Dispositif d’accueil des déplacés ukrainiens dans l’Hérault
D'après le dictionnaire, la doula est la femme qui accompagne et soutient une femme enceinte et son entourage avant, pendant et après l'accouchement. Il s'agit d'un terme qui a d'abord été utilisé au Maghreb et qui tend à se répandre en France. A la différence de la sage-femme, la doula n'est pas diplômée.
C’est en Israël en 2010 qu'il faut recherche l'origine de cette journée et plus précisément auprès de Ruti Karni Horowitz. L’événement a rapidement connu un succès important et Ruti a suggéré alors qu’il devienne un événement international afin de célébrer les doulas tout autour du monde. La journée mondiale des doulas été née. Il a rapidement été décidé de l'élargir à la semaine entière, du 22 au 28 mars.
Cette date a été retenue car le 22 mars correspond au lendemain de l'équinoxe, et symbolise le retour de la fertilité dans de nombreuses cultures.
L'objectif visé par la Semaine Mondiale Des Doulas est de faire connaître ce "métier" et donner aux doulas du monde entier les moyens d’améliorer la santé physiologique, sociale, émotionnelle et psychologique des femmes, des nouveau-nés et des familles au moment de la grossesse, de la naissance et du post-partum.
Elles travaillent dans de nombreuses directions, telles que :
Un site à visiter : doulas.info
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Transports
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De Mohamed El Aboudi - Finlande / France / Maroc / États-Unis - 2022 - 1h18 Documentaire - VOSTF
Au Maroc, 15 ans de sécheresse ont forcé les nomades à abandonner leur mode de vie. La tribu des Oulad Boukais, habituée aux vastes espaces des plateaux du Haut Atlas, s’est sédentarisée ; elle résiste encore et doit réinventer un avenir pour ses enfants. L’école posée en plein désert et un nouvel instituteur incarnent l’espoir…Pendant plus de trois ans, l’école de l’espoir suit le destin de Mohamed, de Miloud, de Fatima et de leurs camarades de classe qui répondent avec une joie enfantine au jeune enseignant altruiste de l’école. Chaque enfant est confronté à des obstacles individuels : soutenir des parents vieillissants ou éviter les restrictions de la famille basées sur les rôles traditionnels des sexes… l’école de l’espoir transmet la passion et l’engagement d’une tribu qui défie les obstacles de l’environnement et de l’indifférence. Il raconte l’histoire de cette école et des familles qui l’ont construite.
De Simon Panay - France / Burkina-Faso - 2022 - 1h16 - Documentaire VOSTF
Opio, un adolescent du Burkina Faso, rêve d’étudier la mécanique mais sa famille ne dispose pas des moyens nécessaires pour payer ses cours.Il entreprend alors de travailler dans une mine d’or, espérant qu’il lui sera possible, petit à petit,de payer sa scolarité. Ce travail est dangereux,pénible... Et surtout il ne procure que quelques pépites de temps à autre, ce qui n’est pas suffisant pour conserver sa place au sein de l’école…
De Marion Desseigne - Ravel France - 2022 - 1h21 - Avec Lina El Arabi, Esther Bernet-Rollande...
Nedjma, 18 ans : « Sur un mur de ma rue, on a tagué : Le premier qui tombe amoureux a perdu. Moi je dis que c’est vrai. Parce qu’après, tout le monde parle sur toi. Parce qu’après, t’es à la merci, tu y penses tout le temps, et le monde est à l’envers. J’ai perdu, je suis amoureuse d’une fille, je ne sais pas quoi faire…»
De Christophe Barratier France - 2022 - 1h40 - Avec Léo Campion, Guillaume De Tonquédec, Mélanie Doutey, François-Xavier Demaison...
Marseille, juillet 1905. Le jeune Marcel Pagnol vient d’achever ses études primaires. Dans trois mois, il entrera au « lycée ». Trois mois...une éternité quand on a cet âge. Car voici le temps des vacances, les vraies, les grandes ! Enfant de la ville, ce retour tant attendu à ses chères collines d’Aubagne et d’Allauch, celles de « La Gloire de mon père » et « Le Château de ma mère » le transporte de bonheur. Il y retrouve la nature, les grands espaces et surtout son ami Lili toujours prêt à partager de nouvelles aventures, à l’âge où le temps de l’insouciance laisse place à celui des secrets.
Cette année « Les Rencontres du Cinéma d’Animation » proposent une programmation riche et pleine de surprises autour de sa thématique « En-Vies ».
Six programmes, une trentaine de films, des rencontres professionnelles et des masterclass, des ateliers pour les jeunes et les adultes le tout proposé dans 7 lieux de Montpellier : Cinéma Diagonal, Cinéma Nestor Burma, Maison pour tous et cinéma Louis Feuillade, Musée Fabre, Médiathèque Émile Zola, Centre Rabelais, Salle Pétrarque.
1h25 - Programme de courts-métrages
D’Anja Kofmel - Suisse / Croatie/ Allemagne / Finlande- 20181h30 - VOSTF
Croatie, janvier 1992. En plein conflit yougoslave, Chris, jeune journaliste suisse, est retrouvé assassiné dans de mystérieuses circonstances. Il était vêtu de l’uniforme d’une milice étrangère. Anja Kofmel était sa cousine. Petite, elle admirait ce jeune homme ténébreux. Devenue adulte, elle décide d’enquêter pour découvrir ce qui s’est passé et comprendre l’implication réelle de Chris dans un conflit manipulé par des intérêts souvent inavoué.
D’Anca Damian - Roumanie / Pologne / France - 1h25
Avec les voix de Christophe Miossec, Lizzie Brocheré
La biographie d’Adam Jacek Winker, traverse près d’un demi-siècle d’histoire. Polonais réfugié à Paris dans les années 1960, sa vie aventureuse prend un tournant radical dans les années 1980. Se rêvant chevalier du 20e siècle, Jacek quitte la France pour combattre les soviétiques aux côtés du commandant Massoud en Afghanistan..
La sortie de la crise sanitaire s’accompagne désormais de la levée de l’impératif de précaution, à savoir d’une suspension du pass sanitaire et de l’abandon du port du masque obligatoire.
2, rue Marcelin Albert – Quartier Celleneuve – 34080 Montpellier
Comment signaler des propos racistes tenus sur internet ? Comment porter plainte si j'en suis victime ? Service-Public.fr rappelle que les incitations à la haine raciale sont punies par la loi et vous explique comment saisir la justice.
L'incitation à la haine raciale, c'est pousser certaines personnes à manifester de la haine, de la violence ou de la discrimination contre des individus en raison de leur religion ou de leur origine nationale ou ethnique. C'est un délit puni par la loi. Toute personne victime d'incitation à la haine raciale peut porter plainte contre l'auteur de ce type d'action.
Dans sa fiche, Service-Public.fr précise :
À savoir : Une injure ou bien une diffamation à caractère raciste sont des délits différents mais qui encourent les mêmes sanctions :
La loi visant à lutter contre les contenus haineux sur internet en renforçant les obligations des plateformes a été promulguée le 24 juin 2020.
Un observatoire de la haine en ligne a été mis en place par le CSA en juillet 2020 . Il est chargé de suivre et d'étudier les discours haineux sur internet, en particulier sur les réseaux sociaux (incitations au racisme, au terrorisme, harcèlement...) afin de lutter contre la « cyberhaine ».
Selon Orange.fr :
Emmanuel Macron se rend dimanche à Toulouse aux cérémonies de commémoration du dixième anniversaire des attentats perpétrés par Mohamed Merah qui avaient fait sept morts, en présence du président d'Israël, Isaac Herzog, ainsi que de François Hollande et Nicolas Sarkozy.
Près de 2.000 personnes sont invitées pour ces cérémonies organisées par le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (Crif). Emmanuel Macron avait indiqué qu'il acceptait l'invitation dans un discours lu lors du dîner du Crif fin février à Paris, en appelant à une "mobilisation générale de toute la société" pour lutter contre l'antisémitisme, et promettant de "continuer le combat" "sans relâche".
"La présence conjointe (de MM. Macron et Herzog) entend marquer l'amitié qui lie la France et Israël, ainsi que la volonté des deux chefs d'Etat de poursuivre leur lutte commune contre le terrorisme et contre l'antisémitisme", indique l'Elysée.
L'ancien Premier ministre Manuel Valls, le président du Sénat Gérard Larcher, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin et la maire de Paris, Anne Hidalgo, sont également attendus.
Le chef de l'Etat français et son homologue israélien doivent déposer une gerbe dans la cour de l'école Ohr Torah (anciennement école Otzar Hatorah), au pied de "l'Arbre de vie", un monument en hommage aux victimes.............
Prenez un jour "normal", sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d'usine, sans expulsion... ç'est bon, vous l'avez trouvé ? il ne vous reste plus qu'à créer la journée internationale du bonheur.
Présenté comme cela, c'est presque drôle. Ce qui l'est moins, c'est que cette journée existe bel et bien et qu'elle a été décrétée par l'ONU à l'unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n'ont exercé leur droit de veto.
La résolution de l'assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d'initiatives éducatives et d'activités de sensibilisation.
Pour faire bonne mesure l'auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.
On aurait pu aussi parler de journée gadget... mais c'est loin d'être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:
Le monde a besoin d'un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.
La journée mondiale du bonheur est bien dans l'air du temps et de la recherche d'un "mieux vivre". Les économistes cherchent aujourd'hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.
On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le "bonheur" d'un pays et qu'un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.
Un site à visiter : www.un.org
SELON FRANCEiNFO :
"C'est une journée de deuil pour les harkis et leurs familles", réagit samedi 19 mars sur franceinfo Kader Tamazount, président des harkis d'Île-de-France, à l'occasion des commémorations du 60e anniversaire des Accords d'Evian, mettant un terme à la guerre d'Algérie. "Pour nous, ce n'était pas la fin de la guerre d'Algérie", poursuit ce fils de harkis, "c'était au contraire le début de la guerre".
franceinfo : Comment les harkis vivent-ils aujourd'hui cette commémoration des accords d'Evian ?
Kader Tamazount : C'est une journée de deuil pour les harkis et leurs familles. Pour nous, ce n'était pas la fin de la guerre d'Algérie, c'était au contraire le début de la guerre. Le 12 mai, deux télégrammes sont partis du gouvernement français de l'époque, ordonnant l'abandon des harkis à la vindicte populaire et à l'ennemi. Ce qui veut dire que nous avons subi le 12 mai 1962 le massacre de 100 à 150 000 harkis et chaque année, le 12 mai, nous commémorons ce drame. C'est cette date qui nous intéresse.
Vos parents étaient eux-mêmes dans le camp de Bias...
Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/algerie/60e-anniversaire-des-accords-d-evian-c-est-une-journee-de-deuil-pour-les-harkis-et-
En 2021, le télétravail a encore été largement pratiqué pour lutter contre l’épidémie de Covid-19. Il engendre souvent des coûts pour les salariés. Afin de tenir compte de cette situation exceptionnelle, l’exonération des allocations versées par l’employeur au titre du télétravail à domicile est reconduite pour 2021. Elles sont exonérées d’impôt sur le revenu, dans la limite de 580 € pour l’année. L’exonération est différente, selon que l’employeur verse ou non ces allocations destinées à couvrir les frais liés au télétravail.
Les allocations couvrant les frais de télétravail à domicile versées par l’employeur peuvent prendre la forme d’indemnités, de remboursements forfaitaires ou encore de remboursements de frais réels.
Parmi les frais déductibles, figurent notamment les frais suivants :
La déduction des frais professionnels de télétravail est différente, selon que vous optez ou non pour les frais réels et selon qu’une allocation couvrant les frais de télétravail à domicile est versée ou non par votre employeur.
Si vous n’optez pas pour la déduction des frais réels, vous bénéficiez d’un abattement forfaitaire de 10 %, calculé automatiquement sur les montants que vous déclarez en traitements et salaires.
Si vous optez pour la déduction des frais réels, les frais professionnels liés au télétravail à domicile sont exonérés dans la limite de 2,5 € par jour de télétravail, soit une exonération de 55 € par mois, dans la limite annuelle de 580 €. Vous pouvez également déduire les frais de télétravail pour leur montant exact si cela est plus favorable.
En cas d’option pour la déduction en frais réels, vous pouvez déduire de votre impôt sur le revenu la totalité de vos frais professionnels (liés au télétravail ou non), mais vous devez pouvoir les justifier.
Si vous n’optez pas pour la déduction des frais réels, les allocations versées par l’employeur couvrant les frais de télétravail à domicile (indemnités, remboursements forfaitaires ou remboursements de frais réels) sont exonérées d’impôt sur le revenu. Vous n’avez pas à les déclarer.
Dans ce cas, vous bénéficiez d’un abattement forfaitaire de 10 %, calculé automatiquement sur les montants que vous déclarez en traitements et salaires.
Si vous optez pour la déduction des frais réels, les allocations versées par l’employeur sont exonérées d’impôt sur le revenu. Vous n’avez pas à les déclarer.
Vous ne pourrez pas déduire vos frais de télétravail à domicile, mais vous pouvez déduire vos autres frais réels (frais professionnels, non liés au télétravail).
En revanche, vous avez la possibilité de déduire vos frais de télétravail, notamment si le montant est supérieur aux allocations versées par l’employeur. Dans ce cas les allocations perçues sont imposables et vous devez les déclarer, en les réintégrant dans vos traitements et salaires. Les frais professionnels liés au télétravail sont alors exonérés dans la limite de 2,5 € par jour de télétravail, soit une exonération de 55 € pour un mois comprenant 20 jours de télétravail, dans la limite annuelle de 580 €.
À noter : Lorsque vous percevez une allocation pour des frais de télétravail, elle est présumée être utilisée conformément à son objet à hauteur de 10 € par mois pour un salarié effectuant un jour de télétravail à domicile par semaine. Cette allocation forfaitaire passe à 20 € par mois pour un salarié effectuant deux jours de télétravail par semaine. Si au cours d’un même mois le nombre de jours de télétravail hebdomadaire varie, il est admis que les allocations forfaitaires ont été utilisées conformément à leur objet à hauteur de 2,50 € par jour de télétravail pour le mois considéré.
À savoir : le montant du revenu imposable prérempli sur la déclaration de revenus ne doit pas, en principe, inclure les allocations couvrant les frais de télétravail à domicile versées par l’employeur. Vous pourrez vous en assurer en vérifiant les montants préremplis par rapport à vos bulletins de paie (ou l’attestation fiscale annuelle délivrée par votre employeur).
Traditionnellement célébrées lors des 10 premiers jours du printemps, la semaine pour les alternatives aux pesticides est une opération internationale annuelle ouverte à tout un chacun.
Son but est d'informer le grand public sur les conséquences de l'usage des pesticides de synthèse dans notre agriculture et promouvoir une prise de conscience qu'une alternative reste possible.
A début du printemps, les épandages de produits pesticides reprennent de plus belle, mettant chaque année en cause l'équilibre sanitaire de notre environnement. Une date symbôle... pour que cela change !
Un site à visiter : www.semaine-sans-pesticides.fr
Une des commissions du Conseil Départemental de la Citoyenneté et de l’Autonomie (CDCA) travaille depuis plusieurs mois sur les conditions de scolarité des enfants en situation de handicap et ce avec l’aide de citoyens volontaires.
Dans un objectif de démocratie participative locale, le CDCA permet aux Héraultais de s’engager en faveur des personnes âgées et handicapées. Ils participent à la réflexion sur la mise en œuvre des politiques d’autonomie du Département et à celles liées aux questions d’accessibilité, de logement, d’intégration sociale, de loisirs…
Actuellement, une des commissions du CDCA étudie la scolarité des enfants en situation de handicap. Afin de se trouver au plus près des besoins de ces enfants, la commission est composée de quatre parents experts, d’une maman d’un enfant atteint d’autisme, de deux adultes en situation de handicap physique, de trois retraités de l’éducation nationale spécialistes de l’inclusion sociale ainsi que d’un parent d’élève.
« Nous sommes des passionnés et nous sommes très impliqués pour ces enfants dont la scolarité est un parcours du combattant de par leur situation », explique Nadia Chebaïki, parent expert et pilote de la commission.
A l’ordre du jour de la dernière réunion, la feuille de route de la commission enfance-scolarité. Prochaine étape annoncée : la tenue d’une audience en mars avec divers acteurs de l’éducation nationale afin de leur présenter l’avancement de l’état des lieux. Une synthèse sur la scolarité des enfants en situation de handicap qui a pu être rendue grâce aux réponses recueillies d’un questionnaire participatif et à l’expertise des différents membres de la commission.
« Cette synthèse est éloquente, ce sont les parents directement concernés qui ont pu donner leur avis ainsi que différents organismes et instances comme des associations, la MDPH ou bien le CHU », indique Nadia Chebaïki.
La commission a permis de mettre en lumière ce qui a déjà été accompli en matière de scolarité pour les enfants en situation de handicap ainsi que ce qu’il reste à faire. « De nombreuses aides sont mises en place pour les parents, toutefois il est nécessaire qu’un travail de sensibilisation soit fait sur les différents accompagnements dont ils peuvent bénéficier », constate Sophie Lamour, représentante de l’association Sésame Autisme.
« La commission est ouverte à tous, ce qui nous permet de travailler au plus près du vécu et de l’expérience de chacun. On a des personnes qui connaissent le sujet du handicap ou celui de la scolarité ce qui permet d’obtenir des idées concrètes », explique Chantal Albe, présidente de l’APEL 34.