Un week-end, trois artistes, deux possibilités au Musée Fabre
Belles autos et belles mécaniques à Cournonsec le 26 Juin
Décédé en 2014 à Montpellier, Manitas de Plata (Ricardo Baliardo de son vrai nom) était un grand musicien, aussi talentueux que Django Reinhardt dont il était l’ami. Il a côtoyé les plus grands artistes du 20ème siècle, Picasso, Dali, Cocteau. Il a joué au Carnegie-Hall, a enregistré 80 disques, en a vendu plus de 100 millions. Plus que Mickael Jackson !
Il donne son nom au Conservatoire à Rayonnement Intercommunal de Sète agglopôle méditerranée, comme pour prolonger sa présence à Sète, sur le Quai des Moulins qui l’a vu naître. Manitas de Plata, l’homme, l’artiste, le gitan… est à l’honneur d’une exposition à découvrir dans ce nouveau bâtiment communautaire, dès le mercredi 19 mai 2021 (dans le respect des règles sanitaires / accès limité selon la jauge fixée).
C’est à Gilles Favier, directeur artistique du festival ImageSingulières, que Sète agglopôle méditerranée a confié la réalisation de la scénographie. Conçue en trois parties (sa vie à Sète, sa musique et ses tournées dans le monde), elle sera présentée dans la salle d’exposition du Conservatoire.75 photographies originales seront exposées. Des petits formats, entourées d’une marquise et d’un cadre en chêne. Mais également des objets scéniques, de grands livrets avec toutes les coupures de presse, des pochettes de disques, des affiches, des contrats… Et en fond sonore, sa musique inégalable…
Exposition visible les mardis, mercredis et jeudis de 14h à 17h et le samedi de 10h à 17h
L'exposition « Les Marcheurs d’Avila »
Le titre de l’exposition « Les Marcheurs d’Avila » fait référence à la rencontre d’une petite ville espagnole du nom d’Ávila, capitale d’une province espagnole du même nom, au Nord-Ouest de Madrid. À partir de ses prises de vue, elle constitue un jeu graphique de déconstruction et puis de reconstruction, en créant des espaces imaginaires. Les lignes de fuite, les ogives, les colonnes animent des scènes où des passants se faufilent comme des ombres éphémères. Certains objets plastiques tels que les lanternes, plis ou inscriptions viennent enrichir l’aspect énigmatique de ces compositions.
Si sur certaines zones de l’image, le spectateur peut se projeter dans la vraisemblance d’un compagnonnage avec les marcheurs, en d’autres points, il ne le peut plus, restant lui-même en suspens, livré à la perplexité de l’interrogation entre ce qu’il sait être vrai et ce qui ne semble pas l’être. Nancy Barwell utilise la figure du « Marcheur » comme paradigme de l’humain qui avance non tant vers une destination que vers un destin.
Les qualités plastiques de l’ombre et du fusain permettent la découverte miroitante de l’intime en équilibre entre le vide et le mystère.Pendant la durée de l’exposition, une vidéo réalisée par Philip Barwell sera projetée : Rym Benhachemi, comédienne, y fait une lecture du texte de Virginia Woolf, intitulé « Dans les rues de Londres ».
En parallèle à cette exposition, le vendredi 25 juin à 18h30, l’ensemble « Guitare Plus » donnera un concert à la Maison des Chœurs de Montpellier, place Albert 1er.
Biographie
Née à Oran en Algérie, Nancy Barwell a étudié à Paris . Elle vit et travaille à Montpellier depuis 5 ans. Après des études de médecine et de psychanalyse, Nancy Barwell s’est orientée vers une pratique artistique. Elle est titulaire d’une licence d’Histoire de l’Art obtenue en 1985, elle suivra ensuite un DEA d’Arts Plastiques à Paris I, en 2004. Pendant six ans, Nancy Barwell a animé un séminaire ayant pour titre « Création, Psychanalyse, Politique » à Toulouse. Depuis plus de vingt ans, elle expose en France et à l’étranger. Elle a également réalisé une dizaine de DVD dans le cadre de l’Association d’amitié franco-algérienne Baraka qui fait un travail de mémoire et de transmission sur l’histoire de l’Algérie.
Site web : https://www.nancy-barwell.com/
2 expositions à l'occasion de cet anniversaire particulier :
A l’image de tubes ou albums pop iconiques comme Forever Changes du groupe Love ou Forever Young de Bob Dylan, le MIAM résonne en nous comme une chanson !
Forever MIAM raconte l’histoire du musée, depuis sa création en 2000 par Hervé Di Rosa et Bernard Belluc, et derrière, la programmation d’une quarantaine d’expositions et l’histoire des Arts Modestes.
L’exposition s’organise autour de la sculpture géante le SURMIAM, créée pour l’occasion par Hervé Di Rosa à partir des quatre lettres M.I.A.M., avec la double fonction de vitrine et de meuble d’assise pour les visiteurs.
Les 20 ans du musée sont évoqués par une sélection d’oeuvres et d’objets de la collection, des cartes inédites des Territoires de l’art d’Hervé Di Rosa, ainsi que par une documentation inédite de photos et de vidéos rappelant les temps forts de l’histoire du MIAM.
Un disque vinyle 45 T de l’Hymne du MIAM, est réédité pour les 20 ans, composé, réalisé par Patrick Chenière alias Général Alcazar et Pascal Comelade. La pochette est créée par Hervé Di Rosa.
Commissariat : Françoise Adamsbaum assistée de Sylvie Côte
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2 expositions à l'occasion de cet anniversaire particulier :
A l’image de tubes ou albums pop iconiques comme Forever Changes du groupe Love ou Forever Young de Bob Dylan, le MIAM résonne en nous comme une chanson !
Forever MIAM raconte l’histoire du musée, depuis sa création en 2000 par Hervé Di Rosa et Bernard Belluc, et derrière, la programmation d’une quarantaine d’expositions et l’histoire des Arts Modestes.
L’exposition s’organise autour de la sculpture géante le SURMIAM, créée pour l’occasion par Hervé Di Rosa à partir des quatre lettres M.I.A.M., avec la double fonction de vitrine et de meuble d’assise pour les visiteurs.
Les 20 ans du musée seront évoqués par une sélection d’oeuvres et d’objets de la collection, des cartes inédites des Territoires de l’art d’Hervé Di Rosa, ainsi que par une documentation inédite de photos et de vidéos rappelant les temps forts de l’histoire du MIAM.
Un disque vinyle 45 T de l’Hymne du MIAM, est réédité pour les 20 ans, composé, réalisé par Patrick Chenière alias Général Alcazar et Pascal Comelade. La pochette est créée par Hervé Di Rosa.
Commissariat : Françoise Adamsbaum assistée de Sylvie Côte
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