Accueillez un élève de seconde et proposez une offre de stage sur « 1jeune1solution » !

 

Vous souhaitez faire découvrir vos métiers aux plus jeunes ? Il est possible de déposer sur la plateforme « 1jeune1solution » une offre de stage d'observation destinée aux élèves de seconde générale et technologique. Ce stage obligatoire doit s'effectuer entre le 17 et le 28 juin 2024 inclus.

Commencez, Entreprise, Gens, Étudiants

Le stage d'observation pour les élèves de seconde constitue une nouveauté. Il a pour but de mettre l'élève en contact direct avec le monde professionnel et de lui faire découvrir des métiers pour mieux l'orienter à l'avenir.

Ce stage présente également des avantages pour votre entreprise.

Pourquoi est-ce bénéfique pour votre entreprise ?

Accueillir un élève de seconde générale ou technologique dans le cadre de ce stage d'observation présente de multiples avantages :

  • valorise votre activité ;
  • renforce l'attractivité et la notoriété de votre entreprise auprès des jeunes ;
  • fait découvrir vos métiers et créer des vocations ;
  • met en avant vos équipes et les valeurs de votre entreprise.

Une playlist comprenant des vidéos témoignages d'entreprises expliquant l'intérêt d'accueillir un élève de seconde dans l'entreprise est également disponible.

 

Comment recruter ?

Recruter un stagiaire s'effectue en plusieurs étapes sur « 1jeune1solution » :

  1. création de votre compte ;
  2. dépôt de l'offre (inclut la possibilité de la modifier et de la dupliquer) ;
  3. réponse aux candidatures (dans l'onglet « Mon tableau de bord », colonne « Candidatures ») ;
  4. création en ligne de la convention de stage et transmission à l'établissement scolaire.

À noter

Les candidatures des élèves expirent après 15 jours sans réponse de votre part.

 

Comment s'organise l'accueil de l'élève ?

Les conditions d'accueil de l'élève sont inscrites dans une convention de stage signée par les responsables légaux de l'élève (ou par l'élève lui même s'il est majeur), le chef de l’établissement d’enseignement scolaire et le responsable de la structure d’accueil.

Le suivi de l'élève est effectué par un tuteur au sein de l'entreprise et par un professeur de l’établissement scolaire.

Ce stage nommé « séquence d'observation » peut être de 2 semaines au sein de la même structure ou de 2 fois une semaine dans 2 structures différentes.

Il est possible d'accueillir un élève, un petit groupe d'élèves ou un groupe classe dans votre entreprise.

À savoir  

Une FAQ disponible sur la plateforme « 1jeune1solution » répond à l'ensemble de vos questions.

Le ministère de l'Éducation nationale propose également une FAQ sur l'accueil du stagiaire.

Voir aussi

17 mai : Journée mondiale de lutte contre les LGBT+phobies

 

A l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre les LGBT+phobies, la Ville de Montpellier réaffirme son engagement en faveur de l’égalité de droits et de traitements pour toutes et tous. Les insultes, les discriminations et les violences subies par un grand nombre de personnes LGBT+ en raison de leurs amours ou de leurs sexualités sont inacceptables et doivent cesser.

 

Aux côtés des associations engagées dans la défense des droits des personnes LGBT+, la Ville de Montpellier condamne avec la plus grande fermeté les propos haineux, les violences et les crimes de haine dont la communauté est malheureusement encore trop souvent la cible.

Des mesures pour prévenir ces violences et assurer la sécurité de toutes et tous sont mises en œuvre toute l’année sur notre territoire mais, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les LGBT+phobies, la Ville souhaite symboliquement affirmer son soutien et son accompagnement à toutes les personnes concernées en recevant les associations et en hissant les couleurs du Rainbow Flag au fronton de l’Hôtel de Ville.

 

17 mai : cérémonie officielle de levée du drapeau LGBT+

Pour symboliser son engagement en faveur de l'égalité des droits, la Ville de Montpellier organise une cérémonie officielle en présence des élus et des associations :

Vendredi 17 mai 2024 à 10h30 - Hôtel de Ville de Montpellier, 1 place Georges Frêche 34000 Montpellier

Rendez-vous sur la terrasse de la salle des rencontres de l’Hôtel de Ville le vendredi 17 mai 2024 à 10h30 pour un temps officiel selon le déroulé suivant :

 

  • 10h30 : Lever du Rainbow Flag sur les mâts de l’Hôtel de Ville.
  • 10h45 : Présentation du Rapport 2024 de l’association SOS Homophobie, qui rend compte des agressions LGBT+phobes en France en 2023, par M. Yves Ducel-Fages, Délégué départemental, et M. Donatien Lacoste, militant de SOS Homophobie.
  • 11h00 : Prise de parole de l’Inter-Asso, qui regroupe les associations agissant en faveur des droits des personnes LGBT+ sur Montpellier, représentée par M. Olivier Vaillé, Président de l’association Fierté Montpellier Pride.
  • 11h15 : Prise de parole de Michaël Delafosse

Entrée libre

Lieu : Hôtel de Ville de Montpellier, Terrasse de la Salle des Rencontres, 1 place Georges Frêche, 34000 Montpellier

 
 

Stand-up - Le rire contre les LGBT+phobies

Vendredi 17 mai 2024 de 20h à 21h30

Cette année, la Ville de Montpellier vous invite à une soirée de stand-up contre les LGBT+phobies, qui sera animée par les artistes locaux·les : Hadir Smine, Emna Kallal et Eddine Zeroug. Parce que le rire est un bel outil pour sensibiliser face aux discriminations, tout en réunissant les gens.

Entrée libre

Lieu : Social Bar Montpellier, 48 Square de la Babote, 34000 Montpellier

Ciné-débat autour du film L’Arche de Noé de Bryan Marciano 

Mercredi 22 mai 2024 à partir de 18h30

Organisation d’un ciné-débat autour du film L’Arche de Noé de Bryan Marciano, en partenariat avec l’association Le Refuge.

Entrée payante : 4€

Lieu : Quartier Celleneuve - Cinéma municipal Nestor Burma, 2 Rue Marcellin Albert, 34080 Montpellier

Entre mai et juin 2024

Actions de sensibilisation et d’information sur la lutte contre les LGBT+phobies. Rencontre des bars de la Ville et distribution de sous-bocks de prévention, par les services du CLSPD et de la Cohésion sociale de la Ville de Montpellier.

 

Programme associatif 2024

  •  Association Chemin des Cimes en partenariat avec le cinéma Utopia

Du mercredi 5 juin au 26 juin 2024

Dans le cadre du mois de la Pride, et afin de célébrer toutes nos diversités, l'association Chemin des Cimes et Les cinéma Utopia proposent de découvrir, ou re-découvrir, 4 films qui ont marqué l'histoire du cinéma LGBTQIA+

Pride, le mercredi 5 juin à 20h10
Moonlight, le mardi 11 juin à 20h10
Portrait de la jeune fille en feu, le mercredi 19 juin à 20h10
Hedwig and the Angry Inch, le mercredi 26 Juin à 20h10

Entrée payante : 6,5€ (tarif réduit : 5€ pour les adhérent(e)s CDC, et 3,9€ pour les étudiant(e)s avec l’abonnement yoot)

Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou 06.79.98.90.95

Adresse : Cinéma Utopia - 5 avenue du docteur Pezet, 34090 Montpellier

 

  • Fondation Le Refuge

Vendredi 17 mai 2024 à partir de 12h30

Ensemble pour la levée du Rainbow Flag

Découverte de la levée du drapeau, à l’occasion de la cérémonie organisée à l’Hôtel de Ville, puis pique-nique partagé au Bassin Jacques Cœur.

Entrée libre

Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Adresse : Hôtel de Ville de Montpellier, Terrasse de la Salle des Rencontres, 1 place Georges Frêche, 34000 Montpellier, puis Bassin Jacques Cœur, 34000 Montpellier

Rapport 2023 sur les LGBTIphobies de SOS Homophobie

En 1997 paraissait le premier Rapport de l’association SOS Homophobie sur les violences vécues par les personnes LGBT+.

Depuis, cet ouvrage recense et analyse chaque année les témoignages reçus quotidiennement sur leur ligne d’écoute. En 2020, le document prend le nom de Rapport sur les LGBTIphobies dans le but de mieux représenter la diversité des personnes concernées.

Les données statistiques sont classées dans plusieurs thématiques (agressions physiques, discriminations au travail, en famille, mal de vivre, etc.), et analysées par les bénévoles. Ce rapport constitue une référence qui permet de présenter chaque année l'évolution des discriminations LGBT+phobes en France.

Consulter le rapport 2023

 
 

Victimes ou témoins, libérons la parole, signalons les faits !

La Ville assure la promotion de l’application « FLAG ! » permettant à toute personne victime ou témoin d’un acte LGBT+phobe de le signaler.

Cette démarche participe au renforcement du repérage des actes. Elle s’intègre dans une stratégie globale de libération de la parole face aux violences et de soutien des victimes. En 2022, 35 000 sous-bocks ont été distribués dans plus de 130 bars, pubs, restaurants ou autres lieux de rassemblements de la ville, sur le campus de l’Université Paul Valéry ainsi qu’auprès de partenaires, pour faire connaître l’application au plus grand nombre.

« FLAG ! » référence l’ensemble des acteurs locaux pouvant être contactés afin d’être écouté, accompagné ou soutenu. Les personnes qui le souhaitent peuvent, également, être directement appelées par un représentant de « Fierté Montpellier Pride » ou de « FLAG ! » pour des conseils.

Un groupe de travail a été mis en place pour suivre l’évolution des actes LGBT+phobes recensés sur le territoire de la ville, mettre en commun les informations recueillies et s’accorder sur les actions à mener. Il est composé d’associations LGBT+ et/ou d’aide aux victimes, d’institutions (Préfecture, Unité médico-judicaire, Université de Montpellier, Université Paul Valéry, Éducation nationale, Parquet) et d’acteurs de la sécurité (Police nationale et Police municipale). La démarche a notamment conduit à identifier un « Référent LGBT+ », compétent pour recevoir toute personne souhaitant déposer plainte contre un acte anti-LGBT+ au sein de l’Hôtel de Police de Montpellier.

53 actes LGBT+phobes ont été enregistrés à Montpellier en 2022, soit plus que les années précédentes. Les associations et l’ensemble des acteurs locaux s’accordent néanmoins pour dire que le nombre de violences n’est pas forcément en hausse mais que la parole se libère suite, notamment, au travail mis en œuvre.

Télécharger l'application FLAG!

 
 

Sensibilisation des agents de la Ville et de la Métropole

La municipalité prend également l’initiative de sensibiliser les agents de la Ville et de la Métropole à l’accueil des publics LGBT+ et à l’inclusion professionnelle des agents LGBT+.

Ces sensibilisations proposées par la Direction des Ressources Humaines seront assurées par l’association L’Autre Cercle, avec qui la ville a signé une charte d’engagement. Parallèlement, la Ville de Montpellier s’est engagée dans une démarche de labélisation AFNOR et prépare sa candidature au label Alliance, qui l’engage à respecter l’égalité professionnelle et la diversité.

L'exonération de charges sociales pour l’embauche d’un apprenti


Vous envisagez de recruter un apprenti ? Sachez que vous pouvez bénéficier de différentes aides à l'embauche. Quelles sont-elles ? Sous quelles conditions les obtenir ? On fait le point.

Étudiant, Femme, Commencez, Entreprise

L'aide pour l'embauche d'un apprenti en 2024

Il s'agit d'une aide pour accompagner financièrement les employeurs qui recrutent en contrat d'apprentissage.

Cette aide s’applique aux contrats conclus entre le 1er janvier 2023 et le 31 décembre 2024 (décret n° 2023-1354 du 29 décembre 2023).

Elle est versée uniquement au titre de la première année d’exécution du contrat.

Toutes les entreprises sont éligibles à cette aide. Notez que des conditions supplémentaires s'appliquent aux entreprises de plus de 250 salariés (voir le détail ci-dessous).

Conditions

Pour bénéficier de l'aide, il est nécessaire de remplir plusieurs conditions :

  • le contrat doit être un contrat d'apprentissage,
  • le contrat doit être conclu entre le 1er janvier 2023 et le 31 décembre 2024,
  • l'alternant doit préparer un diplôme ou un titre à finalité professionnelle inférieur ou égal au niveau 7 du cadre national des certifications professionnelles (master, diplôme d'ingénieur, etc.).

Pour les entreprises de plus de 250 salariés, il est nécessaire de remplir - en plus des trois conditions citées ci-dessus - l'une des conditions suivantes :

  • atteindre au moins 5 % de contrats favorisant l'insertion professionnelle (contrat d’apprentissage, contrat de professionnalisation, etc.) dans l’effectif salarié total annuel, au 31 décembre de l'année suivant celle de conclusion du contrat. Ce taux de 5 % est égal au rapport entre les effectifs relevant des contrats favorisant l’insertion professionnelle et l’effectif salarié total annuel de l’entreprise,
  • ou atteindre au moins 3 % d'alternants (contrat d'apprentissage ou de professionnalisation) et avoir connu une progression de 10 % d'alternants au titre de l'année suivant celle au cours de laquelle le contrat a été conclu, comparativement à l’effectif salarié annuel relevant de ces catégories (contrats d’apprentissage et de professionnalisation) par rapport à l’année de conclusion du contrat.

Si les objectifs exposés ci-dessus ne sont pas atteints, les sommes perçues devront être remboursées.

Montant

Le montant de l'aide s'élève à 6 000 euros maximum.

Pour percevoir cette aide, vous devez déclarer l'embauche de votre apprenti à l’Opérateur de Compétences (OPCO) désigné selon votre domaine ou secteur d’activité. 

L'aide est versée automatiquement par l'Agence de services et de paiement (ASP) tous les mois pendant la première année du contrat d'apprentissage, avant le paiement du salaire. Votre avis de paiement est consultable sur la plateforme SYLAé.

L'exonération de charges sociales

Les rémunérations des apprentis bénéficient de la réduction générale de cotisations renforcée.

L’exonération des cotisations salariales spécifique aux contrats d’apprentissage du secteur privé est limitée à 79 % du Smic en vigueur au titre du mois considéré.

 

Aides spécifiques à l'embauche pour les apprentis reconnus travailleurs handicapés

Les employeurs qui choisissent de recruter un apprenti reconnu travailleur handicapé bénéficient d’aides spécifiques :

Pour les employeurs du secteur privé : l’aide à l’embauche en contrat d’apprentissage d’une personne handicapée proposée par l’Agefiph (Association de Gestion du Fonds pour l’Insertion Professionnelle des Personnes Handicapées). Son montant est de 4 000 euros maximum.

 

Pour les employeurs de la fonction publique : 

  • l’indemnité d’apprentissage en cas de recrutement d’une personne handicapée avec une prise en charge par le FIPHFP (Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique) du coût salarial chargé de l’apprenti à hauteur de 80 %,
  • la prise en charge des frais de formation dans la limite d’un plafond de 10 000 euros par année de scolarité,
  •  la prime d’insertion si l’employeur conclut avec l’apprenti un contrat à durée indéterminée à l’issue de sa période d’apprentissage. Son montant est de 4 000 euros.

Notez que ces trois aides sont cumulables.

 

Journée internationale contre l'homophobie, ce sera le 17 mai


Selon une opinion largement répandue dans les pays occidentaux, l’homosexualité serait aujourd’hui plus libre que jamais : partout présente et visible, dans la rue, dans les journaux, à la télévision, au cinéma, elle serait même tout à fait acceptée, ce dont témoignent apparemment les récentes avancées législatives sur la reconnaissance des couples de même sexe. Certes, quelques ajustements demeurent nécessaires pour éradiquer les dernières discriminations, mais avec l’évolution des mentalités, ce ne serait en somme qu’une simple affaire de temps, le temps de faire aboutir un mouvement de fond lancé depuis plusieurs décennies déjà.

Fille, Femme, Drapeau, Lgbt, Défilé Gay

Une apparence trompeuse

Pour l’observateur un peu plus attentif, la situation est globalement bien différente : et à vrai dire, le XXème siècle a sans doute été une des périodes les plus violemment homophobes de l’Histoire : déportation dans les camps de concentration sous le régime nazi, goulag en Union soviétique, chantages et persécutions aux Etats-Unis à l’époque de McCarthy... Evidemment, tout cela peut sembler loin. Mais bien souvent, les conditions d’existence dans le monde d’aujourd’hui restent très défavorables.

L’homosexualité est souvent discriminée

Dans 72 états au moins, les actes homosexuels sont condamnés par la loi (Algérie, Sénégal, Cameroun, Ethiopie, Liban, Jordanie, Arménie, Koweït, Porto Rico, Nicaragua, Bosnie...) ; dans plusieurs pays, cette condamnation peut aller au-delà de dix ans (Nigeria, Libye, Syrie, Inde, Malaisie, Cuba, Jamaïque...) ; parfois, la loi prévoit la détention à perpétuité (Guyana, Ouganda). Et dans une dizaine de nations, la peine de mort peut être effectivement appliquée (Afghanistan, Iran, Arabie Saoudite...).

En Afrique, récemment, plusieurs présidents de la république ont brutalement réaffirmé leur volonté de lutter personnellement contre ce fléau selon eux "anti-africain ". Dans d’autres pays, les persécutions se multiplient. Au Brésil par exemple, les Escadrons de la mort et les skin heads sèment la terreur : 1960 meurtres homophobes ont pu être recensés officiellement entre 1980 et 2000. Dans ces conditions, il paraît difficile de penser que la "tolérance" gagne du terrain. Au contraire, dans la plupart de ces Etats, l’homophobie semble aujourd’hui plus violente qu’hier. La tendance n’est donc pas à l’amélioration générale, tant s’en faut.

Une journée pour la réflexion et l'action

La Journée Mondiale de Lutte Contre l’Homophobie et la transphobie a pour but d’articuler action et réflexion afin de lutter contre toutes les violences physiques, morales ou symboliques liées à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre.

Elle entend susciter, soutenir et coordonner toutes initiatives contribuant à l’égalité entre les citoyens en la matière, et cela dans tous les pays où cette démarche est possible.

L’organisation d’une journée de lutte contre l’homophobie etla transphobie dans chaque pays permettra d’inscrire les luttes dans une démarche de solidarité avec toutes les personnes lesbiennes, gaies, bi et trans (LGBT) du monde entier. Mais il s’agit aussi d’inscrire ces luttes dans une démarche plus globale de défense des droits humains.

Un site à visiter : www.may17mai.com

L'Insee confirme le ralentissement de l'inflation en France en avril, à 2,2% sur un an

 

L'inflation accélère toutefois sur un mois, à 0,5%. "Nous allons ramener l'inflation à 2% d'ici l'an prochain au plus tard", a déclaré le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau.

 

Bourse, Argent, Resserrement Du Crédit

Selon France Info

Le ralentissement de l'inflation annoncé deux semaines plus tôt est confirmé. Les prix ont augmenté de 2,2% en avril sur un an, sur fond d'une hausse plus modérée des prix alimentaires, selon un rapport de l'Insee mercredi 15 mai.

Après une inflation de 2,3% en mars, la baisse "résulte du ralentissement sur un an des prix de l'alimentation (+1,2% après +1,7%) et du tabac (+9,0% après +10,7%)", précise l'institut dans un communiqué. Les prix des produits manufacturés se sont même légèrement repliés, de 0,1% après +0,1% en mars, et les prix des services, qui représentent près de la moitié de la consommation, ont augmenté sur un an au même rythme qu'en mars.

"Nous allons ramener l'inflation à 2% d'ici l'an prochain au plus tard"............... Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/economie/inflation/l-insee-confirme-le-ralentissement-de-l-inflation-en-france-en-avril-a-2-2-sur-un-an_6545840.html

Fourgon attaqué dans l'Eure : "Mon fils a été assassiné !", le père d'un des agents tués sort du silence

 

Selon Orange.frDroit, Justice, Jugement, Avocat

Interrogé par plusieurs médias, dont Le Parisien, Dominique Garcia, père de l’une des victimes de l’attaque d’un fourgon pénitentiaire dans l'Eure, estime que tout a été prémédité et que rien n’est dû au hasard.

La détresse d’un père, mais surtout sa colère. Dans Le Parisien, mercredi 15 mai, Dominique Garcia, père d’Arnaud Garcia, l’un des deux agents de l’administration pénitentiaire tués dans l’attaque du fourgon qui transportait Mohamed Amra, ne reste pas sans agir. Il a, selon le quotidien francilien, roulé à bord de son véhicule, à la recherche de la moindre trace de ceux qui ont ôté la vie à son fils, âgé de 34 ans, qui allait bientôt être père à son tour.

C’est le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, qui l’a contacté personnellement pour lui annoncer la mauvaise nouvelle. Dominique Garcia explique par ailleurs que son fils ne devait pas faire partie du convoi, mais qu’il a "remplacé l’un de ses collègues au pied levé". Pour le reste, il se pose beaucoup de questions : "Est-ce que toutes les règles ont bien été respectées dans l’organisation de cette escorte ? Des membres des équipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS) ne devaient-ils pas être présents à leurs côtés ?".................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/societe/fait-divers/fourgon-attaque-dans-l-eure-mon-fils-a-ete-assassine-le-pere-d-un-des-agents-tues-sort-du-silence-magic-CNT000002dSp8y.html

AVC : vers une révolution dans la prise en charge ? Cette étude montpelliéraine donne espoir .


Au CHU de Montpellier, l’équipe du professeur Vincent Costalat et du Dr Caroline Arquizan a réalisé une étude internationale sur l’AVC qui révolutionne la prise en charge de la maladie. Il a été démontré qu’un cerveau très endommagé "peut s’en sortir avec moins de séquelles".

Accident Vasculaire Cérébral, Cerveau

C’est une révolution pour les patients ayant été victimes d’un AVC. Le CHU de Montpellier a permis la réalisation d’une étude médicale internationale sur les accidents vasculaires cérébraux, menée par l’équipe du professeur Vincent Costalat et du Dr Caroline Arquizan. Les AVC entraînent souvent des "séquelles lourdes" et peuvent toucher " les fonctions neurologiques", lit-on sur le site de Santé Publique France.

Lire sur : https://actu.orange.fr/societe/sante/avc-vers-une-revolution-dans-la-prise-en-charge-cette-etude-montpellieraine-donne-espoir-magic-CNT000002dRCcV.html

Muriel Abadie présente les actions régionales pour accompagner la transformation du tourisme en Occitanie et valoriser les Grands Sites Occitanie Sud de France

 

 Jeudi 23 mai 2024 à 16h00

Hôtel de Région à Toulouse et en visio conférence

 

Muriel Abadie, vice-présidente de la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée en charge du tourisme durable, des loisirs et du thermalisme, et Kamel Chibli, vice-président de la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée en charge de l’ éducation, de l’orientation, de la jeunesse et des sportstiendrontune conférence de presse le jeudi 23 mai à 16h00 pour présenter l’appel à projets« Tourisme responsable, social et solidaire »,ainsi que le concours mis en place en partenariat avec Milan Presse pour faire découvrir les Grands Sites Occitanie Sud de France aux plus jeunes.

 

Les classes lauréates du concours, ainsi que l’éditeur Milan presse et les représentants des Grands Sites Occitanie Sud de France seront présents aux côtés de Muriel Abadie et de Kamel Chibli pour partager leurs témoignages.

Un nouveau décret assouplit les conditions d'exercice des sages-femmes pour l’IVG instrumentale


Un décret publié au Journal officiel le 24 avril 2024 modifie les conditions d'exercice de l'intervention volontaire de grossesse (IVG) instrumentale par les sages-femmes. Un premier décret paru le 16 décembre 2023 élargissait leurs compétences à cette pratique, selon plusieurs conditions restrictives, assouplies par le nouveau texte.

Stéthoscope, Médecin, Docteur, Santé

Le décret du 23 avril 2024 permet aux sages-femmes de pratiquer l'IVG instrumentale au sein des établissements de santé dans les mêmes conditions de sécurité que celles appliquées aux médecins.

Cette compétence doit être attestée par le « suivi d'une formation théorique et pratique à l'interruption volontaire de grossesse par méthode instrumentale et à la conduite à tenir en cas de complications liées à l'interruption volontaire de grossesse ».

À noter

cette évolution de la pratique des sages-femmes était prévue par la loi Gaillot du 2 mars 2022, après une phase préalable d'expérimentation. Cette loi a permis l'allongement des délais de recours à l'avortement de 12 à 14 semaines de grossesse.

Depuis janvier 2016, les sages-femmes étaient habilitées à pratiquer l’IVG médicamenteuse.

Le décret du 16 décembre 2023 indiquaient qu'elles pouvaient pratiquer l’IVG instrumentale, jusque-là réservée aux médecins, sous conditions :

  • avoir suivi une formation théorique en orthogénie ou disposer d'une expérience professionnelle significative en la matière ;
  • avoir suivi une formation pratique (l'observation d'au moins 10 actes d'IVG par méthode instrumentale et la réalisation sous supervision d'au moins 30 actes).

Le décret de décembre requérait aussi la présence simultanée dans l'établissement d'un médecin spécialiste en orthogénie, d'un gynécologue-obstétricien, d'un anesthésiste et d'un plateau d'embolisation (pour gérer d'éventuelles complications). Des conditions auxquelles répondent seulement les grandes maternités, notamment celles des CHU.

Avec le décret du 23 avril 2024, les modalités de prise en charge et la procédure en cas de complications sont désormais identiques, quel que soit le professionnel qui réalise l'acte d'IVG instrumentale, et les sages-femmes peuvent le pratiquer sans la supervision de médecins.

Les conditions de formation et d'organisation simplifiées prévues par le nouveau texte doivent permettre d'améliorer l'accès à l'avortement sur le territoire, notamment au sein de plus petits établissements de santé.

À savoir  

il existe 2 méthodes d'IVG : l'IVG médicamenteuse et l'IVG instrumentale. L’IVG instrumentale est une technique chirurgicale. Depuis mars 2022, elle peut être réalisée jusqu’à la fin de la 14e semaine de grossesse, soit 16 semaines d’aménorrhée.

Les IVG instrumentales représentent environ 20 % des IVG pratiquées en France, indique le ministère de la Santé.

Rappel

la loi constitutionnelle du 8 mars 2024 relative à la liberté de recourir à l'interruption volontaire de grossesse inscrit dans la Constitution de 1958 la liberté garantie des femmes de recourir à l'IVG.

Voir aussi

Je ne me rappelle plus à quel âge je dois faire mes rappels de vaccin. Où puis-je trouver l'information ?


Le ministère de la Santé vient de rendre public le calendrier des vaccinations 2024. Il préconise notamment de mieux couvrir les infections à pneumocoque et à méningocoque, la rougeole et le zona. Service-Public.fr vous informe.

Vaccination, Impfspritze, Médicament

Le calendrier vaccinal fixe les vaccinations applicables aux personnes résidant en France en fonction de leur âge. Il émet, après avis de la Haute autorité de santé (HAS), des recommandations générales et particulières propres à des situations spécifiques (risques accrus de complications, d'exposition ou de transmission) ou à des expositions professionnelles.

Le calendrier vaccinal 2024 vient d'être rendu public par le ministère de la Santé. Il est susceptible d'être mis à jour en fonction des actualités liées à la vaccination.

Principales nouveautés du calendrier vaccinal 2024

Vaccination contre les infections à méningocoque

La Haute autorité de santé indique que le nombre de cas d'infections invasives à méningocoque a augmenté de 72 % entre 2022 et 2023.

La vaccination tétravalente ACWY est ainsi recommandée dans le nouveau calendrier, chez le nourrisson et chez les adolescents âgés de 11 à 14 ans. Avec un rattrapage vaccinal chez les personnes âgés de 15 à 24 ans révolus. Seul le sérogroupe B était jusqu'alors concerné.

La nouvelle obligation vaccinale contre les sérogroupes ACWY et B chez le nourrisson devrait entrer en vigueur le 1er janvier 2025, après la publication des textes réglementaires.

Vaccination contre les infections à pneumocoque

Un nouveau vaccin est introduit pour la vaccination contre les pneumocoques, obligatoire pour les nourissons : le vaccin conjugué 15-valent VaxneuvanceR pourra être utilisé dès lors qu'il sera disponible et pris en charge par l'Assurance maladie.

Chez l'adulte de plus de 18 ans à risque d'infection invasive à pneumocoque, la vaccination doit être effectuée préférentiellement avec une dose de vaccin conjugué 20-valent PrevenarR, dès lors qu'il sera disponible et pris en charge par l'Assurance maladie.

Vaccination contre le zona

La vaccination est recommandée chez les personnes âgées de 65 ans et plus et chez l’adulte âgé immunodéprimé de 18 ans et plus.

Vaccination contre la rougeole

Pour assurer une meilleure protection, une dose additionnelle de ROR (rougeole, oreillon, rubéole) est recommandée chez les personnes nées après 1980 et qui ont reçu une première vaccination avant l’âge d’un an.

À noter

Vous pouvez consulter le calendrier 2024 simplifié des vaccinations ou le site Vaccination-info-service.

 

Covid-19 et infections à papillomavirus (HPV)

  • La vaccination contre la Covid-19 est recommandée chaque année à l'automne pour les personnes âgées de 65 ans et plus et les personnes à risque de forme grave de Covid-19. Une dose supplémentaire de vaccin est recommandée au printemps pour les personnes âgées de 80 ans et plus, les personnes immunodéprimées et les résidents en EHPAD et USLD (unités de soins de longue durée), en respectant un délai d'au moins 3 mois depuis la dernière dose de vaccin ou la dernière infection.
  • La vaccination HPV est recommandée pour les filles et les garçons âgés de 11 à 14 ans avec un schéma à 2 doses à 6 mois d'intervalle. Par ailleurs, pour ceux qui n'auraient pas été vaccinés à 14 ans, un rattrapage de la vaccination est recommandé pour les jeunes femmes et les jeunes hommes entre 15 et 19 ans inclus (3 doses nécessaires dans ce cas).
 

Rappel des vaccins obligatoires

Le parcours vaccinal est constitué de 6 rendez-vous et 10 injections (avec des vaccins combinés) permettant de protéger contre 11 maladies au total. La plupart des vaccinations sont réalisées à l’occasion des examens obligatoires de l'enfant. Tous les enfants nés à partir du 1er janvier 2018 sont concernés par l'obligation vaccinale.

Les vaccins obligatoires sont les suivants :

  • diphtérie ;
  • tétanos ;
  • poliomyélite ;
  • Haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites) ;
  • coqueluche ;
  • hépatite B ;
  • rougeole ;
  • oreillons ;
  • rubéole ;
  • méningocoque C (bactérie provoquant des méningites) ;
  • pneumocoque (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites).

Pour en savoir plus sur le calendrier vaccinal en vigueur, consultez la fiche dédiée de Service-Public.fr.

À savoir  

Le carnet de vaccination électronique, inclus dans l’espace numérique « Mon espace santé », permet de faire le point sur les vaccinations réalisées et de connaître les prochaines échéances prévues selon l’âge.

Rappel

Afin de simplifier le parcours de vaccination des usagers et d'améliorer la couverture vaccinale, des textes législatifs et réglementaires permettent désormais, après formation préalable, aux infirmiers, pharmaciens et sages-femmes de prescrire des vaccins et de vacciner les personnes de 11 ans et plus selon les recommandations du calendrier des vaccinations.

Voir aussi

Pas de smartphone avant 15 ans : des parents d'élèves se mobilisent pour retarder l'âge du premier portable


Selon France Info

Un pacte pour interdire l'utilisation des smartphones avant 15 ans est en ligne sur une plateforme. Des parents d'élèves en sont à l'origine.
  
 
Iphone, Téléphone Intelligent

Coup d'envoi du défi "10 jours sans écran", mardi 14 mai. Des dizaines d'établissements scolaires, d'associations, de communes et de centres sociaux s'engagent à éteindre les écrans : télé, tablettes mais surtout smartphones pour préserver notamment les plus jeunes de leur usage excessif. Dans la même veine, des parents d'élèves se mobilisent pour retarder l'âge du premier smartphone à 15 ans et éviter ainsi que leur enfant soit exposé trop tôt à la violence, au porno et au harcèlement.

C'est Olivier, parent de deux jeunes ados près de Rennes, qui a lancé l'initiative de ce pacte. Pour lui, l'interdiction d'utiliser les portables à l'école et au collège ne suffit pas à préserver les enfants : "C'est interdit dans les collèges. Il n'empêche que les enfants sont exposés aux smartphones des autres dans les voyages scolaires, dans le bus qui amène les enfants à l'école, dans les moments un peu 'volés' où les enfants réussissent à cacher l'utilisation d'un smartphone dans l'enceinte de l'école. Si vous discutez avec des professionnels de santé, tout le monde s'accorde à dire qu'il faut reculer l'âge du premier smartphone."

"Le harcèlement se poursuit"............ Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/sante/enfant-ado/reportage-pas-de-smartphone-avant-15-ans-des-parents-d-eleves-se-mobilisent-pour-retarder-l-age-du-premier-portable_6542306.html