Marche personnalisée pour le climat du 27 janvier à Montpellier, avec scénographie participative
Appel : Marche pour le climat du 27 janvier 2019 à Montpellier.
Participons-tous au montage de la scénographie ayant l’eau potable indissociable du climat pour thème, symbolisé par une chute d’eau virtuelle conçue par Christian Puech, de l’association « Témoins au bout du monde », co organisateur de la marche.
Mode d’emploi impécunieux et durable : prenez la couverture d’un vieux cahier ou une chemise cartonnée que vous alliez jeter, par exemple, et dessinez-y sur 6 à 8 centimètres les contours de votre animal sauvage préféré en voie d’institution : un ours, un haras, un éléphant, que sais-je ? Ou dessinez-y les contours d’un arbre précieux, magnifique, un baobab… où ceux d’une plante endémique, ou tout simplement celui d’un cœur ; puis découpez-en les contours.
Collez ensuite un morceau de papier doré ou argenté, que l’on trouve dans les plaquettes de chocolat ou paquets de biscuits, puis découpez le papier doré qui dépasse des contours.
Ecrivez au verso vos attentes en ce qui concerne le nouveau mode de vie, de développement, de consommation,que vous appelleriez de vos vœux, ou décrivez votre action quotidienne pour la planète en grand danger : ramasser et trier vos déchets, organiser des covoiturages, privilégier une alimentation moins carnée, créer un jardin partagé, il y a d’innombrables actions positives.
Arrimez le haut de votre « œuvre » au moyen d’un trombone par exemple, et venez à partir de 13 h 30 au Peyrou, dimanche 27 janvier, la suspendre à l’un des nombreux rubans de 3 mètres de hauteur qui sur 25 mètres seront à votre disposition. (Nous accrocherons ceux qui seront au-dessus de deux mètres).
Certes, cette chute d’eau virtuelle n’est pas celle du Zambèze ou celle d’Iguazu, mais imaginez les lumières enfantées par 5 000, peut-être 8 000 de vos messages porteurs de tant d’espérance et de fraternité, miroitants au soleil du jardin du Peyrou sous l’effet du Mistral ou la Tramontane. Et l’eau, quel symbole sur notre planète. Une eau à l’origine de la vie, toutes deux confrontés à un système déréglé qui souvent ne les respecte pas.
A la fin de la Marche,« Témoins au bout du monde », enroulera précieusement cette cascade de messages et vous tiendra informé par l’intermédiaire des médias des principaux vœux émis et points à résoudre selon vous dans notre société. Christian Puech. Explorateur, écologiste apartisan.