MUSE affiche la qualité des recherches menées en Occitanie
Partenaire majeur du projet « Montpellier Université d’Excellence » (MUSE) labellisé I-Site en 2017, la Région a affiché ce lundi 25 novembre avec l’Université de Montpellier de nombreuses actions innovantes sur l’alimentation, l’environnement et la santé.
- La Région est aux côtés des chercheurs pour répondre aux grands défis des transitions énergétique, écologique et climatique, alimentaire et santé
Nourrir, soigner et protéger. L’initiative MUSE - Montpellier Université d’Excellence - se focalise sur ces trois défis : une agriculture innovante pour la sécurité alimentaire, la gestion durable des ressources naturelles et la santé. Piloté par l’Université de Montpellier avec 11 organismes de recherche, 4 grandes écoles et 3 établissements de santé, MUSE a été labellisé I-Site (Initiative Science Innovation Territoire Economie) par le Programme d’investissements d’avenir en 2017 et pour deux ans. Ce lundi 25 novembre, à l’Institut de botanique, la Région était aux côtés de l’Université de Montpellier pour en afficher le premier bilan, alors que le jury de renouvellement du label se réunit le 28 novembre.
Second financeur de MUSE après l’Etat, la Région a mobilisé près de 77 M€, dont plus de 25 M€ de fonds européen Feder, depuis 2017. Sa contribution a financé l’amélioration des infrastructures de recherche, 12 plateformes régionales de recherche et d’innovation, soutenu 130 jeunes chercheurs et primé plusieurs collaborations laboratoires-entreprises.
- Le projet MUSE participe aussi à la reconnaissance internationale de la qualité de la recherche et des formations
Dans les domaines de MUSE, la reconnaissance internationale de la qualité de la recherche et des formations est au rendez-vous : l’université de Montpellier a décroché la 1ère place en écologie au classement de Shanghaï 2019 et l’Unesco a annoncé le 18 novembre la création d’un Centre international Unesco dédié à l’eau - le seul en France - à Montpellier, à partir de l’institut IM2E regroupant plus de 400 scientifiques et 150 doctorants à Montpellier, Alès et Narbonne.