Éducation : les inégalités à l'école commencent "dès le plus jeune âge" et varient en fonction du "milieu socio-économique", selon l'OCDE


L'OCDE publie mardi un rapport qui pointe la persistance de très grosses différences dans le parcours des élèves en fonction des inégalités sociales et économiques. 

Selon France InfoAi Généré, Professeur, Classer, L'École

Quel rôle joue le milieu familial dans la réussite des élèves à l'école ? L'OCDE, l'Organisation de coopération et de développement économiques, publie mardi 10 septembre son rapport annuel "Regards sur l'éducation" et pointe, entre autres, le manque de progrès, dans la plupart des pays, dont la France. Il y a encore de très gros écarts dans le parcours des élèves, liés aux inégalités sociales et économiques.

Même dans les pays les plus équitables, explique l'OCDE, les élèves les plus défavorisés n'atteignent pas le même niveau que leurs camarades plus favorisés. "Le milieu socio-économique, le niveau d'éducation des parents, c'est vraiment le plus grand prédicteur de la réussite éducative et de l'insertion professionnelle. On a des statistiques qui montrent que ces inégalités commencent dès le plus jeune âge", explique Éric Charbonnier, analyste à l'OCDE.

Exemple avec la crèche : 85% des enfants de moins de 2 ans de familles les plus riches y sont inscrits. La proportion tombe à 33% pour les foyers les plus modestes. L'OCDE parle de "grand écart des inégalités sociales", à tous les niveaux d'éducation, la faute à notre système éducatif, selon l'organisation, qui est encore assez élitiste et oublie les enfants les plus défavorisés.

Des progrès dans certains domaines

L'organisation internationale note tout de même quelques avancées. Sur le décrochage scolaire par exemple..........

Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/societe/education/education-les-inegalites-a-l-ecole-commencent-des-le-plus-jeune-age-et-varient-en-fonction-du-milieu-socio-economique-selon-l-ocde_6773935.html

Brocante - les conseils d'un pro

Brocante - les conseils d'un pro

LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
» Amazon