Festival de Cannes 2024 : Palme d'or à "Anora" de Sean Baker, ce qu'il faut retenir du palmarès inattendu du jury de Greta Gerwig

 

Selon France InfoCinéma, Première Du Film, Première

Ce que d’aucuns ont apprécié comme une belle édition, ce 77e Festival de Cannes s’est clôturé samedi 25 mai avec un palmarès qui a récompensé huit films sur les vingt-deux longs métrages en compétition. La Palme d’or est revenue à Sean Baker pour Anora, l’histoire d’une escort girl dont tombe amoureux un milliardaire. Une surprise pour beaucoup, même si le réalisateur était déjà en compétition en 2021 avec Red Rocket. Retour sur un palmarès qui a mis aussi en avant les Français(e)s Jacques Audiard avec deux récompenses, et Coralie Fargeat, ou l’Indienne Payal Kapadia.

Si la parité n’était pas encore au rendez-vous, puisque sur vingt-deux cinéastes quatre femmes était en lice, celles-ci ont marqué ce 77e Festival de Cannes, deux d’entre-elles se retrouvant au palmarès.

La Palme d’or revient à "Anora" de Sean Baker, une histoire de femme

Remise par un Américain, George Lucas, à son compatriote Sean Baker, l’ultime récompense du cinéma mondial a distingué Anora, une Cendrillon moderne qui tapine dans un club, dont un oligarque russe tombe amoureux. A sa projection, le film se révélait plaisant, mais n’avait pas laissé une impression fracassante, même si certains sentaient déjà le vent venir............

Aller plus loin https://www.francetvinfo.fr/culture/cinema/festival-de-cannes/festival-de-cannes-2024-palme-d-or-a-anora-de-sean-baker-ce-qu-il-faut-retenir-du-palmares-inattendu-du-jury-de-greta-gerwig_6566159.html

Brocante - les conseils d'un pro

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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