Jean Marie Azaïs (dit Jean du Larzac) va réaliser en vélo solaire un périple de 6800 km au Maroc, puis au Portugal et en Espagne, accompagné  par Jean-Philippe Maurice sur plus de 3000 kms. Ce périple pourra être suivi sur http://routemondiale.fr/

Pour eux, Être citoyen du monde , c’est considérer que nous sommes tous des êtres humains avec les mêmes
droits, quelles que soient nos différences ethniques, culturelles, philosophiques, religieuses, sexuelles ou politiques.
Être citoyen du monde, c’est accepter ces différences et les faire respecter, c’est œuvrer activement pour la justice sociale, pour l’harmonie entre les hommes, et pour le respect de la vie sous toutes ses formes, végétale, animale, minérale…
Être citoyen du monde c’est refuser vigoureusement toute forme d’oppression et d’asservissement
des êtres humains,  c’est refuser toute forme de dictature mondialiste prétendant imposer sa loi d’airain aux peuples de la Terre, en niant leurs différences pour en faire une masse informe, indifférenciée manipulable et exploitable à volonté.
La seule loi universelle que reconnaissent les citoyens du monde, c’est la loi de la Nature, la loi du vivant.

 

A 8 jours du départ prévu le 22 avril au matin de l'Hospitalet du Larzac leur plan d’action mis en place avait été respecté :


-L’ascension  du mont Ventoux avant de franchir l’Atlas et la rencontre avec Cahors Mundy dont ses membres sont à l’origine de la route sans frontières. Des liens solides ont été établis avec le président de l'association Cahors Mundy Pierre Petric, et ils ont pris l’engagement  de poser une Borne à Sarajevo , son pays natal qui est une ville historique .

L’association Cahors Mundi a pour objet de défendre, pérenniser et valoriser les valeurs humanistes et universelles qui ont données naissance dans les années 50 à « Cahors ville du monde », sous l’appellation de « Cahors Mundi », et à la première route mondiale sans frontières de la paix en développant toutes actions à partir de Cahors en faveur de la citoyenneté, de l’éducation, du sport, des arts et de la culture. Depuis, certaines bornes sont mises en place.
 


      Quelques vidéos qui résument en dynamique les préparatifs du voyage au Maroc à la rencontre des Citoyens Marocains sur http://routemondiale.fr/   et sur http://liberte-cyclo-solaire.fr/

        Si vous souhaitez suivre se périple au Sahara sur les traces du Suntrip 2024 n’hésitez pas à vous abonnez à la chaîne YouTube « jean marie Azaïs » une vidéo de moins de 2 minutes tous les soirs pour suivre cette aventure solaire .

pour ceux qui ont Facebook s’abonner à « Jean Marie Routemondiale.fr »

Après un premier test des deux trikes solaires au mont Ventoux le géant de Provence, les 2 structures ont très bien réagi  dans des conditions difficiles avec une pointe de vitesse de 67 km/h en descente avec une remorque solaire.

 

 

 
Les deux citoyens du monde,  ambassadeurs de la route Mondiale, avant d'embarquer à Sète le 23 avril ont fait une halte, la veille, à Villeveyrac. Venant de l'Hospitalet en trike solaire Jean Philippe et Jean Marie étaient déjà en route...
 
Suite à l'interdiction par son chirurgien de participer au Suntrip 2024, Jean Philippe prévoit de faire la partie Marocaine "sur les traces du Suntrip" et accompagnera Jean-Marie sur 3800 km départ du Larzac via  Sète en suivant les check point du Suntrip, le but étant de  promotionner la route mondiale. Et il utilise une remorque solaire.
 
Leur objectif est de gérer au mieux les ressources. D'ailleurs, de leurs panneaux solaires au chargeur solaire et à la batterie il n'y a qu'un boîtier MPTT qui assure le transfert de l'électricité.
Le principal pour eux est d'être toujours en autonomie car en 2 h les batteries sont rechargées si nécessaire. Ils roulent donc "au couple" (500 W maximum) pour ménager leurs montures dont les structures ont été fabriquées en Lettonie (mais assemblées par leurs soins) et ne pas se fatiguer inutilement.
 

 

Il le faudra car pour Jean-Marie c'est un voyage au Sahara avec un  retour par le chemin de Saint Jacques de Compostelle, pour revenir au Caylar et à l'Hospitalet du Larzac,  6800 km, avec un départ de Sète en bateau jusqu’à Tanger en passant entre-autres par Rabat, Casablanca, Marakech, Ouarzazate, Agadir, Insifini, Midelt, Meknes, Tanger, Séville, Lisbonne, Porto, Saint Jacques de Compostelle, pour remonter vers la France par le col de Ronceveaux, et le tout en autonomie solaire.
Arrivée prévue au Roc Castel au Caylar pour inaugurer une borne de la route mondiale dans l’Hérault...