"Les forces continuent-elles de s’accumuler ?" : 13 ans après le drame de Fukushima, un navire scientifique tente de percer les mystères des séismes

 

Selon France Info

Lieu, Terre, Carte, Monde, Pipeline

Une équipe de scientifiques à bord du "Chikyu", l'un des plus grands navires de recherche océanographique au monde, fore les fonds marins afin de mieux comprendre ce qu'il s'est passé le 11 mars 2011. 

Enfoncer un tuyau à la verticale dans 7 000 mètres d’eau pour atteindre le sol sous-marin, puis forer sur une profondeur de 950 mètres, afin d’effectuer des prélèvements terrestres au confluent de deux plaques tectoniques, c’est la mission du bateau Chikyu.

Au large du Japon, ce bateau explore la zone au large des départements de Miyagi et Fukushima, dans laquelle s’est produit le 11 mars 2011 un violent tremblement de terre de magnitude 9 et un tsunami qui ont tué plus de 18 500 personnes.

Après une première mission en 2012, des chercheurs sont de nouveau sur place, dans le Pacifique, pour percer les entrailles de la Terre et voir ce qu’il s’y passe depuis ce séisme. Mais pour cela, il faut aller loin, très loin : "Pour pouvoir assembler à la verticale un tuyau d’un total de 8000 mètres de long,  il faut un bateau de cette dimension, sinon c’est impossible", assure Nobu Eguchi, directeur chargé des opérations de forage pour l’Institut japonais d’exploration maritime et terrestre (Jamstec). 

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/japon/fukushima/reportage-les-forces-continuent-elles-de-s-accumuler-13-ans-apres-le-drame-de-fukushima-un-navire-scientifique-tente-de-percer-les-mysteres-des-seismes_6782824.html

Brocante - les conseils d'un pro

Brocante - les conseils d'un pro

LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
» Amazon