Homophobie, transphobie : la France en fait-elle assez contre les discriminations ?


Dans son rapport annuel sur les LGBTIphobies publié mercredi 15 mai, SOS Homophobie indique avoir reçu 1 506 témoignages en 2022 en France concernant des discriminations. L’association s’inquiète de "la vague de transphobie que nous sommes en train de vivre ". Et vous, pensez-vous que la France soit assez active dans la lutte contre ces discriminations ?

Selon Orange.fr

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C’est un document choc qui tend à montrer que la France a encore du chemin à faire en matière de lutte contre les discriminations. Mercredi 15 mai, SOS Homophobie a publié son rapport annuel sur les LGBTIphobies, visible sur son site. En 2022, l’association a recueilli 1 506 témoignages de victimes de LGBTPhobies. C’est 5 % de plus qu’en 2021. Pas moins de 1 195 ont eu lieu en France et 59 à l’étranger, précise l’association dans son communiqué de presse. Dans les colonnes du Parisien, Julia Torlet, porte-parole et présidente de l’association, s’alarme : "Nous sommes extrêmement inquiets. On a l’impression que les braises de la LGBTI phobie sont allumées et que le feu est prêt à prendre." Et vous, pensez-vous que la France en fait assez contre les discriminations ?

SOS Homophobie dénonce également dans son rapport "une vague de transphobie, portée par nombre de mouvements anti-trans et ce, jusque dans les sphères de l’État". Le nombre de cas de transphobie a augmenté de 35 % par rapport à 2020, selon le rapport. Les personnes trans sont victimes de violence dans 20 % des cas dans les commerces et les services, comme dans les administrations scolaires. Dans 24 % des cas, les agressions LGBTIphobes se déroulent dans les milieux scolaires, au travail et 36 % dans les situations familiales.

SOS Homophobie demande aux pouvoirs publics de s’engager

................... Poursuivre : https://actu.orange.fr/question-du-jour-2024-05-16-CNT000002dSQaJ.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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