L'hébergement par des familles britanniques et des proches ukrainiens s'essouffle. En fin d'année, selon le gouvernement britannique, quelque 3 000 foyers ukrainiens étaient ainsi sans domicile.

Selon France Info :

Elle arrive d'un pas déterminé avec ses deux enfants, une grande valise noire à la main. Dana Karabinenko entre dans un "council" de Londres. La demande de cette famille ukrainienne réfugiée est urgente. La veille, Dana, Dasha et Hlib ont dormi dans le salon d'une amie, elle aussi réfugiée. En cette matinée du 30 janvier, cette mère ne sait pas où elle posera sa valise ce soir. Elle vient s'inscrire dans cette autorité locale britannique en tant que sans-abri.

>> TEMOIGNAGES. Guerre en Ukraine : au Royaume-Uni, des Britanniques "malades" de ne plus pouvoir héberger de réfugiés

A l'instar de cette famille, environ 3 000 foyers ukrainiens étaient sans logement en fin d'année outre-Manche, d'après les données du gouvernement britannique. 70% de ces ménages avaient des enfants mineurs, comme Dasha, 7 ans, et Hlib, 12 ans. "C'est un risque qui prend de l'ampleur", alerte Adis Sehic, chercheur au sein de l'ONG Work Rights Centre* et coauteur de rapports sur l'accueil des réfugiés ukrainiens au Royaume-Uni. Après avoir été hébergés, dès leur arrivée, par des familles britanniques ou des proches ukrainiens vivant outre-Manche, ces exilés se retrouvent dans une impasse....

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/reportage-guerre-en-ukraine-a-londres-faute-de-solutions-d-hebergement-des-refugies-n-ont-nulle-part-ou-aller_5645198.html

Salles d’enseignements et amphithéâtres supplémentaires, nouvel espace de vie étudiante… La Région est le premier financeur de l’extension et la restructuration du site nîmois de la Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes sur le site Carémeau de l’hôpital universitaire de la ville. Un investissement régional de 3,4 millions d’euros (sur un total de 9,6 millions d’euros) dans le cadre du Contrat de plan État-Région (CPER) 2015-2020.

L’objectif est de former au plus près des territoires pour que les jeunes puissent accéder aux premières marches de l’escalier de la réussite grâce à l’enseignement supérieur. L’investissement majeur de la Région offre un vrai campus santé à la hauteur des besoins des étudiantes et étudiants de Nîmes.

Carole Delga, Présidente de la Région.

Formation par simulation

Les travaux permettent aujourd’hui d’accueillir 17 salles d’enseignements (contre 13) et 3 amphithéâtres (contre 2), dont le dernier de 150 places. La restructuration de certaines parties des bâtiments donne désormais place à des locaux d’enseignement et administratifs ainsi qu’une animalerie. Un espace de vie étudiante de 200 m2 a été aménagé, et la terrasse existante de la cafétéria du Crous agrandie. Désormais, le site dispose d’une nouvelle surface de 1 434 m2, conçu par l’architecte Nicolas Guillot.

Pour adapter les locaux aux évolutions pédagogiques sur le campus nîmois, la formation par simulation est développée avec l’extension du centre de simulation multidisciplinaire hospitalo-universitaire de Nîmes (SimHU Nîmes). Accouchement, échographie, réanimation, pédiatrie, néonatalogie… : sur 1 000 m2, 10 salles de simulation sont pré-équipées avec matériel et mannequins haute-fidélité, pour appréhender des situations et des gestes médicaux avant la pratique sur les patients.

Il s’agit concrètement de proposer des offres adaptées aux besoins en compétences du bassin d’emploi et de favoriser l’accès à l’enseignement supérieur sur tout le territoire, notamment dans les VUE, au nombre de 18 en Occitanie. 30 % du budget de la Région, dédié à l’enseignement supérieur, est consacré à ces universités situées hors des métropoles régionales.

Ce mercredi midi, le MHSC a officialisé le retour de Michel Der Zakarian à la tête de l’équipe héraultaise. Une arrivée qui semble réjouir le président montpelliérain, Laurent Nicollin. “C’est une nouvelle aventure pour le club et une nouvelle aventure avec Michel. J’espère qu’il va nous apporter toute l’envie qu’il nous avait déjà apportée lors de son premier passage sur le banc de l’équipe première et réaliser l’objectif de maintenir le club en Ligue 1. J’espère et je pense que ce sera l’homme de la situation”, confie le patron de Montpellier.