AllègreThau à l'Opéra Comédie de Montpellier
Les samedi 27 et dimanche 28 janvier, l’Opéra Orchestre national Montpellier organise une vente exceptionnelle de costumes de scènes. Plus de 1 500 pièces, extraites de ses collections. Certaines remontant à des productions emblématiques de l’histoire de la maison, comme les "Indes galantes" de Rameau ou "La Traviata" de Verdi. L’occasion de mettre en lumière le travail du département des costumes de l’opéra et de sa cheffe costumière : Fatma Zemouli.
Aller plus loin : https://encommun.montpellier.fr/articles/2024-01-23-fatma-zemouli-dans-la-magie-des-costumes-de-lopera-comedie?fbclid
Montpellier Méditerranée Métropole, compétente en matière de voirie et de mobilités, informe les habitants du territoire sur les principaux travaux de la semaine qui impactent les déplacements.
Travaux récemment terminés
Nouveaux chantiers
Travaux en cours
Incidences sur la circulation :
Incidence sur les lignes de bus : modifications des horaires et des itinéraires de la ligne 30 (TaM) et de la ligne scolaire 95 (Hérault transport).
AllègreThau à l'Opéra Comédie de Montpellier
Découvrez les modalités de recensement de la population et prenez connaissance des dates de la prochaine campagne.
La campagne de recensement placée sous le contrôle de l’INSEE, a lieu chaque année, sur un échantillon de 8% de la population de la ville.
Elle permet d’évaluer sa croissance, qui augmente en moyenne de 4 000 habitants par an.
Avec un impact direct sur les dotations d’Etat et la création d’infrastructures et équipements publics (écoles, crèches, parcs, terrains de sports, poste de police, maisons pour tous…) elle permet de répondre aux besoins de la population.
L’ouverture d’une nouvelle pharmacie de quartier est ainsi autorisée pour chaque tranche de 4 500 habitants supplémentaires… C’est dire l’importance du recensement de la population qui est mené sur le terrain par les agents missionnés par la ville, afin de dresser la « photographie » la plus précise de la population qui la compose (typologie d’habitat, composition du foyer…).
Merci de répondre aux questionnaires :
Pour plus d’informations, merci de contacter le service recensement au 04 67 34 73 27.
1990 | 1999 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 | 2020 |
210 866 | 229 055 | 257 092 | 256 344 | 258 366 | 260 572 | 268 244 | 272 345 | 276 054 | 279 845 | 282 143 | 286 098 | 302 425 |
Données de population au 1ᵉʳ janvier 2020 en vigueur au 1ᵉʳ janvier 2023- Sources : Insee
Données de population au 1ᵉʳ janvier 2017 en vigueur au 1ᵉʳ janvier 2023 (Source Insee)
Depuis, la population de Montpellier a augmenté de 2000 personnes en moyenne chaque année entre 1990 et 1999, puis 2254 entre 1999 et 2012 !
Une croissance démographique qui perdure et augmente, nécessitant la création de nouveaux quartiers d'habitation (Malbosc, Jardins de la Lironde, Port Marianne, Grisette, Ovalie, Parc Marianne...) et équipements publics (écoles, crèches, mairies annexes, Maisons Pour Tous...) afin de répondre à l'attente des habitants.
Montpellier, une ville attractive et dynamique, appréciée des étudiants ou des chercheurs pour ses universités et pôles de recherches (INRA, CIRAD, Agropolis, CNRS...).
Montpellier est également plebiscitée par les actifs et les retraités pour le climat, la vie culturelle et les festivals.
Dynamique et attrayante, les atouts de Montpellier en ont fait la 7ème ville de France au 1er janvier 2018.
Le flux de la population montpelliéraine, qui était alimenté de longue date par les départements voisins, a connu une forte augmentation dans les années 1960 avec l'arrivée des pieds-noirs. Ils seront 30 000 à s'installer dans l'agglomération.
L'implantation d'IBM en 1965, et le développement des administrations régionales, ont contribué également au dynamisme démographique.
Entre 1962 et 1975, la population montpelliéraine est passée de 123 000 à 196 000 habitants, soit une croissance annuelle supérieure à 4%. C'est alors la plus forte progression enregistrée en France.
Tous les 10 ans environ, une enquête sur les familles vient compléter le recensement de la population. Elle permet d’étudier les modes de vie des familles au fil des générations : à quel âge devient-on parent ou grand-parent ? Comment vivent les enfants de parents séparés ?
La prochaine enquête Familles aura lieu en 2025 : pour préparer au mieux cette enquête, un pilote sera mené en 2024 et notre commune y participe.
Certains quartiers seront tirés au sort pour répondre à l’enquête Familles. Votre logement en fera peut-être partie. L'enquête est simple et rapide.
Si vous répondez au recensement sur internet, vous serez invité à répondre à l’enquête Familles via un mail qui vous sera envoyé dans les jours qui suivent votre réponse au recensement par internet. Si vous ne répondez pas au recensement par internet, l’agent recenseur vous remettra le(s) questionnaire(s) papier de l’enquête Familles en même temps que ceux du recensement.
Le Pavillon Populaire est un espace d'art photographique ouvert gratuitement au public. Il affiche une programmation de haut niveau, en présentant les œuvres d’artistes de notoriété nationale et internationale. Trois expositions en moyenne s'y déroulent chaque anné0
Paul Wolff, Auto-stoppeuses, 1936.Le Pavillon Populaire présente la première rétrospective française consacrée au Dr Paul Wolff (1887-1951). Elle permet de découvrir l’oeuvre multiforme d’un des photographes allemands les plus connus de la période de l’entre-deux guerres, mais très rarement montré.
Plutôt qu’un artiste au sens conventionnel du terme, Paul Wolff est le fondateur d’une agence photographique laquelle, avec son associé Alfred Tritschler, fournira, de la République de Weimar jusqu’au années nationales-socialistes, et après-guerre, une documentation fournie sur cette période agitée de l’Allemagne (près de 700 000 photographies).
Cette exposition donne à voir un corpus riche, marqué par la popularisation du petit format 35 millimètres et initié par la marque Leica dont Paul Wolff deviendra l’ardent protagoniste à partir de 1926.
Paul Wolff joue, auprès de milliers de photographes amateurs de son époque, le rôle de « passeur » des formes de la modernité photographique de son temps, de la Nouvelle Objectivité à la Nouvelle Vision. Son incroyable popularité internationale (son livre, Mon aventure avec le Leica (1934) sera publié en plusieurs langues, et vendu à des dizaines de milliers d’exemplaires) en font un photographe omniprésent trop souvent négligé par les histoires de la photographie traditionnelle.
Au total, les photographies de Wolff sont inclues dans plus de 300 publications, et reprises dans les journaux du monde entier. Elles touchent au domaine du sport (en particulier autour des Jeux Olympiques de 1936), du travail, des loisirs, de la photographie industrielle, publicitaire, urbaine, ou de voyages. Aucun sujet n’échappera à Paul Wolff.
Paul Wolff, Entraînement sur le grand tremplin « Olympia », 1936Son travail a rarement été montré, peut-être parce que, même s’il n’a jamais appartenu au parti national-socialiste, une bonne moitié de l’activité photographique de Paul Wolff s’est déroulée sous le régime nazi, de 1933 à la fin de la guerre. Il faut admettre qu’il s’est donc accordé passivement à un état de choses, se faisant dans son travail parfois l’écho des valeurs nationales-socialistes.
Dossier de presse FR-EN (.pdf)
Ile de Wangerooge, 1935Cette première rétrospective française permettra de découvrir l'oeuvre multiforme d'un des photographes allemands les plus connus de la période de l'entre-deux guerres, mais très rarement montré. Plutôt qu'un artiste au sens conventionnel du terme, Paul Wolff est - avec son associé Alfred Tritschler - le fondateur d'une agence photographique qui fournira, de la République de Weimar jusqu'aux années nationales-socialistes, et après-guerre, une documentation fournie sur cette période agitée de l'Allemagne (près de 700 000 photographies).
Cette exposition donne à voir un corpus riche, marqué par la popularisation du petit format 35 millimètres et initié par la marque Leica dont Paul Wolff deviendra à partir de 1926, l'ardent protagoniste.
Paul Wolff jouera, auprès de milliers de photographes amateurs de son époque, le rôle de "passeur" des formes de la modernité photographique de son temps, de la Nouvelle Objectivité à la Nouvelle Vision. Son incroyable popularité internationale (son livre, Mon aventure avec le Leica, 1934, sera publié en plusieurs langues, et vendu à des dizaines de milliers d'exemplaires) en font un photographe omniprésent trop souvent négligé par les histoires de la photographie traditionnelle.
Au total, les photographies de Wolff seront incluses dans plus de 300 publications, et reprises dans les journaux du monde entier. Elles toucheront au domaine du sport (en particulier les Jeux Olympiques de 1936), du travail, des loisirs, de la photographie industrielle, publicitaire, urbaine ou de voyages. Aucun sujet n'échappera à Paul Wolff.
Son travail a rarement été montré, peut-être parce que, même s'il n'a jamais appartenu au parti national-socialiste, une bonne moitié de l'activité photographique de Paul Wolff s'est déroulée sous le régime nazi, de 1933 à la fin de la guerre. Il faut admettre qu'il s'est accordé passivement à un état de choses, se faisant dans son travail parfois l'écho des valeurs nationales-socialistes.
Plus de 140 photographies d'époque provenant des plus grands collectionneurs privés, seront exposées, mises en perspective avec leurs nombreux supports de publication (livres, affiches, publicités), et le matériel Leica d'époque, qui en sont leur contexte explicite.
On trouvera ainsi questionné le rôle historique et sociologique de la photographie dite "grand public", dans une période aussi troublée que le fut celle de l'Allemagne de l'entre-deux guerres.
Le Festival des Boutographies célèbrera en 2024, son 24e anniversaire. Initié en 2000 par un groupe de passionnés de photographie, ce festival a acquis au fil des ans, une solide renommée en France et à l’étranger. Temps fort de la photographie dans la ville, le festival a rassemblé et présenté au fil de ces 23 dernières années, 567 photographes et 34 pays, toutes et tous nous faisant voyager dans leurs cultures et leurs imaginaires chaque fois singuliers.
La 24e édition est à découvrir au Pavillon Populaire et dans d’autres lieux de la ville dès le samedi 4 mai et jusqu’au dimanche 26 mai 2024.
Gabriele Münter (1877-1962) et Eudora Welty (1909- 2001) sont deux femmes – artistes majeures du XXe siècle : Gabriele Münter est un peintre reconnu, affiliée au groupe pictural d’avant-garde « Le Cavalier Bleu » et longtemps la compagne de Vassily Kandinsky. Eudora Welty, elle, est reconnue comme un des plus talentueux des écrivains sudistes américains, dont l’oeuvre n’a d’égale que celle de son compatriote William Faulkner, tous deux natifs de l’État du Mississippi.
Avant d’être engagées dans la pratique intensive et passionnée de leurs mediums respectifs, la peinture et la littérature, Münter et Welty se sont d’abord investies dans celle, intensive et passionnée, de la photographie.
À l’occasion d’une visite de sa lointaine famille émigrée au Texas (1898/1900), la jeune allemande en profite pour réaliser une centaine de prises de vues, aussi bien dans l’État du Texas, que dans ceux de l’Arkansas, du Missouri, ou de la ville de New York, à l’occasion de son périple américain. N’ayant aucune idée de sa future activité de peintre, elle mélange cependant la prise de vue et celle du croquis au crayon, aiguisant ainsi sa vision dont bénéficiera sa future activité picturale.
Quant à Eudora Welty, dès la fin de son adolescence, dans la seconde partie des années 1930, alors qu’elle vit avec ses parents à Jackson, capitale de l’État du Mississippi, elle devient une photographe accomplie, dans un style documentaire caractéristique de son temps, proche des clichés d’amateurs, mais avec un solide point de vue. À la différence de Münter, elle opère dans sa région natale, le Mississippi, dans un contexte de pauvreté et de racisme. Son activité photographique est portée par une grande attention aux femmes noires, à leur sensualité, comme aux conditions de vie rurales.
Pour toutes les deux, Münter et Welty, photographier apparaît alors comme une propédeutique à leur future activité majeure, peinture et littérature. Plus qu’un simple hobby, la photographie – pratiquée chez ces deux femmes à l’aube de leurs carrières – annonce, le développement à venir de leurs futurs champs artistiques. Une telle similitude active sur un territoire photographique commun (le Sud-Est des États-Unis), ne peut que nous étonner et nous interroger.
L’exposition montrera environ une soixantaine de tirages pour chacune des deux artistes.
A vocation rétrospective, l’exposition Gisèle Freund, une écriture du regard s’attachera à présenter la nature protéiforme de l’oeuvre de cette figure majeure de la photographie du XXe siècle, qui fut à la fois praticienne et théoricienne de l’image, mais aussi femme engagée, aventurière et photographe pionnière.
Trop souvent réduite à son impressionnante galerie de portraits de personnalités du monde de l’art et de la littérature, l’oeuvre de Gisèle Freund entretient pourtant un rapport beaucoup plus riche et complexe à la photographie, nourri d’une trajectoire singulière et fascinante dont l’exposition se fera l’écho.
De sa jeunesse en Allemagne dans les années 1930 où elle s’oppose à la montée du régime nazi en militant à l’extrême-gauche, au portrait officielle du président de la république française en 1981, en passant par un doctorat défendu à la Sorbonne, un usage pionnier de la couleurs, un film réalisé au bout du monde durant l’exil, et une décennie dédiée à silloner l’Amérique Latine en tantque photo-reporter pour la célèbre agence Magnum, sa carrière couvre un vaste champ d’activités, où l’écriture a toujours occupé une place essentielle.
Sociologue de formation devenue historienne de la photographie, et autrice de nombreux ouvrages, dont l‘incontournable Photographie et Société, Gisèle Freund occupe en effet une position à part dans le monde de la photographie: celle d’une créatrice d’images qui n’a eu de cesse de réfléchir à leur sens et leur impact sur notre manière de percevoir le monde. Mettant en dialogue ses écrits avec ses images, l’exposition proposera un parcours thématique divisé en six chapitres, et jalonné de documents d’archives, de publications, d’objets personnels, d’extraits de films et, naturellement, d’une large sélection de photographies présentant le médium dans toute sa matérialité et son polymorphisme.
Le Pavillon Populaire est un équipement municipal d'expositions photographiques de la Ville de Montpellier, ouvert gratuitement au public. Il affiche une programmation de haut niveau en exposant des artistes de renom tels que Brassaï, Bernard Plossu, Patrick Tosani ou encore Tuggener.
Sous la direction artistique de Gilles Mora, avec pour principe l’invitation de commissaires et d’artistes nationaux et internationaux autour de thématiques établies, Montpellier se positionne ainsi parmi les tous premiers lieux d’exposition photographique contemporaine, en proposant des expositions entièrement créées pour le Pavillon Populaire. Ces rencontres sont pour la plupart des premières nationales voire internationales.
Depuis, avec trois expositions par an, le Pavillon Populaire a réussi à fidéliser un public nombreux, créant une forte attente.
Esplanade Charles de Gaulle — 34000 Montpellier
T +33 (0)4 67 66 13 46
Du mardi au dimanche (sauf 25 décembre, 1er janvier et 1er mai) :
Le mardi et le vendredi à 16h
Le samedi et le dimanche à 11h et 16h
Visite famille pour les enfants de 3 ans à 6 ans le mercredi et le dimanche à 11h
Visite famille pour les enfants de 7 ans à 11 ans le mercredi et le dimanche à 16h
4 200 membres des clubs de l'âge d'or se sont donc réunis afin de partager ensemble un repas et fêter la nouvelle année 2024 .