Dépôt des demandes d’indemnisation avant le 19 février 2018
Le comité national de gestion du risque en agriculture, réuni le 13 décembre 2017 dernier, a donné un avis favorable à la reconnaissance de deux calamités agricoles :
1) Gel du 19 au 22 avril 2017 : calamité agricole sur 40 communes
La perte de fond reconnue concerne « la vigne ». Les 40 communes concernées sont : Abeilhan, Agde, Agel, Aigues - Vives, Les Aires, Alignan - du - Vent, Aumelas, Azillanet, Le Bosc, Castelnau - de - Guers, Caux, Cazouls - les - Béziers, Cesseras, Cruzy, Fabrègues, Florensac, Fontes, Gignac, Maureilhan, Mèze, Montady, Montagnac, Montarnaud, Montbazin, Montpeyroux, Nissan - lez - Enserune, Pézenas, Pinet, Pomerols, Poussan, Pouzolles, Prades - sur - Vernazobre, Puisserguier, Roquebrun, Saint - Bauzille - de - Putois, Saint - Chinian, Saint - Guiraud, Sète, Villemagne - l’Argentière, Villeveyrac.
2) Pluies et inondations du 11 au 14 février 2017 : calamité agricole complémentaire pour la commune du Soulié. La perte de fond reconnue concerne « dommages aux sols et aux ouvrages (fossés, murs, centre équestre), clôtures, palissage » La commune concernée est Le Soulié.
A Sète, les vœux aux acteurs ont été prononcés à la Maison de la Mer ce jeudi 18 janvier 2018 dans une salle comble.
Le premier à prendre la parole fut le toujours très réjoui Jean-Claude Gayssot.
Il faut dire que l’activité du port est en progression de 4 % cette année, que le tonnage est passé de 3 millions quand la région a pris la direction du port à 4 millions …
Plus généralement tous les secteurs sont en essor …
A part l’exportation de bétail et la plaisance qui en raison des travaux au Môle a connu une baisse programmée de son activité.
Enfin, le président du port s’est laissé aller à une confession :
« Il n’a plus le temps de pêcher la daurade ! Non sans rire, il travaille 8 jours par semaines, c’est plus qu’il n’imaginait...!
Mais l'ancien ministre des transports qui n’a pas pour habitude même lorsqu’il annonce qu’il va s’appliquer, de prononcer des discours académiques notamment pour ce qui est de leur ouverture , à cette occasion par une citation de Dubillard, « Ne nous prenons pas au sérieux car aucun d’entre nous ne survivra », a également assuré que ce travail, chronophage, il le trouvait absolument passionnant. En partie, car le port de Sète à taille humaine permet des échanges avec de nombreux acteurs et se distingue par son admirable diversité.
Pour conclure, il a annoncé qu’il tiendrait une grande réunion publique le 31 janvier en ce qui concerne le projet de port de yachting qui suscite encore des interrogations.
Plus classique et toujours extrêmement souriante, Carole Delga s’est exprimée à son tour. Ses vœux, la présidente de la région les a voulus pétillants et fraternels.
Dans son rôle d’animatrice de la grande région, elle a évoqué d’autres projets dans d’autres villes que Sète mais en revenant sur le rôle central du port dans le projet Occitanie qui a « les pieds dans l’eau et la tête dans les étoiles ».
Moins déroutant mais tout aussi poétique, la présidente à quant à elle cité Jean Vilar dont l’expression « remettre en désir », ici le territoire, est un objectif qu’elle a fait sien.
Dans son discours on peut également relever sa décision de faire de l’Occitanie la première région à énergie positive, cela dans le dessein de se situer "non pas dans la réaction mais l’anticipation".
Carole Delga a affirmé vouloir laisser aux enfants la plus grande richesse de la région, c’est-à-dire les ressources naturelles qui sont des alliées de la compétitivité et non pas une entrave.
À l’occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale et à compter du mois de janvier 2018, les Archives départementales de l’Hérault proposent à tous les internautes de contribuer à la création d’une grande base de données sur les soldats du département. Cette base nominative s’enrichira avec les données saisies par les internautes à partir des registres matricules militaires* mis en ligne sur le site des Archives. L’indexation portera sur les classes 1887 à 1921.
Ce projet d’indexation collaborative est gratuit et ouvert à tous. Il permettra de relever les noms des 137.000 soldats originaires de l’Hérault et du sud Aveyron.
Le fruit de cette immense collaboration complétera le Grand mémorial, base de données des soldats de la Guerre 1914-1918 actuellement en ligne
Que sont les registres matricules du recrutement militaire?
Les registres regroupent des fiches matricules (une par soldat), contenant les états signalétiques de service de chaque conscrit, à partir du jour de leur recensement par l’armée, dans l’année de leurs 20 ans (classe d’âge). Les fiches matricules sont très détaillées : elles donnent des informations sur l’état civil, les caractéristiques physiques, le degré d’instruction du conscrit, la carrière militaire, les unités d’incorporation, les éventuelles blessures, les grades jusqu’à la démobilisation.
Présentation du projet
Il s’agit de relever, à partir des images mises à disposition et grâce à une grille prédéfinie, les informations suivantes : nom, prénom, date et lieu de naissance, lieu de résidence, degré d’instruction, numéro de matricule…
Assises nationales de la Pêche et des Produits de la Mer : la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée accueillera l'édition 2018 à Sète.
La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée a été retenue pour organiser l'édition 2018 des Assises nationales de la Pêche et des Produits de la Mer (APPM), à Sète en juin prochain.
Devenues le rendez-vous annuel et majeur des professionnels du secteur depuis 2010, c'est la première fois qu'elles se dérouleront sur le littoral méditerranéen. L'annonce a été faite cet après-midi au cours de l'édition 2017 qui se tient actuellement à Quimper. Chaque année, les APPM réunissent l'ensemble des acteurs de la filière pêche (pêcheurs, mareyeurs, transformateurs, chercheurs...) qui se retrouvent afin d'aborder ensemble les enjeux et les problématiques actuelles de la filière, partager leurs expériences et apporter leur vision de l'avenir.
« Avec 220 km de rivages, le parc naturel marin du Golfe du lion (4 000 km²), 20 stations balnéaires, 70 ports de plaisance, 3 ports de commerce et 4 criées, la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée est résolument tournée vers la mer. Dans cet écosystème, les activités de pêche et d'aquaculture y jouent un rôle majeur et leader en Méditerranée. Je me réjouis donc que notre candidature à l'organisation des Assises de la Pêche et des Produits de la Mer ait été retenue. Après Paris, Lorient, Boulogne-sur-Mer, les Sables d'Olonne et Quimper, nous aurons le plaisir d'accueillir l'édition 2018 à Sète les 14 et 15 juin. Je rencontrerai le Comité régional des pêches le 17 novembre à Port-la-Nouvelle et donnerai des premières informations sur la tenue de ces Assises nationales. » a souligné Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.
Lors de ces assises à Quimper, la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée a reçu le prix coup de cœur innovation, dans la catégorie Concepts & Restauration, pour le projet Valdora. André Lubrano, Conseiller régional et Président du Cépralmar (Centre d'étude pour la promotion des activités lagunaires et maritimes), a détaillé cette innovation devant plus de 600 participants : « A l'initiative de 3 pécheurs locaux et soutenu par le Cépralmar, nous proposons une opération de mise en viviers de daurades sauvages de l'étang de Thau au mois d'octobre quand celles-ci rejoignent la mer. Cela va permettre de lutter contre l'effondrement des prix en élargissant la période de vente et offrira ainsi aux pêcheurs professionnels la possibilité de mieux valoriser leurs prises ».
C’est le Premier ministre qui l’a annoncé le 4 janvier. La candidature « Littoral+ » de la Région fait partie des 24 lauréats - sur 117 candidats - de l’appel à manifestation d’intérêt « Territoire d’innovation de grande ambition », lancé en mars 2017 par le Secrétariat Général à l’Investissement. L'objectif de ce programme est d'améliorer la compétitivité de l'économie et le cadre de vie des habitants dans un souci d'excellence environnementale et de la résilience écologique.
Mobilisée pour la croissance bleue, la Région Occitanie, après avoir annoncée ses ambitions devant le Parlement de la Mer en avril 2017, a rassemblé 250 entrepreneurs et chercheurs en juillet à Gruissan pour faire émerger des projets innovants sur l’attractivité et la protection du littoral. « Littoral + » se focalise sur le golfe d’Aigues-Mortes, les lagunes du bassin de Thau et du Narbonnais, et le parc naturel marin du golfe du Lion, territoire pilote pour l’éolien flottant.
"Nous confirmons notre ambition pour la croissance bleue et la mise en œuvre du Plan Littoral 21 lancé l’an dernier, souligne Carole Delga. Nous voulons aller plus loin dans le financement de projets collaboratifs et innovants pour améliorer la qualité de vie des habitants et la durabilité des territoires."
La sélection assure à « Littoral+ » un accompagnement et un appui financier jusqu’à 400 000 € pour l’ingénierie de développement de projet. La collaboration se poursuit avec les chercheurs, entreprises, associations et collectivités impliqués pour affiner la réponse à l’appel à projets annoncé mi-2018. L’enjeu est important : l’appel à projets, qui doit retenir une dizaine de lauréats, est doté par l’Etat de 450 M€ sur 10 ans dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir.
Le 12 janvier 2018, Kleber Mesquida, Président du Département et Député de l'Hérault a adressé ses voeux aux Héraultais sur le site d'Aco depuis l'Hôtel du Département à Montpellier.
En présence Carole Delga, présidente de Région Occitanie et de Pierre Pouessel, préfet de l'Hérault, c’est sur le thème « tissons les liens de demain » que le président du conseil départemental a abordé les domaines de compétences et d’interventions du département dans les solidarités aux personnes, mais aussi les solidarités territoriales définies par la loi NOTRe.
C’était aussi l’occasion d’évoquer les grands projets départementaux tels que : le très haut débit qui desservira tous les Héraultais, ... le projet Hérault irrigation pour faire Face au dérèglement climatique..., le Schéma « Oenotour » qui reliera les 24 routes des vins labellisées « vignobles et découvertes » et qui sera présenté au Salon de l’agriculture à Paris au mois de février prochain..., le développement culturel avec le projet structurant de Bayssan, Domaine départemental situé à la sortie ouest de l’autoroute A9... Avant de rejoindre un buffet cent pour cent "produits du terroir", le président a remercié les 5 000 agents du Conseil départemental qui mettent en œuvre les politiques départementales et assurent leur mission de service public avec conscience. D’autre part, le département souhaite à toutes les Héraultaises et Héraultais, de tisser de nombreux liens pour cultiver le vivre ensemble dans les 343 communes qui illuminent et font briller le département de l’Hérault.
Prévenus dimanche matin par la brigade environnement de la ville et des promeneurs sur la plage des Battuts à Agde, Marine et Renaud, de l'équipe de l’Aire marine protégée, sont allés procéder à une vérification de l'espèce et aux mesures habituelles in situ.
En bon état de conservation il s’agit d’une femelle dauphin bleu et blanc d’environ 2m qui sera autopsiée par nos soins avec des prélèvements à la clé qui permettront peut-être d’en savoir plus sur les causes du décès. Données qui seront envoyées au réseau national d’échouage des cétacés dont l’Aire marine protégée est membre. La plupart du temps ces animaux meurent simplement de vieillesse, ou de collision avec des bateaux, voire de maladies et de virus. Rappelons qu'il ne faut pas toucher les cétacés échoués sur les plages car ils peuvent être porteurs de maladies. Si vous observez des grands animaux marins échoués, morts ou vivants, sur le littoral tels que dauphins ou tortues le plus simple est d’appeler les pompiers qui feront ensuite le relais avec les personnes habilitées à s’en occuper.
Renaud Dupuy de la Grandrive, directeur du milieu marin de la ville d’Agde
Le Département de L’Hérault renouvèle les véhicules lourds et légers du Service Départemental d’Incendie et de Secours (Sdis) pour renforcer la sécurité des citoyens mais aussi des pompiers.
Ce lundi 18 décembre 2017, une quinzaine de nouveaux véhicules lourds ou légers du Service Départemental d’Incendie et de Secours de l’Hérault (Sdis 34), ont été présentés sur le parking du mas d’Alco, par Kléber Mesquida, président du conseil départemental, et Eric Florès, directeur du Sdis. En particulier les deux nouvelles échelles, de 18 m pour le centre de Montaubérou et de 24 m pour Agde. La Paillade recevra un nouveau véhicule de secours routier moyen et Clermont-l’Hérault un véhicule de groupe milieu périlleux.
En tout, une soixantaine de nouveaux véhicules vont être répartis entre les différents centres de secours héraultais. Ils ont été financés par l’assemblée départementale pour un montant total de 28 millions d’euros dans le but de moderniser le matériel et répondre aux normes de sécurité actuelles. Cette flotte est consacrée au secours routier, mais aussi à la lutte contre les feux urbains et les accidents durant les feux de forêt, qui ont causé tant de dommages en 2016.
Tous les véhicules sont équipés d’un système d’autoprotection, qui permet aux pompiers de rester plus longtemps dans leur véhicule en cas de menace.
Pour l’année 2018, le Sdis va recruter une vingtaine de pompiers professionnels supplémentaires pour optimiser la sécurité du Département de l’Hérault.
Ce lundi 25 décembre, des plongeurs de la brigade nautique départementale des sapeurs-pompiers du Sdis 34 qui avaient été appelés par des promeneurs ont remis à l’eau, avec l'aide de ceux-ci, deux dauphins, qui venaient de s’échouer sur la plage des Trois-Digues.
Les pompiers plongeurs de la caserne de Sète se sont mis à l'eau et ils ont accompagné les dauphins vers des fonds plus importants afin qu'ils reprennent le large.
Le peuplement en Méditerranée
Sur 85 espèces de cétacés répertoriées dans le monde, une vingtaine a fréquenté, au moins occasionnellement, la mer Méditerranée. Sur la base des informations des vingt dernières années, seules 18 espèces peuvent être considérées comme faisant partie du peuplement. C’est beaucoup, si l’on se rappelle que la Méditerranée ne communique avec les océans que par deux petits passages : le détroit de Gibraltar, bien sûr, et le canal de Suez.
Lundi 18 décembre 2017 à partir de 10h, l’Assemblée départementale se réunissait à l’Hôtel du Département de Montpellier.
L’occasion pour les 50 Conseillers départementaux d’amorcer la première étape du cycle budgétaire, le Débat d'orientations budgétaires.
Première étape du cycle budgétaire, le Débat d’Orientation Budgétaire (DOB) s’inscrit quelques semaines avant le vote du budget primitif qui aura lieu du 12 au 14 février 2018. Il est l’occasion de discuter des choix des politiques publiques à mener en faveur des Héraultais.
Le contexte : un nouveau pacte financier entre les collectivités et l’Etat
Le DOB 2018 s’inscrit dans le cadre de la Loi de programmation des finances publiques 2018-2022 et du nouveau Pacte de confiance fixé par le Gouvernement. Il associe l’ensemble des collectivités territoriales au redressement des finances publiques et ce à hauteur de 13 milliards d’euros sur le quinquennat. Un effort que le nouveau gouvernement entend faire peser sur les 319 plus grosses collectivités dont le Département de l’Hérault fait partie.
Dans ce nouveau contexte budgétaire, l’Etat impose des conditions aux collectivités au plan national, qui se traduisent pour l’Hérault à limiter l’évolution de ses dépenses de fonctionnement à 1,4% par an et à réduire son recours à l’emprunt à 8M€. Par ailleurs, l’Etat a créé une nouvelle « règle d’or renforcée » qui instaure un ratio d’endettement (capacité de désendettement) fixé entre 9 et 11 ans pour l’Hérault.
UNE ÉVOLUTION DES RECETTES NON MAÎTRISÉES PAR LE DÉPARTEMENT
Les recettes départementales connaîtront une légère augmentation en 2018. Tandis que les recettes de l’Etat s’équilibreront (124,2M€ de DGF attendus en 2018, soit 1M€ de + par rapport à 2017), le Département devra compter sur sa fiscalité, les recettes dont les produits ne dépendent pars de la collectivité mais du dynamisme économique (50,7 M€ de CVAE et 220 M€ de droits de mutation sont attendus en 2018) et sur le seul levier fiscal dont il dispose : la taxe foncière sur les propriétés bâties.
Le budget solidarité, consacré à soutenir les plus fragiles (personnes âgées, handicapées, insertion, enfance) devrait progresser plus modérément que les années précédentes : +11M€, en raison principalement de la stabilisation du nombre d’allocataires RSA (tandis que le budget dédié à l’Enfance et à la famille augmentera). Par ailleurs, le reste à charge du Département concernant les 3 allocations individuelles de solidarité, Allocation personnalisée d’Autonomie (APA), Revenu de solidarité active (RSA) et Prime de compensation du handicap, atteindra 177 M€ en 2017 et augmentera de 13M€ en 2018, soit 190 M€ non compensés.
Le budget 2018 de la collectivité sera marqué par des dépenses de fonctionnement liées au transfert des compétences à la Métropole de Montpellier à compter de janvier 2018 pour un montant de 16,9M€. Il s’agit de l’attribution du Fonds de solidarité logement, l’aide aux jeunes en difficulté, les équipements culturels situés au nord du Domaine d’O (et leur exploitation) et le transfert des routes sur le territoire de Montpellier Métropole.
Un budget prévisionnel 2018 au service des solidarités humaines et territoriales
Le Département de l’Hérault parvient à équilibrer son budget grâce à l’optimisation des moyens de fonctionnement (les dépenses de fonctionnement sont stabilisées grâce à la maitrise de la masse salariale) mais aussi grâce à son dynamisme démographique qui renforce le produit des droits de mutation que le Département perçoit.
LE CAP SUR L’INVESTISSEMENT EST MAINTENU AU BÉNÉFICE DE L’EMPLOI ET DE L’ÉCONOMIE LOCALE
Cette année encore, le Président du Département Kleber Mesquida a décidé de maintenir un haut niveau d’investissement, au bénéfice de l’économie et de l’emploi local, des communes et intercommunalités, afin de garantir aux Héraultais le niveau d’équipement nécessaire au développement du territoire. Au total, c’est un budget d’investissement de près de 200 millions d’euros qui est envisagé pour le budget primitif 2018.
Un investissement conséquent destiné à mettre en œuvre les orientations fixées en début de mandat dont les réalisations seront lancées en 2018 : le Très haut débit, l’irrigation, la viticulture, l’oenotourisme, les équipements culturels majeurs et à soutenir les projets de territoires portés par les communes et intercommunalités (le Département rénovera sa politique en matière d’assistance technique et crée un service d’’ingénierie qui leur sera dédié) mais aussi la construction et la gestion des collèges (prise en charge de la maintenance informatique des 80 établissement progressivement jusqu’en 2021, poursuite de l’approvisionnement en produits bio et locaux dans les cantines), la gestion des routes et ports départementaux (déviations de Montagnac, Aniane, Montbazin, Jonquières, rocade nord de Béziers) et son intervention en matière de défense contre l’incendie et le secours aux personnes (plan pluriannuel d’investissement destiné à la rénovation du matériel et équipements). Enfin, cet investissement doit permettre d’optimiser les moyens nécessaires au bon fonctionnement de l’institution, la construction d’Alco 2 répond à cet objectif.
Avec une épargne brute (autofinancement) évaluée à 85 M€ en 2018, le Département est en mesure de financer ses investissements, de rembourser la dette et de disposer d‘une capacité de désendettement inférieur à 6 ans, et de répondre ainsi aux objectifs du Pacte de confiance.
Actions nouvelles ayant un impact sur le projet de BP 2018 :
Enfance (prise en charge des mineurs non accompagnés et mesures liées au schéma de l’enfance : villa d’urgence et centre parental de Béziers): 17,9 M€
Aménagement de la Zac Saint Antoine : 680 000 €
Laboratoire vétérinaire : renforcement de la surveillance sanitaire des coquillages confié par l’Etat au laboratoire : 1,97 M€
Sated : réflexion en cours pour répondre aux exigences de la Loi notre en matière de solidarité territoriale : 1,19 M€