Selon France Info :

La France vit, mercredi 15 juin, ses premières heures de canicule. Les températures enregistrées se situent parfois 10 degrés au-dessus des normales de saison. Elles sont surtout difficilement supportables pour les plus fragiles d'entre nous. À Mornant (Rhône), il a fait 33 degrés dans l'après-midi du 15 juin. Au-delà des soins habituels,  Aller plus loin : Fabienne Bontemps, infirmière libérale, veille à l'hydratation de ses patients. "On sait que la personne âgée, souvent, n'a jamais soif. Même quand il fait très chaud, ils n'ont jamais soif, donc il faut les solliciter", explique-t-elle.   

Guetter le moindre trouble   

En cette période de canicule............https://www.francetvinfo.fr/meteo/canicule/canicule-comment-proteger-les-plus-fragiles_5199856.html

Selon des informations dévoilées par Disclose mercredi 15 juin, des manquements relatifs à l'hygiène avaient été signalés il y a plusieurs années dans l'usine Buitoni de Caudry (Nord), qui fabriquait des pizzas Fraich'Up. 

Selon France Info :

Depuis combien d'années l'usine Buitoni de Caudry (Nord) cumulait-elle les manquements ? Selon le média d'investigation Disclose, des rapports de 2012 à 2020 dévoilent des problèmes récurrents d'hygiène. Publié par le site d'enquête, le plus récent est le plus détaillé. L'inspecteur y décrit un "plafond [...] malpropre", et constate des "souillures marron", des "toiles d'araignées", ou encore des endroits "poussiéreux". Il poursuit en notant que "le matériel est gras et huileux" et que des "traces de moisissures" ont été repérées.    

Nestlé aurait déjà écopé d'un investissement...................

En savoir plus : https://www.francetvinfo.fr/sante/alimentation/pizzas-buitoni-contaminees-l-usine-de-caudry-epinglee-par-le-passe-pour-des-problemes-recurrents-d-hygiene

Les feux de la Saint Jean :  encore aujourd’hui les traditionnels feux de la Saint-Jean marquent pour certains le vrai début de l’été. A Poussan, ils devraient avoir lieu le vendredi 24 juin 2022, au Jardin Public.

Mais autrefois, ils avaient lieu dans la nuit du 23 au 24 juin ou du 24 au 25 juin selon les régions, le 24 juin étant le jour de la Saint-Jean, donc en léger décalage avec le solstice d’été. Maintenus jusqu’à la Première Guerre mondiale, la Seconde leur a donné un coup d’arrêt définitif.

La règle générale était la réalisation d’un grand feu de joie commun qui devait se voir le plus loin possible.

Dans les villages, la veille ou le jour de la Saint-Jean, tous les gens de la commune apportaient le soir venu, à l’endroit désigné, des combustibles divers que l’on empilait en tas, dans l’euphorie générale.

Malgré le regard mitigé de l’Église sur ces feux, ils datent de la nuit des temps. Tantôt elle s’en est servie pour organiser des processions et christianiser cette fête à travers le culte de Jean-le-Baptiste, tantôt elle a  tenté de les interdire comme “entachés de superstitions”.

Dans certains lieux, c’était donc le curé qui allumait le bûcher. Dans d’autres en revanche, c’était celui qui l’avait construit, ou bien le maire, le syndic, la personne la plus âgée du village, une jeune fille. Cette fête était d’abord l’occasion pour la jeunesse du pays, garçons et filles, de se retrouver et de se plaire…

Mais tourner autour du bûcher avait un sens quasi magique, variable selon les régions.

D’après Marie-Odile Mergnac, des superstitions et croyances magiques étaient liées à ces feux de joie. Dans la Creuse et le Poitou par exemple, on jetait des pierres dans le brasier pour les récupérer ensuite et les placer dans les champs : plus grosses étaient les pierres, plus grosse serait la récolte

Sauter par-dessus le feu de la Saint-Jean était aussi un rite très fréquent. On disait tantôt que le saut permettrait de se marier dans l’année, tantôt qu’il préservait des furoncles ou des sortilèges, tantôt encore qu’il portait bonheur ou qu’il “donnait force aux os et préservait des rhumatismes”… Les vieillards qui ne pouvaient plus sauter par-dessus le feu se contentaient alors d’enjamber une braise.

Une fois le feu éteint, chacun rentrait chez soi avec un tison. La tradition populaire affirme qu’on pouvait le saisir sans risque car “le feu de Saint-Jean ne brûle pas”. Enfermé dans une armoire, il devait préserver la maison de l’incendie, de la foudre et de certaines maladies. On pouvait aussi en placer un morceau dans son terrain pour protéger ses récoltes de la grêle, parfois aussi des chenilles et des limaçons. On utilisait jusqu’aux cendres de ce feu de joie auxquelles on attribuait des vertus bienfaisantes.

L’origine de ces feux de Saint-Jean reste aussi inconnue que le caractère magique de ses cendres puisque, selon le grand folkloriste français Arnold Van Gennep, il ne peut s’agir ni d’une résurgence celtique, ni d’un culte romain ou germanique christianisé…

Le mystère reste entier. A Poussan, tournera-t-on autour du bûcher? Va-t-on le sauter? Il faudra attendre le vendredi soir pour en savoir plus.

Un bel exemple : les feux dans le Vaucluse : www.ribelly84.fr/feux_st_jean/manteneire.html

Au total, ce sont dix clubs qui furent récompensés de leur fair-play en ayant assisté au match France-Croatie au Stade de France. 

Etant un élément essentiel de notre football amateur tout au long des saisons, le fair-play se doit d’être récompensé à sa juste valeur. La récompense arriva hier pour 10 clubs de notre région, qui ont étés invités à se rendre au Stade de France pour assister au match de Ligue des Nations, France-Croatie. 4 bus ont réalisés le déplacement : depuis Lourdes, depuis Toulouse, depuis Montpellier, et le dernier depuis Rodez. 

LES CLUBS RÉCOMPENSÉS

 

Toulouse FC, Sussargues FC, Jacou Clapiers FA, Lourdes FC, FC Critourien, SO Millau, Rodez AF, US Pays Rignacois, Toulouse Métropole FC et Bagatelle FC. 

Leur fair-play sans faille tout au long de la saison valait bien une telle journée festive marquée par une forte chaleur. Le trajet en bus fut assez long mais cela n’a pas empêché tous les participants, staff et joueurs / joueuses réunis, à partager une bonne humeur collective tant durant les trajets que durant le match (chants, rigolades,…). Afin de faciliter l’organisation de cette journée, La LFO a rassemblé 2 membres par bus. 

LE MATCH 

Malheureusement pour nos 10 clubs occitans, L’Equipe de France n’est pas parvenue à obtenir un résultat favorable puisqu’ils se sont inclinés 1-0 (Modric 5e SP). La Croatie qui ouvre le score dès la 5e minute, cela n’était pas le scénario espéré et encore moins le scénario idéal pour l’Équipe de France, alors que Kylian Mbappé avait sonné la première charge quelques instants plus tôt, comme pour donner le bon tempo aux Tricolores. Et comme la réussite n’a pas accompagné les tentatives de Mbappé (7e), Nkunku (23e et 45e +2) et Digne (45e +1 ), la cause des Bleus n’a pas évolué. Aucune occasion française n’est parvenue à prendre en défaut Ivica Ivusic ou à trouver le cadre. Maignan sauvant même les siens d’une défaite plus conséquente grâce à deux arrêts sur des tirs de Majer (72e) et Vlasic (88e). 

Malgré ce résultat défavorable, tous nos partisans du fair-play sont repartis de Saint-Denis avec des étoiles dans les yeux et un souvenir gravé à jamais dans leur mémoire. La Ligue de Football d’Occitanie est heureuse de pouvoir récompenser les clubs qu’ils le méritent à travers différents dispositifs ! 

Merci à vous toutes / tous, pour cette très belle journée !

Par Fabien Barbier

La journée nationale de prévention "Conseils et diagnostic gratuits chez votre podologue", après être devenue semaine nationale pour la santé du pied, revient à son format initial et se déroule (en 2022) le 16 juin, mais avec des événements qui s'échelonneront sur une semaine. Vous suivez ? A se demander si les organisateurs se sont déjà mis en marche...

Durant cette journée, vos praticiens effectuent des diagnostics bénévoles de vos pieds et contribuent ainsi à l'amélioration de votre santé...

Dépistages scolaires

Depuis 2010, des dépistages ont aussi lieu en milieu scolaire. Les spécialistes de l'UFSPP (Union française de la santé du pied et la podologie) estiment que les femmes enceintes, les adolescents en phase de croissance, les personnes âgées, les enfants de plus de 4 ans doivent faire examiner leurs pieds, sans oublier les diabétiques ou artéritiques... On comptabilise en effet 10 000 amputations de patients diabétiques par an !

Un site à visiter : www.sante-du-pied.org