Les ravages des injections clandestines
Selon France Info :
Fadila, 30 ans, hurle de douleur. Le chirurgien esthétique tente de réparer les dégâts provoqués par l'amateurisme d'une "injectrice clandestine" sur le visage de la jeune femme. Le médecin remodèle son nez, afin qu'elle puisse de nouveau sortir de chez elle sans avoir honte de son image. Un vrai calvaire pour Fadila, une des nombreuses victimes de ces "injectrices" qui, au mieux, ont bénéficié de quelques heures d’entraînement clandestin en matière de chirurgie esthétique.
Elles proposent en toute illégalité sur Instagram des injections d'acide hyaluronique à prix cassé, souvent sans aucun respect des règles sanitaires de base, chez elles ou dans des appartements loués à la semaine. Une activité interdite puisqu'il s'agit d'exercice illégal de la médecine.