Affaire abbé Pierre : "Quelques évêques" étaient au courant depuis 70 ans, admet le président des évêques de France

 

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Dans le sillage du pape François, le président des évêques de France, Monseigneur Éric de Moulins-Beaufort, a reconnu dans Le Monde ce lundi 16 septembre que "quelques évêques" étaient au courant des agissements de l'abbé Pierre depuis 70 ans.

Après l'enchaînement de révélations autour des agissements de l'abbé Pierre, dénoncé par ses victimes présumées, qui l'accusent de divers abus sexuels allant jusqu'au viol, l'heure est aux clarifications. L'Église savait-elle, et depuis quand, interrogent de concert la presse et les associations. Dans une tribune publiée ce lundi 16 septembre dans Le Monde, Monseigneur Éric de Moulins-Beaufort, le président des évêques de France, a reconnu, comme le pape avant lui, que "quelques évêques au moins" avaient été au courant "dès 1955-1957" de ces faits.

"Une réaction forte" de l'Église

"Il est désormais établi que, dès 1955-1957, quelques évêques au moins ont su que l’abbé Pierre avait un comportement grave à l’égard des femmes", écrit Mgr de Moulins-Beaufort. L'archevêque de Reims évoque les "mesures prises" alors par l'Église pour encadrer le prêtre, dont "une cure psychiatrique", et "un adjoint (socius) imposé à l'abbé Pierre" pour le surveiller.

"On peut les juger insuffisantes, on peut regretter qu’elles aient été gardées très confidentielles. Elles représentent cependant une réaction forte au regard des manières de faire de ce temps", souligne l'évêque................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/societe/fait-divers/affaire-abbe-pierre-quelques-eveques-etaient-au-courant-depuis-70-ans-admet-le-president-des-eveques-de-france-magic-CNT000002f2JBp.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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