AccueilEchosEchosDépistage du cancer du sein : ne pas oublier malgré le Coronavirus
Dépistage du cancer du sein : ne pas oublier malgré le Coronavirus
Le dépistage est la réalisation d’examens de détection ou de surveillance alors qu’on est en bonne santé.
L’objectif du dépistage organisé est de détecter un cancer à un stade précoce et permettre ainsi sa guérison.
Pour le cancer du sein le dépistage organisé permet de détecter des lésions qui ne sont ni palpables ni visibles. Laissant ainsi une grande chance de guérison et réduisant la lourdeur des soins.
Le dépistage organisé du cancer du sein consiste à inviter tous les 2 ans, les femmes âgées de 50 à 74 ans à pratiquer une mammographie.
Depuis 2004, le dépistage organisé du cancer du sein est généralisé dans tous les départements. Un programme national avec différentes modalités est développé pour inviter et inciter les femmes à participer à ce dépistage.
Dépistages34 était une association loi 1901 fondée en 1999 par le Professeur Jean-Pierre DAURES qui fut le président jusqu’en 2018. Le docteur Jean-Loup CHAPPERT était le médecin directeur de Dépistages34 depuis le 1er décembre 2017. Il a succédé au Dr Jeanine CHERIFCHEIKH.
A partir du 1er janvier 2019, toutes les structures de dépistage de la région Occitanie ont fusionné en une seule structure : Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers – Occitanie (CRCDC-Occitanie). Le Dr CHAPPERT est médecin responsable du site Hérault.
Le dépistage organisé du cancer du sein. Pourquoi ?
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. Plus de 50000 nouveaux cas estimés en 2014. Première cause de mortalité par cancer chez la femme. Un diagnostic précoce constitue le meilleur moyen d’agir contre le cancer du sein.Le dépistage permet de détecter des cancers bien avant qu’ils soient palpables ou symptomatiques. La mammographie est l’examen de référence dans le dépistage du cancer du sein.
Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.
LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE
Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.
LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE
Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon. Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode. Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. » Amazon