ATELIER « TRANSFORME TON REVE EN REALITE » ce mercredi 12 mai 2021 de 14h à 16h à l’Espace Jeunes Citoyens de Pierresvives.
CAP JEUNES
Vous êtes domicilié(e)s dans l’Hérault, agé(e)s de 11 à 26 ans et vous avez un projet. Cap jeune soutient les projets et les initiatives jeunes dans des domaines variés : environnement, social, sport, culture, animation, etc.
- Cap jeune collectif est un accompagnement et un soutien financier pour les projets collectifs.
- Cap jeune individuel est un accompagnement et un soutien financier pour un projet porté par un(e) jeune.
- Cap jeune individuel plus est un soutien financier pour le passage d’un brevet non professionnel, pour des jeunes impliqués dans une association, qui souhaitent développer leurs compétences et prendre davantage de responsabilité.
Une idée de projet ? Vous pourrez la structurer en participant à l’ATELIER « TRANSFORME TON REVE EN REALITE » du 12 mai 2021 de 14h à 16h à l’Espace Jeunes Citoyens de Pierresvives. 6 places sont disponibles pour ce créneau en présentiel. Si le nombre de participants est supérieur à 6, une autre session aura lieu pour les accueillir.
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Retrouvez le replay de la session publique départementale du 10 mai
L’Assemblée départementale s'est réunie à l’Hôtel du Département de Montpellier, au Salon Jean Bène le lundi 10 mai.
Parmi les points à l’ordre du jour :
Agriculture : Fonds d’aide exceptionnel suite à la gelée noire
Routes Mobilités : présentation du plan routes et biodiversité, du projet vélo solidaire et écologique Recyclo, de l’espace pédagogique moto, de charte de participation du public, de la stratégie d’entretien des routes…
Communes : plus de 9 M€ d’aides aux communes pour des projets d’aménagement structurants des territoires, centres anciens, voirie, patrimoine, équipements scolaires, touristiques…
Soutien à la jeunesse : cap jeunes, actions de prévention santé, éducation populaire, partenariat de proximité…
Littoral : un nouveau contrat de filière conchylicole 2021-2023
Autonomie : mise en oeuvre de la démarche Réponse accompagnée pour tous (RAPT)
Culture : renouvellement du partenariat Lire à la Mer, subventions pour des projets culturels
Sports : aides aux écoles de sport, au sport de haut niveau, aux sites de pleine nature et équipements sportifs…
La session publique a lieu en respectant les mesures barrières, de distanciation physique, ainsi que le port du masque.
Déconfinement : le calendrier se précise pour les commerces, cafés et restaurants
Pixabay
Les services de Premier ministre ont annoncé ce lundi 10 mai les prochaines étapes du déconfinement.
Le calendrier de déconfinement se précise. Les cafés, bars et restaurants pourront rouvrir leurs terrasses dès le 19 mai partout en France, pour des tablées de six convives. Leurs salles pourront quant à elles ouvrir le 9 juin, en se limitant à la moitié de leur capacité, comme l'ont annoncé ce lundi 10 mai les services du Premier ministre.
"Nous sommes enfin en train de sortir durablement de cette crise sanitaire", déclare en même temps le chef du gouvernement français Jean Castex, dans un entretien au quotidien Le Parisien.
Une jauge qui disparaît le 30 juin
Les professionnels espéraient que certains territoires, aux indicateurs sanitaires meilleurs qu'ailleurs, seraient exemptés de cette jauge de 50%, alors que seuls 40% de ces établissements disposent d'une terrasse, et que les touristes étrangers, comme la clientèle d'affaires, ne seront pas de retour cet été.
En savoir plus : https://actu.orange.fr/france/deconfinement-le-calendrier-se-precise
HOMMAGE AUX POLICIERS MORTS POUR LA FRANCE
Aujourd'hui, à 11h30 , malgré une pluie battante, l'hommage aux policiers morts pour la France , s'est déroulé dans l'enceinte de l'Hôtel de Police de Montpellier., sous l'autorité de M.Jacques WITKOWSKI, Préfet de l' Hérault et de M. Yannick BLOUIN , Directeur Départemental de la Sécurité Publique de l'Hérault .
Les différents services de la Direction Départementale étaient représentés, avec les gradés et Commissaires , à leur tête , dans un ordre impeccable , stoiques sous la pluie.
Monsieur le Préfet a rappelé que 167 fonctionnaires de Police avaient été tués au cours de la libération de PARIS , n'oubliant pas les nombreux résistants parmi les policiers qui ont disparu, en déportation ou lors de leurs arrestations.
Il a cité un à un les fonctionnaires tués en service , au cours de l'année écoulée , sans oublier Stéphanie Montfermé , tuée récemment par un terroriste et a rappelé , l'hommage de la Nation qui sera rendu le 11 mai en AVIGNON , au brigadier Eric MASSON , mort en service , par balles, tirées par un « dealer ».
Une gerbe des anciens combattants du Ministère de l'Intérieur ( AACRMI ) a été déposée par Henri SABATIER, vice président de la section AACRMI (Gard,HéraultVaucluse ) suivie par celles des parlementaires , conseillers généraux, Maires de l'Hérault.,et celle de Monsieur le Préfet de l'Hérault.
L' Hymne national , repris en choeur par les participants a clôturé la cérémonie et tous ont été invités à saluer les porte-drapeaux ( ceux des deux ordres nationaux ,la Médaille Militaire , l'UNC , la Légion Etrangère et le drapeau de la Direction Départementale de la Police ).
Texte :: H.SABATIER
photos : Mme ABEN ( Légion d'Honneur )
Entretien politique Avec Christophe Euzet Député Agir de la 7eme Circonscription de l’ Hérault
Entretien politique Avec Christophe Euzet Député Agir de la 7eme Circonscription de l’ Herault
Comment percevez-vous l’échéance électorale qui approche ?
"Je fais partie de ceux qui n’étaient pas favorables au maintien de ces élections. Les gens ont autre chose en tête. Mais les vieux partis ont milité pour qu’il en aille autrement. Dont acte."
On vous disait partant aux départementales dans les PO. Qu’en est-il ?
"J’avais dit qu’il était possible que j’y sois candidat en effet, dans la mesure où le Premier ministre et le ministre de l’attractivité économique des territoires, Franck Riester (pour Agir), m’avaient demandé de suivre l’affaire de près, pour contribuer à une éventuelle union élargie entre les forces du centre et de la droite, autour de la majorité, cela afin de freiner l’ascension du rassemblement national. Etant donné que ce rapprochement s’est avéré impossible et que je n’ai plus aucune valeur ajoutée à apporter à la situation qui se dessine désormais, je ne serai pas candidat aux prochaines élections départementales."
Les pourparlers ont échoué ?
"Il est impossible de discuter sérieusement avec une formation au sein de laquelle les gens ne représentent plus qu’eux-mêmes et qui n’a plus aucune ossature. Le parti LR est coupé en deux mais refuse obstinément de disparaître. Il existe pourtant bien, en son sein, deux tendances politiques fondamentalement opposées : celle qui s’approche de nos idées (européistes, humanistes, libérales, réformistes) et celle qui n’a plus aucune réticence à s’associer aux thèses extrêmes du RN. Avec les seconds, nous n’avons rien à nous dire. Mais quand on discute avec les premiers, les seconds sont toujours en embuscade, prêts à s’associer avec le RN pour conquérir les postes de pouvoir ; au final, on sait jamais vraiment à qui l’on s’adresse. Pas question de s’accorder avec un parti qui ne contrôle plus la moitié (au moins) de ses troupes."
De l’extérieur, on le perçoit pourtant moins nettement que ce que vous en dites…
"On en a l’illustration un peu partout, et cette fois, je parle du pays tout entier, mais surtout de l’Hérault où je suis bien sûr très impliqué. Les partis d’ancien régime, comme Les Républicains ou les socialistes, fonctionnent encore selon les mêmes méthodes qui ont conduit à leur éviction du pouvoir en 2017. La navigation sous-marine, les louvoiements, l’esquive, la stratégie du pourrissement, des paroles non tenues, le sort réservé à des personnes qui se sélectionnent elles-mêmes au coeur d’un microcosme de la taille d’une cabine téléphonique, sont systématiquement privilégiés aux idées, aux programmes et au devenir des gens et des territoires qu’ils sont censés représenter… Ils n’ont absolument rien retenu de la leçon électorale qu’ils ont reçue en 2017 et espèrent toujours, c’est en cela qu’ils sont réellement conservateurs, le retour de l’ancien temps, celui dans lequel ils régnaient paisiblement… Ce temps-là vit pourtant aujourd’hui sa dernière représentation."
Pourquoi la majorité ne parvient-elle pas à s’implanter localement dans ces conditions ?
"D’abord, bien sûr, parce qu’une implantation locale demande par nature beaucoup de temps : ceux qui sont là depuis longtemps s’accrochent de toutes leurs forces aux réseaux
de tous les gens qui leur sont redevables. Ils veulent rester à la barre et sur le pont du navire, même s’il s’agit du Titanic. Après eux, le déluge. Mais cela tient également à des raisons structurelles, sur lesquelles chacun devrait s’interroger, dans la majorité, bien sûr, mais bien au-delà."
C’est-à-dire ?
"Il faut porter un regard lucide sur ce qui se passe dans notre pays depuis quelques années et commencer à nous projeter collectivement vers l’avenir. Voici la lecture que j’en ai : lorsque nous sommes arrivés en 2017, nous étions en quelque sorte des «représentants des gilets jaunes avant l’heure ».
Mais encore ?!
"Je veux dire par-là qu’en nous portant au pouvoir, les français ont manifesté la volonté claire de rompre avec la classe politique en place. Or, depuis ce moment, toute l’infrastructure résiste de toutes ses forces pour rétablir l’ordre ancien."
Précisez…
"L’arrivée de députés issus de la société civile à l’assemblée nationale a provoqué une hostilité immédiate de la haute administration centrale, qui nous a perçus comme un corps étranger, donc à combattre. La grande bureaucratie parisienne a vu en nous un danger immédiat et s’est refermée sur elle-même pour se préserver. Les formations politiques traditionnelles ont tiré à boulets rouges sur ces nouveaux venus indésirables qui avaient renversé la table et pris ce qu’ils considéraient comme leur propriété. Les élus territoriaux ont eu la même réaction, dans une configuration différente, mais tout aussi violente. Les baronnies locales ont tremblé sur leurs bases et n’ont eu de cesse de décrédibiliser l’action des intrus et de mettre à bas toutes les tentatives de réformes institutionnelles. L’idée a été martelée et relayée sans relâche, que les nouveaux venus étaient incompétents : un vrai travail de sape orchestré par les extrêmes (LFI, RN) et relayé par ceux qui avaient été évincés (LR, PS)… sans aucune conscience du choix des électeurs et sans aucun sens des responsabilités au regard du devenir du pays."
C’était le cas ?
"Pas du tout. Être novice signifie être inexpérimenté : en aucun cas que l’on est mauvais ou incompétent. Or, c’est sur cette confusion qu’a joué tout le système. Il y avait peut-être, comme partout, des éléments un peu plus fragiles que d’autres, mais pas plus qu’ailleurs (et en tout état de cause, pas plus qu’avant !). Globalement, la majorité parlementaire est composée de gens tout à fait capables d’exercer les compétences pour lesquelles ils ont été élus.
Pourquoi cet acharnement alors ?
C’est là que se situe la vraie question, celle du déni du vote populaire et de la confiscation de la démocratie. Le système s’est tout entier mobilisé pour ne pas permettre l’éclosion d’un nouveau personnel politique et pour refuser le changement appelé de ses voeux par le peuple français."
C’est de bonne guerre, non ?
"Oui et non. Les vieux partis se sont sentis expropriés, ils ont réagi avec hostilité pour récupérer ce qu’ils considéraient comme leur dû. Cela, si j’ose dire, est à peu près normal
en politique. Ce qui est plus ennuyeux, c’est qu’ils ne proposent depuis lors qu’un retour à « la normale », c’est-à-dire à la situation « d’avant » notre arrivée."
Et?
"Eh bien, cela est un pur déni de démocratie. Le peuple a voté pour que les choses changent fondamentalement : surtout pas pour qu’elles redeviennent « comme avant ». Et l’on sait très bien, au regard de l’histoire, ce qui se passe quand un système refuse obstinément ce que lui demande la société. Elle se crispe, se tend, jusqu’à l’implosion et l’ouverture de périodes troublées. J’ai souvent l’impression que nous sommes dans les années 1780… On ne peut pas refuser durablement aux peuples ce qu’ils appellent de leurs voeux."
Comment voyez-vous l’avenir dans ce contexte ?
"Nous allons vivre une nouvelle consultation électorale en trompe l’oeil : les formations politiques comme « les républicains » à droite ou « le parti socialiste » à gauche, n’en finissent pas de mourir et vont probablement, pour la dernière fois, tirer un menu avantage de leur implantation historique. Certains vont même penser (ils le pensent déjà, à tort) que la parenthèse réformiste va se refermer (ils s’en réjouissent parfois par avance, sans aucune modestie). Mais comme les partis traditionnels sont par ailleurs dans l’impossibilité totale de renouveler leur personnel politique (aujourd’hui vieillissant et famélique) et qu’ils n’offrent plus la moindre perspective ou un quelconque projet de société (au-delà des seules personnes qu’ils ont vocation à promouvoir), ils vont assurément concéder beaucoup de terrain aux votes qui incarnent les nouvelles utopies (l’écologie politique irraisonnée, chez EELV) ou les anciennes (la solution nationaliste, qui est incarnée par le Rassemblement National, n’apporte pourtant de son côté aucune solution concrète aux problèmes qu’elle dénonce…)."
Et la majorité dans tout cela ?
"Le moment est peu propice à son renforcement aux départementales, où les appareils résistent au changement en s’appuyant sur leurs réseaux de maires. Son sort sera probablement plus confortable aux régionales, où des candidatures comme celles de Vincent Terrail-Novès trouveront j’en suis sûr leur public d’électeurs. Mais l’heure de grâce de la majorité reviendra très bientôt : en 2022, le pays devra une nouvelle fois se choisir un avenir. Historiquement, le retour à un point zéro est rarissime. On ne revient jamais au de départ. Le retour aux « vieux partis » et à leurs méthodes passéistes est donc très peu probable ; il n’apporterait de toute façon qu’un nouvel engrais à la crise majeure qui nous menace, car ils n’ont rien d’autre à proposer que de conserver leur personnel politique obsolète. Le « fascisme vert » ne saurait constituer un projet de société crédible : le retour à la calèche, séduisant dans l’absolu, peinera toujours à convaincre le grand nombre d’un peuple avide de progrès. Le « fascisme rouge », lui, ne mérite même plus que l’on commente ses dérives bien connues."
Restera le RN alors ?
"Il restera, bien sûr, le Rassemblement national. Il n’a lui non plus aucune vision d’avenir : seulement des perspectives politiques individuelles pour une bonne partie des LR d’aujourd’hui (les autres nous rejoindront au centre démocratique) et des formules passe-partout pour conquérir les électeurs à moindre frais ... Le RN repose uniquement sur l’idéalisation du passé et le recours à des fantasmes qui ne nous apporteraient assurément rien de bon, notamment celui du repli souhaité sur un pays-confetti (l’hexagone), à l’heure
des mastodontes (USA, Russie, Chine…). Comment croire sérieusement que l’on puisse être plus fort tout seul ? Mais le fantasme a toujours sa part de rêve, il est attractif et il faudra lui opposer un réalisme de chaque instant. Voilà le combat de demain, vers lequel nous précipitent sans ménagement les manoeuvres grossières du parti LR aujourd’hui, qui prétend ne se distinguer du RN que par son aptitude à gouverner… Le voile se lève !"
Il vous restera quand même une carte à jouer ?
"Il restera une place prépondérante, oui, pour ceux qui défendent les vertus de la démocratie, les valeurs d’une Europe forte, d’une société orientée vers le progrès maîtrisé, du retour de l’humain au coeur de la vie sociale et l’importance des grands projets d’avenir, comme celui de la conquête spatiale. Pour ceux, en d’autres termes, qui veulent faire avancer notre pays et non pas le détruire afin de régner sans concurrence sur un champ de ruines. Tous ceux-là trouveront leur électorat en 2022, j’en suis persuadé."
Cela signifie-t-il que vous serez, personnellement, candidat à votre succession ?
"Cela signifie que ceux qui nous enterrent déjà vont un peu vite en besogne et qu’ils connaissent mal les enseignements de l’Histoire. Cela signifie également qu’ils sous-estiment gravement notre capacité de résistance et qu’il n’ont pas encore compris la volonté profonde de changement exprimée par les français en 2017, qu’ils s’emploient de toutes leurs forces à refuser. Nous sommes au travail. Plus que jamais. Au service de nos compatriotes. Pour leur avenir et celui de nos enfants. Pas pour rétablir les privilèges de ceux qui nous ont précédés. Je prendrai ma part dans ces combats : il nous faudra dominer les extrêmes en mettant à bas une deuxième fois le monde politique d’ancien régime qui refuse de regarder l’avenir en face, en espérant que ce sera la dernière. Le coup de pied dans la fourmilière en 2017 n’a pas suffi. Il faudra renouveler l’assaut en 2022. Et s’assurer, cette fois, que ce sera le bon !"
Mesures pour le sport du lundi 3 au mardi 18 mai inclus
Les mesures sont valables du 3 au 18 mai inclus
- Éducation Physique et Sportive
Pour le scolaire et le périscolaire, reprise des activités dans les équipements sportifs en intérieur (piscines comprises).
- Espace public
Dans l’espace public, je fais du sport individuellement, uniquement entre 6 h et 19 h sans restriction de déplacement, sans contact et sans limitation de durée.
- Pratique encadrée
Je peux pratiquer de manière encadrée, par mon club ou une structure commerciale, entre 6 h et 19 h, sans contact et sans limitation de durée, dans l’espace public (6 personnes maximum) sans restriction de déplacement, dans les équipements sportifs de plein air sans restriction de déplacement, sans limitation de nombre mais dans le respect des protocoles.
- Équipements de plein air
Je peux aller pratiquer mon sport entre 6 h et 19 h dans un équipement sportif de plein air (stade, piscine découverte, tennis, golf… ) sans restriction de déplacement, ni limitation de durée et sans contact.
LUNDI 10 MAI : SUIVEZ EN DIRECT LA SESSION PUBLIQUE DU CONSEIL DÉPARTEMENTAL
Covid-19 : moins de 5.000 patients en réanimation
À quelques semaines du déconfinement, la tension s'est un peu relâchée dans les services de réanimation, où moins de 5.000 patients sont admis à cause du Covid-19.
La France semble sur la bonne voie, à l'approche du déconfinement. Le nombre de malades du Covid-19 recensés dans les services de réanimation continue de reculer lentement, passant sous la barre des 5.000, et le nombre des admissions dans les hôpitaux décroit plus nettement, selon les chiffres de Santé publique France publiés dimanche 9 mai.
Les services de soins critiques (qui rassemblent réanimation, soins intensifs et surveillance continue) accueillaient 4.971 personnes, contre 5.005 samedi et 5.106 vendredi.............
En savoir plus : https://actu.orange.fr/france/covid-19-moins-de-5-000-patients-en-reanimation-magic
Doutes autour du référendum sur le climat, l'Elysée dit vouloir toujours modifier la Constitution
L'interview d'un député LREM au Journal du Dimanche et les informations de ce journal sur un renoncement d'Emmanuel Macron à organiser un référendum sur la protection du climat ont suscité de nombreuses réactions dimanche, l'Elysée assurant ne pas renoncer à l'ambition de modifier la Constitution.
Les conditions d'un référendum sur le projet inscrivant la protection du climat dans la Constitution "ne sont pas réunies", estime dans le JDD le député LREM Pieyre-Alexandre Anglade.
Plusieurs responsables à droite et à gauche ont réagi en rejetant la faute de cet échec annoncé d'Emmanuel Macron sur le président lui-même, avant que l'Elysée, interrogé par l'AFP, n'assure que la modification de l'article premier de la Constitution pour y intégrer la protection du climat n'était "en rien enterrée".
Le Sénat contrôlé par la droite, et qui examine lundi le texte déjà voté par l'Assemblée nationale, "a fait le choix de vider de sa substance la proposition de la convention citoyenne pour le climat (CCC), et donc d'empêcher l'accord", accuse le député Anglade.
AAH, prime d’activité et RSA : les nouveaux montants publiés au Journal officiel
Allocation aux adultes handicapés (AAH)
Le montant de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) est augmenté de 0,1 %. Le montant mensuel de l’AAH est porté à 903,60 € (contre 902,70 € auparavant).
L’AAH a pour objet de garantir un revenu minimum aux personnes handicapées pour qu’elles puissent faire face aux dépenses de la vie courante. L’allocation est attribuée à partir d’un certain taux d’incapacité, sous réserve de remplir des conditions de résidence, d’âge et de ressources. Son montant varie en fonction de la situation de la personne handicapée (sans ressources, bénéficiaire d’une pension ou d’une rente, etc.). Ainsi, une personne ne disposant d’aucune ressource peut percevoir le montant maximum de l’AAH.
Prime d’activité
Le montant de la prime d’activité est augmenté de 0,1 %. Le montant forfaitaire mensuel de la prime d’activité applicable à un foyer composé d’une seule personne est égal à 553,71 € (contre 553,16 € auparavant). Ce montant est applicable aux primes calculées pour déterminer le montant dû au titre du mois d’avril 2021.
Cette prime a pour objet d’inciter les travailleurs (salariés ou non salariés) aux ressources modestes, à exercer ou reprendre une activité professionnelle et à soutenir leur pouvoir d’achat. Il faut avoir plus de 18 ans pour prétendre à cette aide sociale.
Revenu de solidarité active (RSA)
Le montant du RSA est augmenté de 0,1 %. Le montant forfaitaire mensuel du revenu de solidarité active pour un allocataire est de 565,34 € (contre 564,78 € auparavant) à compter des allocations dues au titre du mois d’avril 2021.