Des espèces protégées encore victimes de tirs pendant le confinement !
Deux Buses variables et un Autour des Palombes ont été accueillis au mois de novembre, en pleine période de confinement, au Centre Régional de Sauvegarde de la Faune Sauvage de Villeveyrac (34). Criblés de plombs de chasse, ces rapaces protégés n’ont pas survécu et viennent s’ajouter à de nombreux autres (Circaète-Jean-le-blanc, Milan royal faisant l’objet d’un Plan National d’Actions et porteur d’une balise qui avait été bagué en Autriche,…).
Une vingtaine de cas de braconnage avaient déjà été signalés par la LPO en 2019, 2020 semble être encore une triste année malgré les restrictions d’accès à la nature dans le cadre des mesures sanitaires prises par le gouvernement.
La LPO rappelle que la destruction d’espèces protégées est passible de 2 ans de prison et de 150 000 euros d’amende et demande au public de lui transmettre tout cas de braconnage qu’il aurait pu détecter.
Avec plus de 2900 animaux accueillis depuis le mois de janvier, les équipes de l’unité de soins du centre de sauvegarde sont toujours autant mobilisées en cette fin d’année et ce malgré un manque de bénévoles qui ne peuvent plus aider à la prise en charge de la faune en détresse et une baisse des dons reçus du public.
La LPO rappelle que la destruction d’espèces protégées est passible de 2 ans de prison et de 150 000 euros d’amende et demande au public de lui transmettre tout cas de braconnage qu’il aurait pu détecter.
Avec plus de 2900 animaux accueillis depuis le mois de janvier, les équipes de l’unité de soins du centre de sauvegarde sont toujours autant mobilisées en cette fin d’année et ce malgré un manque de bénévoles qui ne peuvent plus aider à la prise en charge de la faune en détresse et une baisse des dons reçus du public.
L’association en appelle donc à nouveau à la générosité des citoyens afin de contribuer à financer son activité en faveur de la biodiversité et dont elle doit assurer l’essentiel des coûts de fonctionnement (http://herault.lpo.fr/nous-aider).