Baisse de 10% des tarifs réglementés de l'électricité : "Ce sera toujours 27% de plus qu'il y a deux ans", rappelle l'UFC Que Choisir

 

Selon France InfoAmpoule, Incandescent, Électricité

"Même si on applique en février prochain une baisse de 10%, ce sera toujours 27% de plus qu'il y a deux ans", rappelle ce jeudi sur franceinfo Antoine Autier, responsable des études et spécialistes des questions d’énergie à l’UFC Que Choisir, alors que la Commission de régulation des prix de l'énergie annonce une baisse "d'au moins 10%" des tarifs réglementés de l'électricité pour le 1er février. 
  
"Il faut contextualiser", explique-t-il, "aujourd'hui un consommateur moyen qui est chauffé à l'électricité paye à peu près 2 250 euros de facture annuelle moyenne, c’est-à-dire 40% de plus que début 2023, donc il ne faut pas occulter les hausses massives d'électricité qu'ont connues les consommateurs"

Un mode de calcul qui fait débat

La méthode de calcul du tarif réglementé est selon lui le principal problème. "Aujourd'hui, le mode de calcul du tarif réglementé donne pour plus de 50% de place aux prix des marchés de l'électricité, c’est-à-dire que ce n'est pas le coût de production en France qui détermine le prix payé par les consommateurs", explique-t-il. "C'est tout à fait anormal, parce que les consommateurs devraient payer un prix d'électricité, au moins sur le tarif réglementé, qui correspond aux coûts de production de l'électricité en France", dénonce-t-il, rappelant au passage "qu'en France, on produit une énergie très largement décarbonée, qu'on est très largement indépendant de nos voisins, et que notre électricité est produite bien moins chère que les prix sur les marchés".

 

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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